Forum Nanarland.com

Le forum des mauvais films sympathiques
Nous sommes actuellement le 29 Mars 2024 3:14

Heures au format UTC + 1 heure




Publier un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 13 messages ] 
Auteur Message
 Sujet du message: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 14 Juil 2014 2:33 
Hors-ligne
Nanardeur fou ?
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 24 Déc 2011 20:36
Messages: 2425
Localisation: Quelque part entre les bornes et les limites
Bonjour. Là je me suis attaqué à un film "célèbre". A faire passer "Plan 9" pour un bon film. Il existe peut-être encore plus nul, mais là c'est quand même un maitre-étalon. Peut-être un peu hardcore mais ça demeure un classique incontournable du nanar ricain.
Bonne lecture. :wink:

-_-

SHRIEK OF THE MUTILATED

Image

Titre original : Shriek of the mutilated

Titres alternatifs : Mutilated, Scream of the Snowbeast

Réalisateur : Michael Findlay

Année : 1974

Pays : États-Unis

Genre : (Abo)minable homme des neiges (Catégorie : Épouvante)

Durée : 1h26

Acteurs principaux : Alan Brock, Jennifer Stock, Tawn Ellis, Michael Harris, Darcy Brown, Jack Neubeck, Ivan Agar


Image


Le Yeti est un monstre qui a beaucoup enflammé les imaginations et a connu plusieurs périodes de gloire dans les médias, et par conséquent au cinéma. On compte trois grandes vogues de "yetimania" :

D'abord, les années 50, où les photos d'empreintes géantes prises dans l'Himalaya par l'alpiniste Eric Shipton suscitèrent l'engouement du public occidental et où l'on vit apparaitre sur les écrans quelques abominables hommes des neiges bien kitschs ("Man Beast" de Jerry Warren, "The Snow Creature" de W. Lee Wilder, "Half Human" de Inoshiro Honda); puis durant les 70's, le yeti disputa aux extraterrestres et au Triangle des Bermudes le titre de "sujet de société paranormal n°1" suite à la bobine tournée par Roger Patterson en octobre 1967, montrant un homme d'aspect simiesque se baladant dans la Foret Nationale 'Six Rivers' au Nord de la Californie et dont beaucoup affirmèrent qu'il s'agissait d'une preuve irréfutable de l'existence du Bigfoot (d'autres supposèrent qu'il s'agissait plus simplement d'un canular avec un type costumé) et les films le mettant en scène rivalisèrent quant à eux de nanardise, entre "Yeti le géant d'un autre monde" et son cousin américain "Bigfoot", lequel tentait d'engrosser des filles à gros seins et affrontait des bikers menés par Chris Mitchum dans le film éponyme de Robert F. Slatzer, on se demande lequel est le plus ridicule du Tibétain ou du Yankee; et puis à partir de la fin des années 90, le retour à la mode des DTV à base de monstres tueurs de teenagers vit revenir le célèbre anthropomorphe dans de nouvelles aventures bien sanguinolentes (avec des titres comme "Yétis : Terreur en montagne", "Yeti : Curse of the Snow Demon", "La bête" aka "Sasquatch Mountain"...).

A noter que durant les années 80, le Sasquatch fut en outre l'objet de comédies familiales comme "Bigfoot et les Henderson" et autres "Little Bigfoot", très inspirées par "E.T". Sans compter ses avatars pornographiques, comme l'hypnotique "The Geek" de 1971. Un véritable genre cinématographique à part entière était né : la "yetisploitation". A coté de toute cette imposante filmo, le mystère est demeuré entier sur l'existence réelle ou imaginaire de la créature (et aller, un peu de discours parano-paranormal comme on pouvait en entendre dans les émissions spécial "mystères de l'étrange" de Direct 8...). "Shriek of the Mutilated" se propose d'élucider toute cette affaire et de nous livrer enfin l'explication, la clé de l'énigme. Manque de pot, ses révélations repoussent très loin les limites du grotesque, le film étant d'un non-sens absolu.

Image
Image
Image
Ceci est un film éducatif.


Car on nage ici en pleine infra-zèderie psychédélique, l’œuvre étant par moments proche d'un "A night to dismember" où d'un équivalent ricain de "Mad Mutilator". "Shriek of the Mutilated" alterne ainsi de longues scènes de remplissage éhonté avec des instants de fulgurance nanardo-psychotique d'une violence délirante qui fait à chaque fois grimper en flèche le compteur du nanaromètre. L'atmosphère zédarde du métrage nous saute à la gorge tel un Sasquatch en furie dès les premières images montrant une indescriptible décapitation rituelle tout droit sortie d'une autre dimension sensorielle, suivie d'un générique bien bizarroïde accompagné par un pianiste qui viendra régulièrement nous jouer quelques airs classiques dont les accents opératiques semblent quelque peu déplacés face à la misère artistique de la chose.

Image
Image
Le Père Noël est une ordure, la preuve, il décapite des gens !

Image
Image
Un générique bizarre et aveuglant qui fait en sorte qu'on ait du mal à lire les crédits... Conceptuel.

Image
Ne comptez pas sur moi pour vous dire ce qu'un zoulou vient faire là-dedans, je vous laisse la surprise...


L'histoire semble simple au premier abord mais donnerait au final des maux de tête à Agatha Christie. Un professeur de fac, obnubilé par l'existence du yéti, monte une expédition avec ses étudiants afin de mettre la main sur l'abominable homme des neiges et prouver ses théories. Malgré les mises en garde du seul rescapé d'une précédente expédition, notre équipe se rend sur une île, dans la propriété d'un ami du professeur, qui affirme avoir vu le yéti de ses yeux. Alors qu'ils mènent leurs recherches dans la foret, les étudiants sont évidemment trucidés les uns après les autres par la créature. La suite est de plus en plus confuse : le professeur utilise les cadavres des étudiants tués pour appâter le yéti, le héros et l'héroïne n'arrêtent pas de se disputer, des gens rotent, le héros tente d'aller chercher des secours, l'héroïne apeurée découvre des cadavres et des indiens dans les placards, et le film se conclue par un twist final débile et totalement abracadabrant. Je ne veux pas vous en révéler trop, mais sachez qu'une secte internationale de cannibales sataniques est dans le coup. Le film a des airs de version live façon "cinéma d'exploitation" des Aventures de Scoubidou, que ce soit dans le look et la personnalité des quatre étudiants (le héros blond, la jolie fille, la rousse à lunettes et le grand filiforme "rigolo"), le mini-van à fleurs qui leur sert à se déplacer et le pitch final, c'est un peu tout pareil à part qu'ils n'ont pas de chien.

Image
Le savant obsédé par ses recherches, qui manifeste peu d'intérêt pour la vie de ses élèves (Alan Brock).

Image
Son confrère, vague lookalike chevelu de Philippe Torreton (Tawm Ellis).

Image
Le blond héros (Michael Harris), élève préféré du professeur à qui il voue une confiance un peu trop aveugle.

Image
Sa copine, la belle héroïne (Jennifer Stock), moins crédule que son compagnon et un peu encline aux scènes d'hystérie hurlantes (on dirait une actrice française), mais je lui pardonne car je suis amoureux.

Image
La rouquine aux binocles surdimensionnées (Darcy Brown).

Image
Le boute-en-train de la bande (Jack Neubeck, qui cabotinait à l'extrême en redneck vampire serial-killer dans "Invasion of the Blood Farmers" et qui la joue hélas sobre ici).

Image
Lalala, Scoubidoo
lalalalalala, on va rééésoudreuh ce myyystère...



Produit et scénarisé par Ed Adlum, réalisateur de "Invasion of the Blood Farmers", et mis en scène par le pornographe Michael Findlay, monteur sur "Invasion...", passé à la postérité pour avoir lancer la mode des "snuff-movies" en tournant en Argentine ("là où la vie ne vaut pas cher") le faux "film le plus choquant de tous les temps" "Snuff" (en fait un pauvre petit film d'horreur méga-cradingue et assez risible s'inspirant de l'affaire de la "famille" Charles Manson) et qui tourna également avec sa femme Roberta un paquet de films horrifico-érotiques et de pornos expérimentaux mettant en scène des tribus d'amazones nymphomanes et des histoires de violeurs en série, "Shriek of the Mutilated" est sans nul doute l'une des productions les plus miteuses qu'il m'ait été donné de voir. Si la réalisation est à peu près fonctionnelle par moments, Mike ne se prive pas pour nous infliger montage décousu, cadrages hasardeux, flous artistiques et autres choix lamentables qui montrent bien l'étendue de son incompétence.

Image
Image
Image
Un art du cadrage digne de Jesus Franco au meilleur de sa forme.

Image
Image
Une mise au point pas toujours très au point.

Image
Image
Le réalisateur peut également compter sur de charismatiques figurants pour ses plans de coupe.



Comme je l'ai dit précédemment, le film est marqué par une forte tendance au remplissage et le récit est farci de dialogues et de scènes inutiles. Ce penchant pour le meublage culmine lors de la scène suivante : alors qu'ils préparent leur expédition au début, nos étudiants se rendent à une fête dans un appartement, dansent sur une musique immonde et papotent en compagnie d'autres jeunes sans que ça n'apporte rien à l'intrigue. Sur ce, débarque le survivant traumatisé de la précédente expédition accompagné de sa copine. Le type picole et raconte aux héros comment il a été attaqué par le yéti. S'en suit un flashback insoutenable car les images semblent avoir été plongées dans un baquet d'acide. Puis, de retour chez eux, le type égorge sa copine avec un couteau électrique car elle a planqué les bouteilles de gnôle pour l'embêter. Le type prend ensuite un bain tout habillé et sa copine, qui a pourtant eu la gorge tranchée, rampe jusqu'à la salle de bain et jette un grille-pain dans la baignoire pour se venger. Ça n'a aucun rapport ni aucune incidence sur le reste, mais c'est toujours dix minutes de gagner.

Image
Image
Image
Image
Un flashback qui grille les rétines.

Image
Image
Image
Image
Image
Image
Deux meurtres gratuits, c'est la maison qui offre !


Les personnages sont tous profondément antipathiques et les acteurs, qui sont pour la plupart des amateurs n'ayant rien tourné d'autre ou presque, méritent le respect car ils font tous de louables efforts et parviennent à garder leur sérieux malgré le ridicule du machin dans lequel ils apparaissent. Certains jouent d'ailleurs pas trop mal. Cependant, dans le lot, il est un joker nanar absolument fantastique, c'est Ivan Agar. Ivan interprète "Corbeau qui rit", un indien muet et un peu fou au service de l'hôte de nos héros, une sorte de version Cheyenne de Igor qui ne s'exprime que par des borborygmes désopilants, que son maitre nous présente d'ailleurs en disant "c'est mon indien", comme s'il disait "c'est mon chien, Medor, n'ayez pas peur il ne mord pas !" Ivan est LA révélation du film, un acteur au jeu si pur qu'on en pleurerait d'émotion si on n'était pas déjà écroulé de rire à chacune de ses apparitions. Face à une aussi fabuleuse surenchère de grimaces, des images s'imposent :

Image
Image
J'ignorais que les Indiens étaient aussi velus...

Image
Image
Image
"Corbeau qui rit" nous raconte comment il a été kidnappé par le yéti et comment cet évènement l'a marqué à vie : "Eeeuurh GEEEUUUHH Heurgh Gneuhh Neeuuh beeeuuuhh gnneugneuh Gneeeuuuh!!!" Bouleversant !

Image
"Corbeau qui rit" et son hochet.

Image
Image
Dites Aaaaahhh...


Image
Image
L'Indien du placard.


Mais n'oublions pas l'autre atout majeur de ce film d'épouvante en mousse, le fameux yéti. Ses apparitions sont brèves mais intenses. Ainsi, si au début le réal prend soin de le filmer de loin ou de manière confuse, il nous laisse tout le temps d'admirer le déguisement pelucheux de son craignos-monster lors du final. En matière d'effets spéciaux débiles, on ne peut pas dire que les effets "gores" qui accompagnent ces séquences d'agressions soient plus crédibles eux non plus. On est vraiment dans les tréfonds du Z. Mais il n'y a pas que les images, il y a aussi les grognements impayables du sasquatch, sortes de cacophonie faite à la bouche par un type mâchonnant son micro, ou si ce n'est pas le cas ça y ressemble bigrement. De plus, si le rythme est plutôt, hem hem... tranquille le reste du temps, l'hystérie de ces attaques est digne d'un film de Cetin Inanç.

Image
Image
Image
Image
Un yéti en angora ! C'est Ed Wood qui serait content...

Image
La belle et la bête ou "Yéti et P'tite minette".



A noter également un running gag involontaire : chaque découverte macabre du corps ou des restes des victimes du yéti est systématiquement accompagné d'un cri strident, car évidemment c'est toujours une fille qui tombe sur un macchabée. Au bout du dixième hurlement strident, ça devient franchement marrant à force de répétition (surtout vu l'aspect artisanal des effets sanguinolents). Ça s'appelle pas "Shriek of the Mutilated" pour du flanc.

Image
YIIIIIIIIIIIIIIIK !!!!

Image
YIIIIIIIIIIIIIIIIIK !!!!

Image
YIIIIIIIIIIIIIIIIIK !!!!

Image
YIIIIIIIIIIIIIIIIIK !!!!

Image
Et maintenant, pour se détendre après toutes ses émotions, un peu de cuisine avec une vieille recette de ma grand-mère "Le pot-au-feu cannibale" ou "Le pote-au-feu" (merci à slater74 pour le calembour).



OFNI fascinant d'amateurisme, perle de mauvais gout aux rebondissements en bois d'arbre, "Shriek of the Mutilated" est une aberration psyché-bordélique qu'on dirait couchée sur pellicule par une bande de hippies défoncés tantôt au LSD tantôt à la marijuana pendant un weekend au Canada. Seul un représentant de la série Z ricaine hyper-fauchée des 70's pouvait afficher une telle dèche artistique et budgétaire et sortir quand même en salles de cinéma au milieu d'autres bobines toutes aussi hallucinantes. C'était vraiment une autre époque, dommage qu'elle soit révolue. Bon, sur ce je vais me réécouter le magnifique hymne au yéti que Jack Neubeck chante dans le film...

Image


Icono : http://horrornews.net , http://divinexploitation.blogspot.fr et http://cryptomundo.com

Note : 3/5

Cote de rareté : 4, exotique.

L’œuvre culte de Michael Findlay est sorti dans le DVD "Bigfoot Terror", pack regroupant "4 Blood-Freezing Features", ce film et trois autres sur le thème du yéti, l'hallucinant "Search for the Beast" (1997) de R. G. Arledge (Bigfoot violeur d'adolescente inside !), "Capture of Bigfoot" (1979) de Bill Rebane (réalisateur du mythique "Spider, l'horrible invasion") et le documentaire "Legend of Bigfoot" (1976) de Harry Winer.

Image

Pour vous donner encore plus envie d'acquérir ce DVD, voici quelques images de "Search for the Beast" :

Image
Image
Image
Un Z à l'amateurisme hypnotique, sorte de sous-sous-sous resucée ultra-languissante de "Predator" avec un Bigfoot sodomite traqué par un commando de mercenaires dans la foret, qui nous emmène explorer les abysses de la médiocrité et de la bêtise. Attention, c'est hardcore !


Image

Image

Image
Quelques jaquettes VHS.

Image
Une affiche alternative.

_________________
Image Image Image
Image Image Image


Dernière édition par JACK TILLMAN le 07 Oct 2016 3:25, édité 26 fois au total.

Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 14 Juil 2014 6:52 
Hors-ligne
Docteur es nanarologie
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 30 Oct 2012 23:19
Messages: 1824
Encore une excellente chro pour un film des plus alléchants, futur grand classique de nanarland. Je parie d'ailleurs sur une mise en ligne prochaine, je ne sais pas pourquoi, mais quelque chose me dit...

Rien que pour les images du yéti et de l'indien (qui ressemble d'ailleurs à tout sauf à un indien).

_________________
Tu aimes les omelettes, je te casse les œufs!

Pour qui sonne la glace, celui-là, je l'ai refroidi!


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 14 Juil 2014 11:29 
Hors-ligne
Nanar un jour, nanar toujours
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 07 Avr 2007 0:13
Messages: 3337
Tout pareil. Chronique parfaite, film qui a l'air magnifique.

Seul point de tristesse : il n'y a apparemment pas de V.F. qui aurait pu encore ajouter une couche de nanardise à l'ensemble.

Il LE FOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO !

_________________
"But you say : Oh, when love is gone, where does it go ? And where do we go ?" (Arcade Fire - Afterlife)

Je n'aime pas Scorsese (c'est la raison pour laquelle je n'ai jamais vu aucun de ses films). (Elessar - sujet Le loup de wall street)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 14 Juil 2014 13:03 
Hors-ligne
Nanardeur fou ?
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 08 Mars 2006 20:29
Messages: 2195
JACK TILLMAN a écrit:
c'est un peu tout pareil à part qu'ils n'ont pas de chien.

Il aurait dû y en avoir un, mais aucun canidé n'a accepté le rôle après avoir lu le script.

JACK TILLMAN a écrit:
un peu de cuisine avec une vieille recette de ma grand-mère "Le pot-au-feu cannibale".

Un pote-au-feu, donc.

_________________
Pile, je te tue. Face, je ne te tue pas. FACE ! Je ne te tuerai donc pas avant de t'enterrer.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 14 Juil 2014 15:44 
Hors-ligne
Nanardeur fou ?
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 24 Déc 2011 20:36
Messages: 2425
Localisation: Quelque part entre les bornes et les limites
Merci beaucoup pour vos compliments, c'est trop d'honneur que vous me faites. :oops: :D

Si vous souhaitez vous faire une idée, voilà la bande annonce d'époque : http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=& ... 0081,d.d2k

Et sinon, le film a été posté sur youtube sous le titre "The Greatest Movie Ever Made". Voici la première partie : https://www.youtube.com/watch?v=TyW_C23bkYg

@slater74 : très bon jeu de mot ! M'autoriserais-tu à l'intégrer dans la chronique ?

_________________
Image Image Image
Image Image Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 15 Juil 2014 12:43 
Hors-ligne
Nanardeur fou ?
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 08 Mars 2006 20:29
Messages: 2195
Bien sûr.

_________________
Pile, je te tue. Face, je ne te tue pas. FACE ! Je ne te tuerai donc pas avant de t'enterrer.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 15 Juil 2014 12:51 
Hors-ligne
Nanardeur fou ?
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 24 Déc 2011 20:36
Messages: 2425
Localisation: Quelque part entre les bornes et les limites
Merci. :wink:

_________________
Image Image Image
Image Image Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 15 Juil 2014 23:12 
Hors-ligne
Bon Pote de Godfrey Ho
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 09 Jan 2006 12:54
Messages: 4312
Localisation: Aux Studios MIRACLE :"Si C'est Un Bon Film,C'est Un MIRACLE!"
Très bonne chro, un titre qui fait vraiment envie !

_________________
Lawrence Woolsey, précédemment connu sous le pseudonyme de deathtripper21...

"Godfrey Ho a beau avoir trouvé des Kickboxeurs américains, le duel entre la mariée et la robe restera LA baston du film." Plissken


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 16 Juil 2014 13:35 
Hors-ligne
Nanardeur fou ?
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 08 Mars 2006 20:29
Messages: 2195
Lookalike?

Image

Image

_________________
Pile, je te tue. Face, je ne te tue pas. FACE ! Je ne te tuerai donc pas avant de t'enterrer.


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 11 Oct 2016 17:20 
Hors-ligne
Nanarland lui doit beaucoup
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 01 Oct 2003 15:13
Messages: 5359
Localisation: Grenobyl
Cette excellente chronique d'un petit classique du nanar figure désormais sur le site, merci Jack Tillman !

http://www.nanarland.com/Chroniques/chronique-shriekofthemutilated-shriek-of-the-mutilated.html

_________________
"Dans le monde de "Last Action Hero", j'suis à peu près persuadé que c'est Ralf Moeller qui joue dans "Un flic à la maternelle". (Plissken)


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 11 Oct 2016 18:15 
Hors-ligne
Bon Pote de Godfrey Ho
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 09 Jan 2006 12:54
Messages: 4312
Localisation: Aux Studios MIRACLE :"Si C'est Un Bon Film,C'est Un MIRACLE!"
Et Jack Tillman, le regard noble pointé vers l'horizon, s'en fut vers de nouvelles découvertes...

Je me garde la (re)lecture pour mon café du matin. Well done Jack !

_________________
Lawrence Woolsey, précédemment connu sous le pseudonyme de deathtripper21...

"Godfrey Ho a beau avoir trouvé des Kickboxeurs américains, le duel entre la mariée et la robe restera LA baston du film." Plissken


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 11 Oct 2016 18:59 
Hors-ligne
Nanardeur fou ?
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 24 Déc 2011 20:36
Messages: 2425
Localisation: Quelque part entre les bornes et les limites
Merci !

_________________
Image Image Image
Image Image Image


Haut
 Profil  
 
 Sujet du message: Re: Shriek of the mutilated (1974)
MessagePublié: 11 Oct 2016 19:02 
Hors-ligne
Docteur es nanarologie
Avatar de l’utilisateur

Inscrit le: 30 Oct 2012 23:19
Messages: 1824
Felicitations Jack, il etait quasi-sur que cette chro allait figurer en bonne place sur le site.

_________________
Tu aimes les omelettes, je te casse les œufs!

Pour qui sonne la glace, celui-là, je l'ai refroidi!


Haut
 Profil  
 
Afficher les messages publiés depuis:  Trier par  
Publier un nouveau sujet Répondre au sujet  [ 13 messages ] 

Heures au format UTC + 1 heure


Qui est en ligne ?

Utilisateur(s) parcourant actuellement ce forum : Aucun utilisateur inscrit et 7 invité(s)


Vous ne pouvez pas publier de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas insérer de pièces jointes dans ce forum

Rechercher pour:
Aller vers:  
Powered by phpBB © 2000, 2002, 2005, 2007 phpBB Group
Traduction réalisée par Maël Soucaze © 2010 phpBB.fr