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 Sujet du message: Mac et moi - Stewart Raffill (1988)
MessagePublié: 27 Jan 2008 16:50 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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http://www.nanarland.com/Chroniques/Mai ... m=macetmoi

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Les films de comédie familiale planqués dans la catégorie Enfant de Nanarland ont de quoi faire peur. Qui parmi nous n'a pas connu dans sa jeunesse ces longs moments insupportables passés devant l'écran à regarder une horreur dégoulinante d'émotions frelatées, tout ça parce qu'il n'y avait rien d'autres à la téloche à part un énième épisode d'Arabesque ? C'est souvent très mauvais, ça nous renvoie une image de petites n'enfants tout gentils qu'on n'a pas envie d'être, ça déborde de bons sentiments niais et écœurants alors qu'on a qu'un souhait, c'est de voir de l'action, de la violence, voire de l'érotisme, bref tout ce qui nous est interdit. Alors maintenant qu'on est devenu grand et qu'on peut enfin décider de ce qu'on va regarder, pourquoi se replonger dans ces mauvais souvenirs ? On a payé notre dû, ça suffit !

Je peux comprendre ça. Mais là, on est devant un gros morceau. Le genre de truc qui nous aurait sûrement déjà fait tiquer lorsqu'on avait 10 ans.

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Les producteurs sans scrupule, on connait ça sur Nanarland. Faire du blé sur le dos de nos petites têtes blondes en pondant des bouses, c'est pas nouveau. Plagier honteusement les classiques hollywoodiens afin de berner la brave mère de famille qui cherche à faire plaisir à ses chiards tout en rognant sur la dépense, quoi de plus habituel ? Mais certains ont apparemment décidés de remporter le titre du plus vil en mettant toutes ces arnaques au service de grandes marques qui ont forte envie de disposer de temps de cerveaux en formation, bien conscient que les chairs neuronales jeunes sont plus malléables et impressionnables que les méduses cérébrales gélatineuses de leurs ainés, déjà bien ensuquées par la télévision.

La victime du jour, c'est ET. Mais si vous savez, la petite créature de l'espace qui a des problèmes de ligne téléphonique et qui souffre d'un panaris lumineux au doigt. Non, pas la crotte qui pète, ça c'est Badi. Nooon, celui qui a un rhume chronique, c'est Nukie ! Enfin quoi, le laryngitique chronique qui était prof de lettres dans sa jeunesse. C'est bon, vous le remettez ? Et bien cette attendrissante créature créée par Spielberg n'a que trop rameuté de spectateurs dans les salles obscurs pour ne pas être exploité malgré elle par l'intermédiaire de copies douteuses. Cette copie douteuse particulière dont je tiens à vous parler aujourd'hui, c'est une petite horreur informe nommé Mac. Un nom pas si innocent, mais je vais y revenir.

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Et voilà la star !

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Le même en version guimauve qu'on étire.

Bon, quelle approche les scénaristes ont-ils décidé d'employer pour justifier cette amitié intergalactique. Rien que de très banal : une sonde de la NASA se pose sur une planète indéterminée (Saturne selon la jaquette), à la recherche de petits bouts de cailloux ramassés à l'aide d'une sorte de pelle. Mais comme ses ingénieurs sont facétieux et sont à la page en matière de tâches ménagères, ils ont aussi équipé l'engin d'un aspirateur, détail qui va rapidement avoir son importance. En effet, une famille d'extra-terrestres intrigués par cette arrivée décident de venir voir ce qui ruine leur gazon de caillasses et commencent à titiller la belle machine qui réagit alors par des bip bip outrés (gag !) et se décide à les aspirer, hop, retour au bercail terrestre.

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L'arrogance de la NASA assimile les ET à des moutons de poussière.

Je m'arrête tout de suite dans ce passionnant récit pour d'emblée préciser un atout nanar qui agresse immédiatement les yeux du spectateur : les extra-terrestres sont purement ignobles. Le visage déformé comme si leur plastique facial avait fondu, conservant une bouche en cul de poule, le regard perpétuellement halluciné, des tétons desséchés sur le crâne (organes sexuels semblerait-il), c'est le carnaval d'un ridicule légèrement effrayant. C'est bien simple, il est impossible de désigner lequel est le plus horriblement laid ; personnellement, je dois reconnaitre qu'après plusieurs visionnages j'ai un petit faible pour la fillette au rétrognathisme facial fascinant de répulsion.

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C'est-y pas effrayant ça ?

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La petite fille extra-terrestre qui renvoie dans son puits Sadako et consort.

Et comme leur aspect physique n'était apparemment pas suffisamment infâme au goût de leurs créateurs, leur animation est dans la droite ligne de leur monstruosité : dans ce domaine, le papa est un champion, on a l'impression qu'on a remplacé ses articulations par des élastiques, ce qui lui donne une démarche grandguinolesque qui ferait frémir d'envie une marionnette à ficelle. Il y a de quoi se demander comment de tels êtres pourraient bien faire ressentir une quelconque empathie, même pour les n'enfants. Et le meilleur est qu'on ne s'habitue jamais de tout le film à ces aliens catastrophiques qui font passer ET pour un canon de beauté.

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Mac arrive à ressembler à un croisement entre Yoda et Abe, version caoutchouc brulé.

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Je ne m'habituerai décidément jamais à celle-là.

Bref, pour en revenir quand même au scénario : revenus sur Terre, nos p'tits hommes gris s'échappent de la base de la NASA dans un grand moment de capharnaüm à base de fumée. Malheureusement, le petit Mac est séparé de sa famille qui se retrouve on ne sait comment dans la Vallée de la Mort, errant comme des Somaliens en quête d'eau potable, vêtus de misérables bâches en plastique.
Mac est projeté quant à lui en plein trafic routier, provoquant un accident assurément mortel dans la vraie vie mais qui se révèle ici sans trop de conséquences (ouf, merci la comédie familiale). Après quelques effets spéciaux particulièrement mauvais, il finit par atterrir dans le 4X4 de notre chère famille principale dont on pressent rapidement l'énorme intérêt émotionnel. Et c'est là tout l'art du ciné calibré ricain qui permet à son spectateur de tout comprendre d'une complexe situation familiale en quelques secondes : Janet, mère veuve, moderne, dynamique et prête à tout pour ses enfants, Michael, le grand frère aidant, chamailleur mais sympa, avec des hormones mâles qui commencent à signaler leur existence, et le meilleur, celui qui vous tirera des larmes de compassion, sortez les mouchoirs, Eric, le petit frère handicapé qui ne se laisse pas abattre par la vie, candide mais débrouillard avec son visage d'emballage Kinder. Et ce modèle familial des temps nouveaux d'affronter l'adversité représentée par un déménagement en Californie, sans se douter que leur coffre contient un chiard de l'espace.

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Il est décrit dans le film comme "une omelette avec des yeux" !

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Eric, cyniquement qualifié dans le résumé de la VHS française de "jeune garçon plein de dynamisme".

Inutile d'en dire plus, astucieux lecteurs, vous avez probablement deviné la suite : Mac fait des conneries, se fait tauper par Eric que personne ne croit, puis devient ami avec lui ce qui les entraine dans les aventures les plus folles, surtout que la CIA (ou un autre pseudo-organisme gouvernemental alors peu apprécié par la population) est à leur recherche. Du classique quoi. Sauf que là, je te rappelle que c'est d'un nanar dont il s'agit, ce qui sous-entend que nombres de passages vont te surprendre et te faire rire. Bah ouais, pour Mac, faire des conneries, ça veut dire entre autres ruiner la nouvelle maison en la transformant en jardin botanique, détruire les murs à la perceuse sans se soucier de savoir si la mèche ne risque pas de perforer le crâne d'Eric situé de l'autre côté de la cloison ou bien ravager la porte d'entrée à la scie circulaire. Et quand notre valeureux gamin en fauteuil roulant part à la poursuite du fauteur de trouble, c'est pour mieux se retrouver à dévaler la pente du jardin qui donne droit sur un précipice de 15 mètres, avec chute ordinairement dévastatrice à la clé (oui mais encore une fois, comédie familiale, donc pas de bobo).

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Mac découvre la fragilité du placo.

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Mac, architecte d'intérieur bio.

J'en profite d'ailleurs pour m'arrêter un peu sur la prise en charge médicale qui s'ensuit, un grand classique qui m'amuse toujours autant. Alors qu'un p'tit passage aux urgences se justifierait sans problème pour bilanter un peu le môme suite à sa vertigineuse une chute, le médecin se contente d'un léger examen clinique avant de refiler un sédatif à Eric tout ça parce que ce dernier parle d'une petite créature qui rôde. Aaaah, la médecine américaine décomplexée : la solution pharmacologique, la réponse à tous les problèmes.

Mac et moi étant un film complet, impossible d'échapper à une séquence "we need a montage" avec un jogging de la maman accompagné de son fiston à roulettes, circulant insouciement en plein milieu de la route, sur fond de musique 80's. Et le petit plus nanar se situe dans l'absurdité du nivellement : ainsi, durant tout le fameux footing, le terrain est en nette descente, sans jamais remonter. C'est vrai que c'est moins fatiguant comme ça.

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Mac et la morve de l'espace.

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Tenez, un peu d'alien immonde, ça faisait longtemps (et une pastèque, fruit nanar depuis le moyen-âge nippon).

Toutefois, tout cela n'est rien à côté du grand moment qui a permis au film de rester dans les mémoires des chanceux qui l'ont vu à l'époque. Oui, souvenez-vous, j'ai évoqué en début de chronique ces salopards qui profitent des métrages pour gamins innocents afin de leur bourrer le crâne de placements produits. Et bien Mac et moi n'existe quasiment que pour être un placement produit. L'anniversaire de la petite voisine qui se déroule au macdo du coin permet de se libérer de toute retenue : dandinage du cul de notre mini-alien déguisé en nounours miteux, entrainant dans une folie rythmique délirante l'ensemble des clients du fast-food (particulièrement vaste), contenant pêle-mêle des danseuses étoiles, des cheerleaders, des joueurs de foot, et même Ronald MacDonald. Tout ce petit monde bouge son body dans une chorégraphie spontanée et saute dans tous les sens, l'épidémie se répandant à une vitesse incontrôlable jusqu'aux extérieurs, rassemblant des groupes d'une bonne trentaine de personnes. Un spectacle tout bonnement hallucinant d'excès où le grumeau gris from outer space acquière enfin son nom, au détours d'une phrase, là, comme si de rien n'était. Et d'enchainer avec une course poursuite tout aussi délirante nous offrant un Eric dévalant les avenues de Californie, Mac sur ses genoux comme un ET dans un porte-bagage de vélo, à contre-sens de la circulation dans un véritable défi "à la dégonfle", poursuivi par les vils agents gouvernementaux.

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Le seul film d'imdb où Ronald est crédité as "himself".

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Saint-Ronald, priez pour notre salut !

Mais comme MacDonald's n'est pas un sponsor jaloux, les producteurs ont aussi profité de la manne d'un célèbre fabriquant de boissons gazeuses qui s'insinue au plus profond du scénario. En effet, souffrant de leur bouche en cul de poule, Mac et sa famille sont obligés de boire par l'intermédiaire de pailles l'incontournable allié du cheeseburger, à savoir le Coca-Cola. Leur consommation effrénée et compulsive devient d'ailleurs assimilable à une véritable toxicomanie qui poussera même le paternel à agresser une jeune femme pour pouvoir se soulager (tout ça pour un pâle substitut de 7up). C'est bien simple, ils n'ingèrent rien d'autres et on assiste lors d'une morbide séquence à une véritable réanimation quasi-résurectoire au Coca. On peut se demander si la marque n'a pas volontairement profité de l'allure d'Africains dénutris de nos ET pour rappeler l'anecdote qui veut que dans certaines situations de manque en eau potable et en soluté OMS, on ait utilisé cette boisson pour sauver les petits noirs de la déshydratation. On verra bien ce qu'il leur adviendra lorsqu'ils développeront un space diabète dans 10 ans. Grâce à tous ces excès consuméristes, il se dégage du film une véritable ode au matérialisme et à la propriété qui amène par exemple Michael à déclarer dès la découverte de son nouveau logement : "Super, un garage pour deux voitures !!". Vous l'aurez compris, la relance de la croissance passe par le visionnage collectif de Mac et Moi.

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La réanimation au Coca, une thérapeutique d'avenir.

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Un double placement produit : en effet, toutes les télés du film diffusent un épisode des Snorky's (?)

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Skittles devait avoir plus de scrupules à s'afficher aussi visiblement.

C'est donc la foire au nanar qui se poursuit avec la visite d'un supermarché par nos extraterrestres déglingués en manque de sodas, l'explosion d'une station service, jusqu'à un dénouement qui frise le trash peu conventionnel avant de retomber de tout son poids dans une conclusion qui allie une totale surprise pour le spectateur à un mauvais goût des plus douteux dont seule l'Amérique a le secret. Et pas peu fiers de leur rejeton cinématographiques, les responsables osent même annoncer une suite... qui ne verra (malheureusement ?) jamais le jour.

Succession tambour battant de clichés aux excès indiscutablement nanars et au marketing honteusement flagrant, Mac et moi n'ennuie jamais et vous promet une hilarante réconciliation avec la comédie familiale.

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C'est beau de rêver.

Pour informations, le film a obtenu le Razzie Award 1989 de pire réalisateur (Stewart Raffill, par ailleurs réalisateur de Ice Pirates) et de pire nouvelle star (pauvre Ronald MacDonald). Comme quoi même à l'époque, nul n'était dupe.



3.5/5



Vidéo : L'émeute du MacDonalds.


Images Bonus :

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Mac a un gros cul sur celle là.

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Voici ce que nos héros appellent des "moulins à vent".

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Un jogging inconscient.

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Mac, une nouvelle fois victime d'un aspirateur, se la joue poltergeist.

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Juste laid.

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L'accident de voiture sans conséquence.

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Bon, ça spoile un peu, mais c'est tellement insoutenable qu'il fallait les capser.









Titre du film : Mac et moi
Titre VO : Mac and me
Année : 1988
Pays : USA
Réalisateur : Stewart Raffill
Acteurs : Christine Ebersole, Jonathan Ward, Tina Caspary, Lauren Stanley, Jade Calegory, Vinnie Torrente ...
Catégorie Enfants
Genre : Big Mac et Coca pour tous !
Durée : 1H35




Cote de rareté : 3/Rare

Mac et moi existe en VHS chez CBS Fox, en VHS américaine, en DVD zone 1, et en fouinant bien, vous pourrez le trouver dans vos bacs à soldes en DVD pirate (Prism ?) sous le titre Nukie et Miko.

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La VHS française.

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Le DVD zone 2, qui vole le titre... d'un film qui, lors de sa sortie en VHS, lui avait volé son visuel (voir plus bas). A charge de revanche.

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La VHS américaine.

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Le DVD zone 1.




Et le meilleur pour la fin : le jeu des 7 erreurs entre ce visuel de Mac and Me, et celui de la VHS de Nukie et Miko.

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Dernière édition par Kobal le 02 Mars 2008 19:07, édité 1 fois au total.

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MessagePublié: 27 Jan 2008 18:07 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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aaaaaaaaaarrrrrrrrrrggggggggggg que c'est moche :shock: :shock: :shock: :shock:

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MessagePublié: 27 Jan 2008 18:12 
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Docteur es nanarologie
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Localisation: quelque part dans les nuages, en train de chercher du sucre pour George Harrison
très chouette chronique!

Il avait déja été posté ici ce film d'ailleurs: http://xit.easy-hebergement.info/nanarl ... t=mac++moi

C

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MessagePublié: 27 Jan 2008 18:23 
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Schtroumpf Grognon
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Il est dispo en dvd zone 2 de chez prism depuis quelques temps déjà sous le fameux titre de "Nukie et Miko" :-D

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MessagePublié: 27 Jan 2008 18:33 
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Docteur es nanarologie
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Localisation: quelque part dans les nuages, en train de chercher du sucre pour George Harrison
Kobal a écrit:
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assez unique, cet handicapé en mousse, non? :-D

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MessagePublié: 27 Jan 2008 19:01 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Localisation: Cherche sont beschrell
charlie le nain a écrit:
très chouette chronique!

Il avait déja été posté ici ce film d'ailleurs: http://xit.easy-hebergement.info/nanarl ... t=mac++moi

C


On aura qu'a mettre une double chronique.

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Guilty Greg


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MessagePublié: 27 Jan 2008 19:17 
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Nanar un jour, nanar toujours
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Localisation: "dans une partouze à Troyes, en train de jeter du pop corn"
chouette chro kobal, ça m'a l'air frais comme film, en plus le style change, la comédie familiale est genre que je ne connais quasiment pas.

Bon je mate ça et après j'enchaîne avec le ET porno, la boucle sera bouclée :P .

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"rhaaa aaahaaa regardez qui est là, cette salope de Solange !"

( femmes en cage )


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MessagePublié: 27 Jan 2008 19:17 
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Maîtres es Nanar
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Localisation: Trolleur Atitré de Nanarland
Et bien...

Je suis sûr que des n'enfants ont eu des cauchemars et des années de thérapie après ça...

Mondieu que c'est laid ces trucs...

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MessagePublié: 27 Jan 2008 19:23 
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Détecteur de plans nichons
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Je l'avais trouvé moyennement nanar, celui-là, à part le look de Mac (effectivement très laid) et la scène dans le MacDo.

Je confirme par ailleurs ce qu'a dit MrKlaus : le DVD français "Nukie et Miko" contient effectivement "Mac et moi".

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MessagePublié: 27 Jan 2008 20:42 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Localisation: Dans une bulle de confinement psychédélique
Ah, les fourbasses de Prism.
Personne n'a de jaquette du DVD pour que je l'ajoute à la cote de rareté ?

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MessagePublié: 11 Fév 2008 23:01 
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Je trouve qu'on est chanceux que ce film aille fait un bide quand même.

Imaginer qu'un accident transdimmensionel fait que ce film dans un monde ou il y a jamais eu E.T (et donc ce film ne serait pas un honteux plagiat) et que pour une raison étrange ce film devienne un succès du même niveau que E.T (horrible je sais) et que les recettes de Coca-cola et Macdo atteigne des sommets inégalés

et bien ça pourrait amener des tas de producteurs à encore plus corporatiser les films pour enfants et les films en général (bon ok déjà pas mal de dessin animés existe uniquement pour nous amener à harceler à acheter les figurines, mais imaginer ça en pire) et qu'en suite tous les films ne sont que des plagiats d'anciens films sinon qu'il ont plein de placement de produits à toutes les 15 minutes (oula pourquoi j'ai l'impression decrire la réalité). Je suis pas mal sûre que la civilisation ce serait écrouler après quelques mois.

au sujet de Ronald Mcdonald je comprend pourquoi il est créditer as himself qui voudrait avoir été associer à un tel truc.

Gag assez amusant la séquence de la chaise roulante à été utiliser comme un gag au Late Night show de Conan O'brien lorsqu'un certain acteur vient promouvoir un film et donc au lieu de montrer une séquence du film de cet acteur (Paul Rudd) il montre la séquence de Mac and Me.

Le Mcdo du film à été longtemps été utilisé pour les filmer les pubs de la chaîne (y compris celle là) il était apparamnent aussi utilisable qu'un vrai.


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MessagePublié: 12 Fév 2008 0:44 
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Je l'ai vu quand j'étais petit! Mais bon à cette époque j'étais loin du concept nanar!
A la fin on voit pas Mac avec la main posé sur une bible pour devenir citoyen américain?

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MessagePublié: 12 Fév 2008 9:17 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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zaybacker a écrit:
Je l'ai vu quand j'étais petit! Mais bon à cette époque j'étais loin du concept nanar!
A la fin on voit pas Mac avec la main posé sur une bible pour devenir citoyen américain?

SPOILER : oui et de jurer de prendre les armes pour aller défoncer la face des ennemis de l'Amérique.

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MessagePublié: 12 Fév 2008 9:37 
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Localisation: Ici...là, juste à droite
j'avais pas vu cette chronique de Kobal !!!

Putain mais merde QU'IL EST LAID !! MAIS LAID ! MAIS LAIIIIIIIIDDD


je parle pas de Kobal, hein ? :-D

D'ailleurs c'est dingue comme on voit bien la trame de base d'ET (gros yeux et petit nez) pour construire ce Badi...pardon ce Mac qui au final a plus tendance à faire peur qu'autre chose

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Citer:
Nanaralnd et une bon site (je connaisais pas) mais il abuse defois, mettre the punisher ou armaggedon il peuvent aller ce pendre.

Forumeur anonyme, quand tu nous tiens....


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MessagePublié: 18 Fév 2008 22:46 
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Désolé pour le retard, et effectivement il est laid.


Mais je me posais une question bête : Est-ce que ce film (et les autres films du même genre), avec de meilleurs moyens (meilleur budget, aliens mieux faits, meilleur réalisateurs, meilleurs acteurs, aucun placement publicité et autre) peut donner un bon film ?

Perso, je pense que oui.

EDIT : Juste pour infos, ça se termine comment ?


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MessagePublié: 19 Fév 2008 8:33 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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mopilat a écrit:
Mais je me posais une question bête : Est-ce que ce film (et les autres films du même genre), avec de meilleurs moyens (meilleur budget, aliens mieux faits, meilleur réalisateurs, meilleurs acteurs, aucun placement publicité et autre) peut donner un bon film ?

Perso, je pense que oui.

EDIT : Juste pour infos, ça se termine comment ?

ET est quand même reconnu comme un classique.
Et sinon, lis mon spoiler quelques posts au-dessus. :wink:

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MessagePublié: 28 Fév 2008 15:29 
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AAaaah Mac et moi.. Je l'ai vu à la TV il y a plus de 10 ans.. Je crois que je dois encore l'avoir en K7 quelque part.

Ca confirme ce dont je me rappelais: des extra-terrestres très moches qui boivent du soda tout le temps et font la fête dans un MacDo... Etrangement je me rappelle simplement avoir bien rigolé.. mais peut-être étais-je déjà amatrice de nanars sans le savoir :-D

Il va valloir que j'aille explorer ma collection de K7..


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MessagePublié: 29 Fév 2008 17:08 
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C'est un film que j'adorais étant gamin, même si il a plutôt mal vieilli, il en reste pas moins un très bon film familial. Moi il m'a plu !

Ce film est mieux que E.T., car Mac lui il est mignon, E.T. il m'a fait des cauchemars étant gamin et je le trouve nul comme film, a très très mal vieilli réalisé par un Spielberg sur la coke !

Au fait, un film africain a reprit la même cassette c'est vraiment étrange, il est critiqué sur ce site, Miko et un autre nom dont je me souviens pas.. Ils ont le droit de faire ça ?


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MessagePublié: 29 Fév 2008 20:19 
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:shock:

Rassure moi, tu est ironique ?

Car sinon :

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MessagePublié: 02 Mars 2008 2:06 
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Aaaah, ce fameux "Mac et Moi" faisait parti des films que je me mater en boucle etant gamin et qui... plus de 15 ans plus tard, le retrouve à la vente en DVD sous le titre "Nukie et Miko" pour moins de 2€, cool !
Sauf que là, pour le voir en entier il m'a fallut plusieurs jours, tellement c'est indigeste. Mais mes enfants adorent à leurs tour :? :lol:


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