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MessagePublié: 12 Nov 2007 15:39 
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Nanardeur fou ?
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Ok, merci à vous deux. J'ai modifié ma définiton en conséquence. :wink:

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MessagePublié: 12 Nov 2007 16:35 
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L'idée, avec la pastèque, c'est aussi que ça a peu près la dimension d'une tête humaine... Et quand on la tranche ou la fait exploser...

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MessagePublié: 13 Nov 2007 8:08 
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Détecteur de plans nichons
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splitch a écrit:
enzosullivan a écrit:
quant à Elliott Gould, pour masquer son accent et rajouter un gag dans 'Mikael Kael', son personnage était opéré du larynx! (du coup, Elliot Gould se retrouvait avec la voix de Dark Vador...). Certaines de ses stars ont même empêché la distribution des films incriminés sur le sol américain! (surtout Jerry Lewis, allez savoir pourquoi...).


Je up un post vieux de deux ans pour dire que c'est Mickey Rooney qui est opéré de la gorge dans Mickael Kael pas Gould...

Mode Chipotage dans le vent OFF


Bon, c'est pas trop grave car cette définition n'a pas (encore ?) rejoint la rubrique sur le site.


Sinon, une petite définition "genre (cinéma de)" pourrait être utile, bien que ce ne soit pas prioritaire; il faudrait simplement que quelqu'un ait envie de l'écrire.

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"Ach ! Dans mon pays, on appelle ça... LA SOUPE AUX SCHULTZ ! HAHA !" (La Guerre des espions)
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MessagePublié: 25 Juil 2008 0:49 
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Inscrit le: 23 Juil 2008 21:58
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Localisation: Là où sont localisés les missiles de Rambo 3
Citer:
Pour un site qui parle (entre autres) de séries B, je ne vois comment vous auriez pu faire l'impasse sur le cinéma de genre, à ne pas confondre avec le cinéma d'exploitation. Ce sont des films que l'on apprécie avant tout pour leur genre, et non pour ceux qui les font (acteurs, réalisateurs...). L'expression a tendance à se perdre de nos jours (c'est l'impression que j'aie en tout cas)

Il faudrait qu'on se mette d'accord sur une définition de "cinéma de genre", parce que cette définition me semble vague, tout comme la définition de Wikipédia, très similaire
Citer:
Le terme cinéma de genre désigne les films qui ne sont pas a priori choisis par le public pour leur réalisateur ou leur distribution mais pour le genre auquel ils appartiennent.

On a l'habitude de dire que le fantastique, la SF, le polar, le western, les films d'arts martiaux... appartiennent au cinéma de genre. L'ennui, c'est qu'il existe de nombreux films appartenant à ces genres qui ne correspondent pas aux définitions que je viens de mentionner. Par exemple, un cinéphile regardera le western La Prisonnière du désert précisément parce que c'est un film de John Ford (et les gens qui sont allés le voir au cinéma l'ont fait en partie parce que John Wayne tenait le rôle principal). Un cinéphile ira voir un film de SF comme Farenheit 451, de Truffaut, précisément parce que c'est Truffaut qui l'a réalisé (idem pour les films de Kubrick), tout comme les spectateurs sont allés voir les films avec Bruce Lee parce que Bruce Lee jouait dedans. D'où ma question: un film dit "de genre" peut-il être l'oeuvre d'un cinéaste qualifié d'"auteur" avec des acteurs connus, ou est-ce forcément l'oeuvre du premier "yes-man" venu ?


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MessagePublié: 07 Avr 2009 18:45 
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Docteur es nanarologie
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Localisation: Rats - Notte di terrore
exemple à rajouter pour la définiton de fausse suite:
le jour des morts-vivants 2: contagium, trouvé dans un DVD avec en supplément le "premier opus", chef d'oeuvre de Romero (DVD exceptionnel, le supplément 100 fois mieux que le film!!!)

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aucun plagiat, aucun rapport avec le 1, des évènements bizarres dans un hopital entre patients et internes, rin à voir avec des zombies, mais un des internes a trouvé une capsule, puis transformation en zombies, zombies qui n'ont strictement rien à voir avec ceux de Romero, ils apparaissent pour une dernière petite moitié du film, parlent, marchent, sont aussi relax que les vrais humains, juste des modifications à la peau.
Strictement rein en rapport avec le film de Romero qui raconte d'ailleurs un groupe de survivants après une invasion mondiale de zombies

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MessagePublié: 30 Juin 2009 23:24 
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Apprenti Nanardeur
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Inscrit le: 23 Juil 2008 21:58
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Localisation: Là où sont localisés les missiles de Rambo 3
Une nouvelle définition:

Razzie Awards : Nom communément utilisé pour désigner les Golden Raspberry Awards. Il s'agit d'une parodie américaine des cérémonies de récompense cinématographique, créée en 1981 et destinée à distinguer les pires professionnels du septième art. En somme, les Razzie Awards sont les anti-Oscars.

Ainsi, chaque année, sont "récompensés" les pires réalisateurs, pires acteurs, pires actrices, pires scénarios, mais aussi les pires couples d'acteurs et, bien sûr, les pires films.

Les Razzie Awards étant avant tout une cérémonie humoristique, le jury se permet certaines nominations farfelues. Par exemple, l’actrice Barbra Streisand a été nominée au Razzie du pire acteur pour son rôle de travesti dans le film Yentl. Autre exemple, Jean-Claude Van Damme et Dennis Rodman ont été nominés au Razzie du pire couple à l'écran pour Double Team. Plus élégant, Pamela Anderson et ses prothèses mammaires ont été nominées au Razzie du pire couple pour Barb Wire.

Sont nominés aux Razzie Awards des navets (ou du moins, des films considérés comme tels), mais aussi des nanars. Parmi les films chroniqués sur ce site ayant eu l'honneur de se voir attribuer un ou plusieurs Razzie, citons:

- Can’t stop the Music (pire film, pire scénario)
- Xanadu (pire réalisateur)
- Hercule (pire second rôle féminin pour Sybille Danning et pire révélation pour Lou Ferrigno)
- Rocky IV (pire révélation et pire second rôle féminin pour Brigitte Nielsen, pire réalisateur et pire acteur pour Sylvester Stallone, et pire bande originale ; mais c’est Rambo II, toujours avec Stallone, qui a remporté la même année les Razzie du pire film et du pire scénario)
- Les Dents de la mer 4 : la Revanche (pires effets spéciaux)
- Mac et Moi (pire révélation pour … Ronald McDonald)
- Rambo III (pire acteur pour Sylvester Stallone)
- Double Team (pire couple à l’écran pour Jean-Claude Van Damme et Dennis Rodman, ce dernier se voyant également attribuer les Razzie du pire second rôle masculin et de la pire révélation)
- Spice World (les cinq Spice Girls ont reçu collectivement le Razzie de la pire actrice)
- Battlefield Earth (a reçu en 2001 les Razzie du pire film, pire acteur pour John Travolta, pire second rôle masculin, pire second rôle féminin, pire réalisateur, pire scénario, sans oublier le Razzie du pire couple à l’écran, attribué à « John Travolta et toute autre personne à l’écran avec lui ». En 2005, le film a reçu une récompense spéciale, celle du pire film dramatique des 25 dernières années.)
- Crossroads (pire chanson originale)
- Catwoman (pire film, pire réalisateur, pire actrice pour Halle Berry et pire scénario. A noter, fait rare, que Halle Berry est venue en personne chercher sa récompense, tout comme John Rodgers, l’un des scénaristes du film.)

Arnold Scharzenneger a reçu en 2005 une récompense spéciale, celle du pire perdant des 25 dernières années. Sylvester Stallone a quant à lui reçu en 1990 le Razzie du pire acteur de la décennie 1980, et en 2000 le Razzie du pire acteur du siècle. Quant au réalisateur Uwe Boll, il a reçu en 2008 le Razzie de la pire carrière (Worst Career Achievement).

L’honnêteté exige toutefois de mentionner quelques bizarreries parmi les nominations. Ainsi, en 1984, Amy Irving a été nominée au Razzie du pire second rôle féminin pour Yentl, mais elle a aussi été nominée à l’Oscar pour le même film. De même, un cinéaste de la trempe de Brian De Palma a été nominé au Razzie du pire réalisateur pour… Scarface, alors que ce film n’est pas réputé comme étant l’un de ses titres les plus honteux, loin s’en faut. Ce qui a au moins le mérite de nous rappeler la subjectivité de la notion de « mauvais film » et, par extension, de la notion de « nanar ».

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Il avait la parole facile et banale, du charme dans la voix, beaucoup de grâce dans le regard et une séduction irrésistible dans la moustache.
Guy de Maupassant, Bel-Ami


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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 29 Nov 2011 22:45 
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Apprenti Nanardeur
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Localisation: Là où sont localisés les missiles de Rambo 3
Bonsoir. Il faudrait peut-être revoir votre définition de "Jump cut" dans le glossaire, car cette définition me paraît à la fois péjorative, lapidaire et pas très clair (désolé :roll: ). Je vous cite intégralement : Jump cut : Effet de transition donnant l'impression que le monteur était saoûl et qu'il a coupé des bouts de pellicule à l'intérieur des plans. Soit que cela soit non-intentionnel (ex : "Turkish Star Wars") ou que cela s'explique par le style épileptique de certains réalisateurs de la génération MTV (ex : "Bad Boys" et tous les films de son auteur.)

L'article "Jump cut" de la Wikipédia anglophone (voir ce lien : http://en.wikipedia.org/wiki/Jump_cut) définit le jump cut de façon plus claire et plus technique (malheureusement, il n'y a pas d'article consacré à ce sujet sur la Wikipédia francophone).

Le jump cut n'a pas attendu la génération MTV pour exister. C'était un procédé couramment utilisé, de façon intentionnelle, dans certains films de la Nouvelle Vague (on cite souvent A bout de souffle, de Godard, à ce sujet). A en croire l'article de Wikipédia anglophone, on peut remonter jusqu'à Eisenstein, voire Georges Méliès pour trouver des exemples de jump cut volontaires.

Le jump cut volontaire peut avoir différentes visées. Il peut introduire une certaine forme de distance, pour souligner l'irréalité du film et rappeler au spectateur qu'il regarde une fiction (le réalisateur gommant ainsi tout effet de réel), voire l'œuvre d'un auteur (idée essentielle de la Nouvelle Vague). Il peut aussi montrer l'écoulement du temps au cœur d'une seule et même séquence (le réalisateur utilisant le jump cut comme d'autres utiliseraient un fondu enchaîné pour montrer que le temps passe). Mais le jump cut peut aussi être, négativement, un simple effet de style tape-à-l'œil (vous citez Michael Bay et la génération MTV) ou une marque de paresse pure et simple.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 25 Juin 2013 13:56 
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Grand Nanardeur
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Localisation: Un cachot humide
Mulette : style de coiffure qui consiste à avoir des cheveux bien ordonnés au niveau des tempes et sur le haut de la tête mais de les avoir longs et partant en freestyle an niveau de la nuque.

La mulette a été décrite pour la première fois dans les livres par l’historien byzantin du VIème siècle Procopius qui écrit à propos des émeutiers de la Sédition Nika :
« Tout d’abord, les rebelles ont changé leur style capillaire. En ce qu’ils coiffent différemment que le reste des Romains… coupant leurs cheveux courts sur le devant de la tête et les laissant pendre en désordre sur l’arrière, comme le font les Massagètes. »
Cependant, on ne parlait alors pas encore de « mulette » mais de « coiffure des Huns ».

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L’étymologie contemporaine du mot fait encore objet de débat. Deux hypothèses demeurent.
Dans la première, ce serait une féminisation du terme « mulet ». Cet animal ayant tendance à avoir une crinière rebelle pour un front pourtant dégarni.

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La seconde hypothèse serait une francisation du terme anglais « mullet » qui décrit cette même coupe. Il est à noter également que le terme anglais « mullet » désigne un poisson ayant un front dégarni et portant pourtant une barbe vigoureuse.

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Ce style de coiffure est extrêmement nanar-friendly. Certaines de ces coupes donnant un air complètement idiot à son porteur, elles collent remarquablement bien avec des personnages comme le sbire, le héros bourrain, l’abruti de base,…


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La coiffure s’est ringardisée au cours du temps si bien qu’elle a complètement disparu dans les années 90. Ce phénomène peut être attribué à la mauvaise réputation que la coupe a connue au fil du temps. De par le monde, énormément de culture ont machinalement associé l’idée de « mulette » avec « personne décérébrée ». Au Canada, on pouvait trouver les termes « coupe Vanier », « coupe Longueuil » ou « coupe Princeville » du nom de trois villes ouvrières. Aux Etats-Unis, ce style était associé au groupe ethnique dénommé Redneck qui décrit le milieux campagnard (ou bouseux) de l’Amérique profonde. En Angleterre, on associait cette coupe aux pêcheurs du dimanche qui passe leur journée à siroter de la bière au bord d’un étang. En Europe de l’Est, on l’appelait souvent « coupe à l’allemande » ou même la « Bundesliga » en référence au championnat de football allemand où les joueurs étaient réputés pour être alors des gros bourrains plutôt que des joueurs gracieux et développant un jeu réfléchi et léché. En France, le style est souvent associé à l’idée « gros beauf ». Enfin, les pays scandinaves associaient cette coupe aux joueurs de Hockey alors peu reconnu pour leur sens de l’esthétisme ou leurs facultés intellectuelles.

Ainsi, la « mulette » s’est retrouvée affublé d’une basse réputation affirmant que seules les personnes affublées d’un QI de moule pouvait fièrement arborer une telle hérésie capillaire. Les acteurs ou autres stars, soucieux de leur image, ont décidé de choisir des styles différents.

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Cependant, aujourd’hui la coiffure semble revenir au goût du jour. Le vintage étant à la mode, il est de coutume de dire : « si ça vient des années 80, c’est bien. ». Et la « mulette » ne fait pas exception. C’est surtout dans le monde du jeu vidéo que l’on trouve un tel hommage. La « mulette » donne un côté cool à nos héros dur et intrépide… un genre de héros que l’on pouvait trouvait dans tous les bons vieux actionners low cost qui faisaient les bonheurs des drive-ins ou grindhouse.

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Etant associé à la culture « redneck » ou assimilé au bourrain de base, certains n’hésitent pas aujourd’hui à porter la mulette pour se mettre en marge de notre société contemporaine.
Ainsi, conscient de l’originalité qu’apporte une telle coiffure, les deux hockeyeurs quebecois Alexandre Comtois ou Jérémy Beaudry se sont fièrement laissés pousser la mulette en signe de protestation après ne pas avoir été alignés dans l’équipe première. En outre, le film « New Kids Turbo » nous raconte l’histoire d’une bande de porteurs de mulette en marge de la société qui vont devenir populaire par leurs exactions et ceci malgré leur look supposé ringard.

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Totalement ringard ou bien dans l’air du temps, nul ne peut clairement décider de la teneur actuelle que représente la « mulette ». Cependant, une chose reste sûre, elle reste et restera à jamais un intérêt nanar.

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Dernière édition par Plissken le 26 Juin 2013 15:06, édité 1 fois au total.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 25 Juin 2013 15:04 
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Nanar un jour, nanar toujours
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Très belle définition, mais la fin est abrupte.

Pourrais-tu rajouter quelque chose sur la ringardisation de la coupe et sa récupération actuelle pour signifier tout ce qui peut être années 80 / cool, comme par exemple dans far cry blood dragon, ou au contraire pour signaler le caractère anti-social d'un personnage comme dans new kids turbo ?

Et traduire la citation ?

Et puis je veux bien un mars aussi.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 25 Juin 2013 16:00 
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Euh ouais... j'comprend même pas pourquoi je l'ai laissée en anglais la citation. Surtout qu'il est peu probable que Procopius l'ait écrite en anglais.

Je vais essayer de compléter. J'ai choppé 2-3 trucs qui expliquent un peu la ringardisation (même si c'est parfois compliqué d'expliquer un tel phénomène) et je n'avais pas pensé à parler de la récup' actuelle.

J'vais faire tout ce qui est en mon pouvoir pour le mars mais je ne promet rien.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 25 Juin 2013 17:11 
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En attendant, l'iconographie est magnifique.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 26 Juin 2013 14:09 
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En tant que porteur de mulette, j'approuve cette définition qui manquait au glossaire. :-D

A rajouter éventuellement pour l'icono :

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Et la combo mulette + moustaches, un style irrésistible (j'attends que mes bacchantes soient assez fournies pour devenir un tombeur) :

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Dernière édition par JACK TILLMAN le 20 Juin 2016 21:01, édité 2 fois au total.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 26 Juin 2013 15:07 
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Grand Nanardeur
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J'ai édité ma première définition.
Y a certainement des changements à faire. Surtout au niveau de la mise en page ou de la taille des images et des éléments de texte à corriger.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 26 Juin 2013 19:04 
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Je trouve ça incroyablement magnifique.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 27 Juin 2013 8:17 
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Grand Nanardeur
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Ah bah merci. J'ai eu du bol sur l'iconographie, la photo du mulet et le type avec sa coiffure était quasiment côte à côte. La ressemblance était criante.
En espérant que ça plaise au site aussi ^^

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 31 Juil 2013 22:35 
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Bonjour. Je tente une définition du terme badass, n'hésitez pas à me signaler si vous voyez des erreurs ou approximations. Et désolé si certaines fôtes d'orthographe m'ont échappé.

--------

Badass (ou bad ass, bad-ass) :

Synonymes : cool, claaaaaasse, impressionnant, dur-à-cuir, mec, viril, frimeur, mothafucka

Adj : En anglais, sert à qualifier une attitude, un comportement et/ou une apparence forçant ou recherchant l'admiration.

N.m : (pluriel : badasses) Terme anglais désignant une personne, de sexe masculin (mais pas toujours), dont l'attitude, le comportement et l'apparence extrêmement durs, cool et charismatiques montrent qu'il vaut mieux ne pas lui chercher des noises. Le badass est plutôt macho.


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Un exemple de badass non-nanar : Mel Gibson dans "Mad Max 2".

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Autre exemple : Samuel L. Jackson est un pur badass.

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Steven Seagal, badass éternel.

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Stallone, badass au cœur sensible dans "Cobra".


Le badass nanar pousse cette façon d'être et/ou de paraître à l'extrême. Exagérément cool, outrancièrement arrogant, le badass évoque les héros des films de "blaxploitation" mais peut se retrouver dans tous les genres, et peut appartenir à tout type ethnique. Dans un nanar, le personnage le plus badass est traditionnellement le héros mais le méchant ou son bras droit peut s'avérer tout aussi cool, charismatique, impressionnant, prétentieux et dur à cuire afin de constituer un adversaire à la hauteur; il existe donc des badasses bons et mauvais.

Exemples de confrontations entre deux badasses à l'attitude "j'me-la-pête" équivalente :

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Ted Prior contre Fritz Matthews dans "Ultime combat".

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Gary Rooney vs Blake Bahner dans le philippin "Spyder".

Note : lorsque la concurrence est vraiment rude en matière de virilité entre le héros et son adversaire et qu'il devient impérieux de faire ressentir la supériorité de la paire de couilles du héros, le must est à coup sûr que le héros arrache littéralement et sans aucune justification son tee-shirt pour exhiber ses abdos huileux à la face de son ennemi et du spectateur lorsque la confrontation finale a lieu entre le Bien et le Mal, comme dans le "Spyder" évoqué ci-dessus.


Le badass peut exprimer sa "cool-attitude" de manières variées : musculature huilée, lunettes de soleil, vêtements en jean savamment déchirés, gilet ouvert ou marcel échancré au décolleté plongeant permettant d'admirer ses abdos saillants, mulette ou coupe de surfeur iodée ne lésinant pas sur le gel, la gomina, la cire ou la graisse, bottes en croco, trench coat ou blouson de cuir (clouté de préférence), cure-dent à mâchouiller, mitaines en cuir, chaines en or, tatouages du temps du Vietnam, poings de force, tout ça à la fois. Bref, le badass a la classe. Avec tous ses accessoires et son attitude de dur à cuire, le héros badass sera dans un premier temps pris par les gentils pour un sombre homme-de-main ou un mercenaire à la solde du méchant, mais révélera bien vite sa nature de défenseur des opprimés en lattant avec une facilité déconcertante, un style impressionnant et un sublime ralenti les sbires qui, en bons abrutis provocateurs et suicidaires qu'ils sont, n'ont pas manqué de se moquer de sa dégaine et de verser leur bière sur ses bottes cirées.

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Mark Gregory se protège de la lumière de son briquet grâce à ses lunettes de badass indien dans "Thunder 3".

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Bruce Baron, ninja badass dans "The Ultimate Ninja".

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Deron McBee, badass cabotin dans "The Killing Zone".

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Frank Zagarino au sommet de sa "badass-attitude" dans "Project Eliminator".

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Harold Diamond, une incarnation vivante du badass nanar qu'on retrouve aussi bien chez Amir Shervan que chez Andy Sidaris, dont les filmos regorgent de ce type de persos.

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Mark Watson se la pète grave dans un beau ralenti et sur une musique super-prétentieuse dans "Platoon Warriors".

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"Les jumeaux pédés : Mickey et Minnie McNamara !" ou quand la frime méga-virile peut prêter à confusion.

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Nick Reece, version nanarde de Chow Yun Fat dans "Top Team Force".


Par son look et son comportement, le badass a tout du mauvais garçon. Le héros badass est donc un "gentil vaurien" (comme dirait le badass intergalactique et, bien sûr, non-nanar, Han Solo), beaucoup plus séduisant qu'un héros trop propre et lisse. C'est en outre un être solitaire et mystérieux dont le charme fera des ravages auprès des spectatrices. Plus le héros paraît dur, plus il aura de chance de constituer une icône à la hauteur dans un film d'action. C'est pourquoi dans ce genre de film, quand le héros est un représentant de la loi, il aura toutes les caractéristiques du voyou. A bas l'uniforme, le flic rebelle se fout des règlements et affirme son style de caïd pour mieux se fondre dans la jungle urbaine et accomplir son devoir de manière expéditive, au grand dame de sa hiérarchie.

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Ted Prior dans "Fight Prison". Ne vous fiez pas à sa barbe, sa mulette grasse, ses boucles d'oreilles et son insolence, c'est un bloc d'intégrité dans un monde de corruption.

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Idem pour Brent Huff dans "Cop Game".

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Flic ou voyou ? Romano Kristoff, "Tough Cop" beau ténébreux.


Comme le badass se déplace rarement à pied (parce que ça n'en met pas plein la vue), il a le choix entre une énorme voiture de sport (la Ferrari rouge étant le minimum pour se faire remarquer), une moto tunée ou, si le film se déroule dans un avenir post-apocalyptique, un véhicule qui se doit d'être le plus rafistolé (pointes acérées en mousse fixées sur le capot, blindage en carton,... pour plus de précisions voir la définition de "tuning"), le plus rapide, le plus impressionnant, d'être repeint en noir ou au moins en couleur camouflage, et de dissimuler toutes sortes de gadgets hi'-tech.

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Blake Bahner dans "Blackbelt 2 : Fatal Force".

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Brian Bosworth dans "Stone Cold/La confrérie de la mort".

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Deron McBee dans "The Killing Zone".

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Richard Norton dans "Les nouveaux conquérants".

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Weng Weng, badass ultime et sexe-symbole par excellence.


Quant à son comportement, le badass doit adopter les manières suivantes : les mâchoires crispées, une démarche lente et nonchalante (qui accentue son aura), le torse bombé mais la nuque légèrement abaissée afin de cacher une partie de son visage sous sa longue chevelure (ça accentue le mystère) et de pouvoir relever lentement la tête, retirer leeeennnnntement ses lunettes branchées et plisser les yeux quand le patron du bar du coin le met en garde car les étrangers ne sont pas les bienvenus en ville (séquence généralement reliée par un effet musical approprié). Lorsqu'il ne se bat pas, les gestes du badass sont donc généralement lents et l'acteur qui le joue prend des pauses étudiées. Le badass parle très peu et sa voix est grave et virile. L'attitude du badass est donc directement héritée de celle de "l'homme sans nom" cher au western spaghetti. Un badass ne parle jamais de lui et son passé nous est toujours révélé par un autre personnage, les autres protagonistes apprenant en général après l'entrée en scène du badass le background impressionnant de notre héros. Vétéran héroïque d'au moins une guerre (le Vietnam pour les films des années 80, la guerre du Golfe ou d'Afghanistan pour les années 2000) et titulaire d'un paquet de médailles et citations militaires (toujours pour bravoure), il est en outre expert en tout : arts martiaux, tactiques de guérilla, bricolage d'armes nanardes, saut en parachute, conduite de tank, pilotage d'avion, d'hélicoptère et d'ULM, technologie de pointe de la CIA, géopolitique, ski nautique, Histoire de l'art carolingien, cuisine du gratin de courgette, etc, et en plus il tombe toutes les meufs sans même le faire exprès (mais il cache en général une blessure sentimentale derrière ses airs bourrus).

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Joe Lara dans "Steele le justicier d'acier".

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David Heavener dans "Reactor".


Ce descendant du "reluctant hero", ou héros malgré lui, ne recherche donc pas la bagarre et n'attaque jamais le premier. Cependant la passivité a ses limites et outre le cas de figure fréquent où le héros en fait trop dans la "badass-attitude", il arrive parfois que la nanardise vienne également du fait que le héros n'est pas vraiment à la hauteur de sa prétendue invincibilité. Le "gros dur" aura donc l'air d'une "grosse chochotte" et donc d'un badass imposteur.

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Miles O'Keeffe en "Loup du désert" : à priori, étant donné son look et son attitude, le badass parfait (et qu'est-ce qu'il est bôôôôô !). Seul l'héroïsme manque à l'appel.


Bien que le terme badass soit surtout utilisé dans les pays anglophones ('fin bon, logique, quoi) et n'ait pas de véritable équivalent en langue française (ce qui s'en rapproche le plus est "dur à cuire"), on retrouve ce type de protagoniste dans les cinémas du monde entier :

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En Turquie, où l'immense Cüneyt Arkin est le plus cooooooool d'entre tous.

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En Inde, pays où les badasses ont les plus grosses couilles du monde.

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Mais il faut dire qu'au Pakistan, la concurrence est rude (à noter que la moustache est l'attribut numéro un des purs badasses au moyen-orient).

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En Bretagne, où Jacques Stival est l'action-hero ultime.

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Tandis qu'en Ile de France, Laurent Dallias s'y croit à fond dans "RoboFlash Warrior" de Richard J. Thompson.


A noter que le terme "badass" s'est étendu à tout ce qui est admirable ou exceptionnel chez une personne, car selon la liste suivante, Audrey Hepburn et Mel Brooks sont d'authentiques badasses.


Le badass, qu'il soit le héros ou le méchant, est une figure récurrente du nanar d'action, et plus sa "badass-attitude" est poussée de manière excessive, plus sa nanardise est élevée. Le badass nanar est un mec méga-burné qui ne craint pas la peur... ni le ridicule (je sais que ça veut rien dire mais je trouvais que ça sonnait bien).

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"Dus", le film de badass absolu, avec quatre badasses bollywoodiens pour le prix d'un qui allument leur clope et se recoiffent à deux mètres d'une explosion mortelle.

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La "badassploitation", un genre qui perdure et fait vendre (semble-t-il).


Pour finir (car je suis un mufle), abordons le cas des badasses féminines, car la classe dure à cuire n'est pas réservée qu'aux hommes. La badass girl est une femme, généralement jeune et jolie, qu'il ne vaut mieux pas siffler dans la rue ou draguer avec insistance comme un gros lourd. Car à défaut d'avoir comme Chuck Norris des rouleaux sur lesquels baver, ce sont les bites des machos de service un peu trop excités qui risquent de se retrouver dans un tupperware. Souvent habillée d'une tenue en cuir moulante, la badass girl est une farouche justicière revenue en ville pour se venger d'un viol ou du meurtre de son petit ami/sa sœur/sa meilleure amie/son vieux maitre Shaolin avec la même invincibilité que son alter-égo masculin. Aussi invincible avec ses mains nues qu'avec une arme, elle remet en question tout le machisme un peu beauf de certains films d'action et apporte au genre une touche de féminisme. Bref, pour paraphraser Bernard Campan, c'est une fille qu'a des couilles.

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Cynthia Rothrock, plus grande badass girl de la planète.


Voir également : Héros, méchant, coolos, moustache

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Dernière édition par JACK TILLMAN le 05 Mai 2017 20:41, édité 31 fois au total.

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 01 Août 2013 0:09 
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Inscrit le: 26 Juil 2013 10:20
Messages: 47
Localisation: où il pleut
Hum, j'uis à côté de la plaque ou c'est Fidel Castro qu'incarne Danny Trejo? Sinon très très bonne définition (bien complète et tout).

Sinon, qu'on éclaire ma lanterne si j'ai faux sur un détail. Mais est-ce que Samuel L. Jackson n'est pas à considérer comme un bon badass au même titre que Mel Gibson/Mad Max? Enfin, j'dis ça car pour moi, il est indissociable du black badass.

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aman eo brest!


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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 01 Août 2013 1:20 
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Nanardeur + que respectable
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Inscrit le: 14 Nov 2008 17:39
Messages: 513
samuel l jackson est bien sûr une forme d'icône de la badassitude, héritée de la blaxploitation et de son passé un peu sulfureux chez les black panthers. La définition est bien, peut-être qu'il faudrait insister un peu plus sur la personnalité de l'individu, et, en bon héritier de l'homme sans nom sur son côté mauvais garçon, et héros mystérieux, puis sur la diffusion du terme qui évoque à la suite tout ce qui est exceptionnel, héroïque, inattendu et dur à cuire chez une personne, sinon on aura du mal à comprendre qu'une telle liste qualifie mel brooks et audrey hepburn de basasses http://www.cracked.com/article_18905_11 ... asses.html Il me semble que le personnage tire son origine du "reluctant hero", ou héros malgré lui, effectivement très lié aussi au western spaghetti, avant d'être incarné par bruce willis avec la série des pièges de cristal, qui est un peu maintenant le grand-père (eh oui, déjà) des badasses actuels, ou du moins de ceux qui veulent l'être. La nanardise arrivant quand soit, il en fait trop... Soit il n'est pas complètement à la hauteur, et Miles O'Keefe est un merveilleux exemple de badass nanar en mousse.


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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 01 Août 2013 10:07 
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Nanardeur fou ?
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Inscrit le: 24 Déc 2011 20:36
Messages: 2425
Localisation: Quelque part entre les bornes et les limites
Merci pour vos compliments, je vais éditer ma définition en tenant compte de vos remarques. :D

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 Sujet du message: Re: GLOSSAIRE NANAR
MessagePublié: 02 Août 2013 16:43 
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Nanarland lui doit beaucoup
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Inscrit le: 01 Oct 2003 15:13
Messages: 5359
Localisation: Grenobyl
Je manque un peu de temps en ce moment mais je tenais juste à vous féliciter pour les derniers articles, mulette et badass sont excellents, ne vous inquiétez pas, à terme ces définitions rejoindront le site, elles le méritent !

Bruce Baron en mode Bad-Ass dans The Ultimate Ninja (de mémoire, il vaut aussi le coup d'oeil dans "L'enfer des armes") :

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"Dans le monde de "Last Action Hero", j'suis à peu près persuadé que c'est Ralf Moeller qui joue dans "Un flic à la maternelle". (Plissken)


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