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je possède cette VHS quelque part au fond d'un carton dans une cave...
Le nanarophile déviant tendance sadique qui sommeille en moi est tout émoustillé.
Un film qui méritait amplement sa chro, et que j'avais découvert aussi au moment de la création du topic dans le forum général. Un grand moment de n'importe quoi, auquel il ne manque que la voix de Jean Topar pour se hisser dans les cimes de la nanardise.
J'avais juste été un peu gêné par la scène de scatophilie qui, au moins sur certains plans, n'avait vraiment pas l'air simulée... Mai sinon c'est vraiment du bon. Je me rappelais surtout du narcissisme, du pygmalionisme et de l'histoire du village des cocus, ainsi que de la scène d'émasculation la moins douloureuse de l'histoire du cinéma...
Une nouvelle preuve de la vitalité du cinéma italien de l'époque dans ce qu'elle a de plus racoleuse. Et c'est ce qui faisait son charme...