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 Sujet du message: Invasion USA - Joseph Zito, 1985
MessagePublié: 04 Oct 2003 11:08 
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Le Magic Tchernia du nanar
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Pour poursuivre dans l'élaboration spéciale d'un update spécial Chuck Norris voici la critique de l'indispensable Invasion USA. Comme le film est très connu, n'hésitez pas à surencherir.

Invasion USA: un Film de Joseph Zito avec Chuck Norris, Richard Lynch, Billy Drago ( USA-1985-90 mn)

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« Face au terrorisme il a SA solution !! »
Tu m’étonnes…

« L’Amérique n’était pas prête, lui si… »
Ben voyons…

Les années Reagan : les démocraties face à l’Empire du Mal, les livraisons d’armes aux contras, l’intervention à la Grenade et à Panama, le soutien inconditionnel à Israël dans son invasion du Liban… que du bonheur.
Qu’on est en train de revivre dans les grandes largeurs en ce moment avec l’administration Bush Jr mais bon…
A cette époque, il n’y avait pas encore Fox News pour expliquer la ligne gouvernementale au bon peuple mais il y avait la Cannon :

Aaaaaaaaaah !! Menahem Golan et Yoram Globus deux authentiques progressistes qui nous ont inondés de quelques uns des plus bons fleurons du cinéma d’action réac ( certains disent fafs mais c’est un peu excessif). Et pour donner à l’Amérique triomphante le héros dont elle a besoin il y a Chuck Norris.

Tout ça pour en arriver à ce pur chef d’œuvre qu’est Invasion USA. Tout est dans le titre : imaginez que la pire racaille communiste débarque en Amérique pour venir foutre le souk. Seul un vrai héros peut venir remettre de l’ordre dans tout ça… Chuck bien sûr.

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La caméra est elle confié à un des yes-man attitré de la Cannon, Joseph Zito, par ailleurs responsable l’année suivante de Delta Force.

Chuck Norris est Mike Hunter (un cousin d’Ace Hunter le héros de Megaforce ?), un ancien super agent spécial de la Compagnie qui goûte une retraite bien méritée dans sa petite cabane des Everglades à taquiner l’alligator à main nues avec son pote indien et son tatou domestique (l’animal pas l’ancêtre du SMS). Un vrai mec quoi.

Mais dans l’ombre l’hydre communiste internationale ourdit un mauvais coup. Le vieil ennemi de Chuck, l’ignoble Mikhail Rostov (joué de façon totalement hallucinée et psychotique par cette pure tronche de Richard Lynch) ne prépare rien de moins que l’invasion des Etats-Unis. Réunissant la pire racaille bolchevique antiaméricaine (du latinos à cigare, de l’asiatique impénétrable, du ruscoff sadique, de l’arabe fanatique), il débarque sa petite armée sur les côtes de Floride dans des péniches de débarquement de la seconde guerre mondiale !

Le but de Rostov est de provoquer la terreur aux Etats-Unis même pour les faire s’écrouler de l’intérieur, misant sur le fait que « Ce pays n’a pas connu d’invasion depuis 200 ans, regardez les, ils sont mous, dégénérés, décadents » (Curieusement, il faut avouer que le film prend d’étranges accents prophétiques depuis le 11 septembre 2001). Pour ce faire, il va s’attaquer à tous les symboles de l’Amérique : Il va détruire un quartier pavillonnaire, la nuit de noël, à coup de bazooka (qu’il ne recharge jamais ! Une constante dans le film), envoie ses sbires déguisés en flics tirer sur une fête hispanique pour provoquer une émeute raciale, place une bombe dans une église, dans un centre commercial etc…

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D’ailleurs le film montre une image assez peu ragoûtante de l’Amérique gangrenée par les politiciens corrompus et où la nuit est livrée aux dealers et aux prostituées qui n’hésitent pas à s’en prendre à Chuck quand il rode dans les rues chaudes de Miami. L’Amérique est elle vraiment décadente ? Mérite t-elle même d’être sauvée. La réponse sera oui : mais après un grand coup de balai tenu d’une main ferme ! Plusieurs critiques américaines soulignent que le film pose de bonnes questions, mais n’apporte pas les bonnes réponses (c’est marrant c’est ce qu’on dit aussi, parfois, du Front National). Enfin bref…

Mais Rostov a peur de Hunter, c’est le seul qui a réussit à l’arrêter dans le passé. Alors avec une escouade de tueurs, il arrive dans les marais où vit Chuck, fait sauter sa maison, tue son pote indien et blesse son tatou (mais en grand professionnel ne vérifie pas s’il a bien tué le héros !). Evidement ça énerve un peu Chuck qui plisse les yeux un peu plus fort pour bien montrer qu’il n’est pas content et qu’il prend les choses en mains.

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Et là le film part dans le plus parfait n’importe quoi. Chuck file tout droit voir un contact qui lui donne direct l’adresse d’un des hommes de Rostov. Là, après lui avoir cloué la main à une table avec son couteau il lui demande où est Rostov, mais n’attend même pas que l’autre lui ai répondu pour repartir !

Comme un type veut s’interposer, Chuck a deux répliques d’anthologie :
« Toi, tu te casses ou tu va repartir avec la bite dans un tupperware… »
Et comme l’autre insiste
« Toi, tu commences à me baver sur les rouleaux… »
Et de lui filer une trempe.

Dès lors, le scénariste part en vacances et le film se contente d’aligner les scènes d’actions sans queue ni tête. Chuck, la chemise en jean ouverte sur son torse velu, plus monolithique que jamais se contente de patrouiller dans son pick-up en ville en jetant des coups d’œil de droite à gauche pour repérer immanquablement toute action suspecte.

Vous vous souvenez de ces Tex Avery où le loup court jusqu’au pôle nord pour échapper à Droopy. Ben là c’est pareil, dès que les terroristes commencent une action, Chuck leur tombe dessus, (avec autant d’expressivité que Droopy d’ailleurs) et au lieu de leur dire « boo » les extermine avec ses deux micro-Uzis en bandoulière.

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Les terroristes sont dans une galerie marchande ? Chuck la défonce avec son 4X4 et les liquide. Les terroristes posent une bombe dans une église ? Oh elle n’explose pas ! Chuck apparaît d’un toit et la rebalance sur les méchants. Là elle explose. Les terroristes collent du plastic sur un car scolaire ? Chuck la décroche en roulant et l’envoie dans la voiture des méchants. Des terroristes déguisés en soldats veulent faire un carton en pleine rue ? Chuck jaillit de nulle part et les abat etc… etc…

Et régulièrement, par le biais d’un passage télé, d’un sbire laissé en vie ou autre il envoie à Rostov le même petit message lancinant qu’il lui avait servi leur de leur première rencontre : « C’est fini pour toi Rostov ! ». Et à chaque fois, ça le fout en boule le Mikhail ! Il pique sa crise de nerf et flingue la télé ou va tirer dans les valseuses du sbire malchanceux, bref il craque… jusqu’à se jeter tête baissée dans un piège énorme tendu par Hunter.

La confrontation finale se fera par un duel de type western…au lance roquette ! Non sans que Chuck puisse lancer un dernier petit « C’est fini pour toi Rostov ! », d’adieu avant de le terminer façon puzzle.

M6 et TF1 en deuxième partie de soirée faisant une forte consommation de ce genre de chef d’œuvre, « Invasion USA » repasse environ tous les 2 ans. Ne vous privez donc pas de ce cours d’éducation civique amusante expliqué par l’ami Chuck !


Lantak a surencheri avec une seconde chronique:

Invasion USA
Chuck Norris (Matt hunter)
Richard Lynch (Rostov)
1985
110 minutes

Lorsqu'on voit ce film, la première chose qu'on se demande c'est quel est le but du film ? En effet, plus on visionne ce chef-d'oeuvre plus on tente de ne pas trop se poser de question : Invasion USA est avant tout un film avec seule vocation de nous montrer Chuck Norris. Que ses fans se rassurent, Chuck est, comme dit la jaquette égal à lui-même.. et c'est pas peu dire.

D'abord l'histoire. Il était une fois des méchants terroristes qui envahissaient les USA. C'est très banal mais le hic c'est que la magie du nanar opère...en particulier coté scénario.
Pourtant le début partait pas mal car on nous expliquait comment les terroristes allaient envahir les USA. L'intro nous montre un bateau avec des exilés cubains qui se font flingués par des gardes-côtes lourdement armés qui en fait sont des terroristes de Rostov. En fait ils les flinguent pour récupérer la came cachée dans le bateau. Bon jusque là, tout va bien. Après ça se complique, cette drogue, récupérée par Rostov le méchant du film, sert de monnaie d'échange avec un trafiquant d'arme. Quand le marché est conclu et que les terroristes de Rostov ont les armes... confirmation au téléphone dans le bureau du trafiquant, alors Rostov tue le trafiquant et ses gorilles (en tirant à travers une porte fermée pile-poil dans la tête, alors que le trafiquant tente de le prendre le flingue. Là tout le monde se dit il va récupérer la came, et bien non. Il s'en va en laissant les cadavres et la came... donc grosse question : pourquoi il a tué le trafiquant si c'est pour revenir au même marché et surtout pourquoi il lui faut des armes alors qu'il a les moyens et les capacités d'avoir une frégate de garde-côte et des armes lourdes dessus ? Encore là c'est rien, le meilleur reste le débarquement des terroristes sur la côte Est : c'est le même que celui de Normandie, avec les mêmes bateaux de débarquement mais sans les allemands. Là aussi c'est un grand moment de question intense : Ces bateaux viennent bien de quelque part ? Ont-ils traversé tout l'Atlantique ? Surtout qu'il y a déjà des terroristes de Rostov aux USA, avant le débarquement, on est en droit de se poser la question. On peut même se demander comment ça se fait que les gardes-côtes n'ont rien vu...surtout qu'il y a un petit paquet de bateaux de débarquement. A mon avis, le réalisateur voulais faire du symbolisme et la suite du film va me donner raison.

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Une fois arrivés dans les Etats-Unis, les terroristes commencent les attentats... là, ça fait plop. On s'aperçoit qu'en fait les terroristes ils sont partout, infiltrent partout et s'attaquent à trucs chouettes de la démocratie et de la liberté. Je sais ce que je dis à l'air con, mais bon c'est ce qu'il se passe quand même. Exemple, c'est bientôt noël. deux enfants se disputent pour savoir qui mettra l'étoile en haut du sapin sous le regard attendri du père, alors que pendant ce temps, deux jeunes se bécotent dans une voiture et des passants circulent tranquillement dans la rue. La mère des enfants appelle à table, alors ils courent manger mais au dernier moment la petite fille toute mimi revient sur ses pas pour aller mettre l'étoile sur le sapin parce que son frère n'est plus la pour la lui disputer...oh que c'est bo. Pis la, voila un gros pick up tout noir avec des gens habillés tout en noir avec un gros bazooka qui arrivent : ce sont les terroristes. Et là ils font exploser les maisons avec celle où il y avait la petite fille, et puis tout le monde pleure et les terroristes s'en vont sans que personne ne bouge...je rappelle qu'exploser un pâté de maison c'est assez long surtout en rechargeant le bazooka chaque fois mais bon personne se bouge, les gens doivent vouloir profiter du spectacle pyrotechnique. Autre exemple, il y a une soirée de latino, tout se passe bien, un pote aide un timide à aborder une fille qui lui plait, etc...Puis la les méchants arrivent, déguisés en flics, et la pan pan plein de mort dans la fête latino. Bon il y a aussi la scène où des terroristes place une bombe sur un bus scolaire mais bon je pense que tout le monde a compris.
En parlant des terroristes, on découvre, grâce à une reporter à la télé que ce sont des communistes. Bon d'accord c'était évident… l'autre qui s'appelle Rostov avec un accent russe, les terroristes infiltrés partout dans le beau pays des USA qui vont égorger femmes et enfants, Chuck Norris qui regarde un vieux film d'envahisseurs extraterrestres (et ça le passionne méchamment). Et puis bon, ils ont tués les exilés cubains...tout s'explique donc, sauf pourquoi ils font ces vagues d'attentats. Je dis ça parce qu'on ne sait pas pourquoi le méchant est méchant. Donc le seul but qu'on peut trouver à ce film est la vocation de nous montrer le péril rouge par des texans ou des rednecks. Un film pareillement con n'est pas neuf et si on regarde bien, l'acteur qui joue généralement dans ses trucs là est...Chuck Norris ! Egal à lui-même comme c'est écrit.
Bon là on a le meilleur : Chuck Norris le teckel du film d'action. Déjà le film lui file la vedette : le symbolisme navrant du film nous le présente soit en train de couper du bois, d'attraper un crocodile (ou un caïman je sais plus), avec son gros 4x4, ses doubles uzis bref toujours viril et américain profond. En gros c'est l'homme de la situation, déjà que c'est un teckel, c'est le seul qui peut stoppait l'invasion rouge. Pourquoi un teckel ? Simple, il a l'intuition comme un chien et tire toujours la même gueule, yeux de battu et tronche de 60 kilomètres quoiqu'il arrive, qu'il y ait des explosions, des morts, de la joie, de la haine, de la colère et de la tristesse quand son copain est tué par les rouges. D'ailleurs quand son copain meurt j'ai cru qu'il allait s'asseoir sur la tombe et hurler a mort. D'ailleurs son copain est bizarrement un super américain patriotique avec son aéroglisseur criblé de drapeau américain et sudiste et dans le symbolisme, le teckel reprend le flambeau de l'Amérique blessée mais pas détruite, d'ailleurs c'est une attaque surprise qui tue le copain, un peu comme dans pearl habor. Pourquoi l'intuition ? Simple : il est toujours au bon endroit au bon moment. Il se téléporte même. Exemple, les méchants terroristes, déguisés en soldats, tuent des civils et pis la pop voilà Chuck qui apparaît au bon moment, paf il en tue plein et le dernier terroriste prend en otage une journaliste. Il se trouve à ce moment-là en face de chuck. Là, Chuck se cache derriere une voiture, et dis secondes plus tard le voila derrière le terroriste pour lui coller une balle avec sa propre arme. Autre moment : Chuck se fait arrêter par (encore) des communistes déguisés en militaire. Là, si on se souvient, on reconnaît un terroriste qui faisait le flic de la boucherie de la fête latino. Le militaire méchant demande à Chuck une autorisation de circuler. Et la Chuck se baisse pour faire semblant de prendre les papiers et tire sur le militaire, avant que celui ci n'ai pu tirer. Trop fort le Chuck !

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Henry Morgan en remet une couche en nous proposant une 3ème chronique :

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INVASION USA (Invasion USA)
version 1 dvd

USA . 1985 . couleur
durée: 110 min
image: format 1.85 , 16/9 compatible 4/3
son: VO 2.0 , VF mono , sous titres français


When america faces invasion fort the first time in history, it's up to one-man army Matt Hunter to wage war upon the ennemies of freedom. On suburban streets, in shopping malls, and even in churches, the firepower explodes in megaton fury ... and death-defying stunts escalate into a hearts-stopping climax when Hunter , america's doomsday weapon, launches his final plan, A ragtag army of terrorist mercenaries led by soviet agent Rostov catches america unprepared and makes it a war zone from sea to shining sea. Onlyone man can stem the rising tide of violence: retired agent and martial arts expert Matt Junter . Leading the united states army into gurilla warfare on its own turf, Hunter won't stop until every last bazookawielding ennemy is down. From first explosion to last, INVASION USA is a stirringly patriotic and riveting entertrainement you juste can't miss !

C'est avec une joie non dissimulé que j'allais retrouver le majestueux chuck dans cette production qui semblait l'egal d'un delta force ou d'un missing in action ,et justement le realisateur n'était autre que Joseph Zito celui de "missing in action" et "le scorpion rouge" avec le grand dolph , et le scenario était de James Bruner que l'on connait pour "missing in action" 1 et 3 ainsi que les deux "delta force" , de grosses pointures donc ! Le tout servie bien entendu par "les gentils ce sont les americains et les israeliens , les mechants ce sont les arabes et les coco" , alias Golan Globus Cannons films .
Et une fois de plus je ne m'etais pas trompé , violence gratuite et Mc Carthysme étaient au rendez vous ,et la premiere scene en donnait le ton sous une pluie de balles ...

Aprés cela se devoilait enfin a nous celui qui allait etre l'homme de la situation ; il était là , hirsute , dans la boue en train de capturer un caiman a main nue 8) fidele a lui meme , jean , barbe et cheveux longs. Mais les crocos ne poussent pas dans les egouts new yorkais , chuck "hunter" norris excercait donc au milieu des marais de floride pour passer sa retraite d'ancien militaire .

C'est non loin de là que Miami allait etre envahi , mais contrairement a "l'aube rouge" ici point d'operation aeroportée d'une armée quelconque ! Ici c'est un debarquement a la barge du d-day de quelques centaines d'hommes d'une sorte de milice rouge , composé bien entendu de chinois , cubains , russes et autres vermines communistes , le tout dirigé par un de ces mechants soviets sans coeur Mikhail "rpg illimité" Rostov .Methodes de combats radicalement differentes , debarquant a pied ils allaient donc utilisaient pour se deplacer des camionettes et des vans :mrgreen: S'infiltrant et terrorisant la population il fallait faire quelque chose ...

Le decors planté , je peux maintenant vous faire part de ma joie de retrouver l'incroyable chuck dans une production a sa mesure , un deluge de balle de plus d'une heure trente qui laisse sans voix mais du sang sur les mains.
Un scenario de James Bruner ne pouvait laisser chuck avec un dialogue amateur , c'est ainsi que l'on pourra entendre dans la meme scene un memorable
Si tu t'pointes encore , tu peux etre sur que tu reparts avec la bite dans un tupperwar"
et un non moins excellent :
-Qu'est ce que tu vas faire maintenant connard ?
-Toi tu commences a m'baver sur les rouleaux"

suivi d'un gros middle-kick.
:mrgreen:

Une image eighties certified et une bande son moisie conforteront l'effet nanard sur cette edition MGM d'habituelle pietre qualité.
Mais vous le savez cela ne gache en rien le plaisir de ce genre de film ...

Conclusion , un film a ne surtout pas louper , de l'action nanarde pure et dure et un chuck norris en grande forme ne vous ferons pas oublier ces 1h50 de film , et puis le prix miserablement bas de ce dvd ne vous empechera pas d'acheter des armes pour bruler la pourriture communiste qui ronge votre nation

:twisted:

Un certain "S.M." a envoyé cette 4ème chronique au site par e-mail : (+ des caps mais je ne les ai aps uploadées...)

Invasion USA, 1985, avec Chuck Norris (no comment !), Richard Lynch (dans le rôle de l’abominable Rostov), Aaron Norris (en co-réalisateur), Joseph Zito en réal’ (inoubliable tâcheron de Rosemary’s killer et surtout Red Scorpion), Billy Drago (en cameo), Jay Chattaway (le maître de musique de Missing In action et Maniac) et enfin Menahem Golan et Yoram Globus à la production (à savoir un film estampillé CANNON)… Ah oui… et aussi en guest-star : les années réactionnaires reaganiennes avec les gentils américains face à l’empire du Mal… Pour ceux qui ne s’en souviennent pas : c’était les immondes Communistes bolcheviques souillant la démocratie et les idéaux américains à l’aide d’un couteau entre les dents. Bref, un contexte géopolitique et industriel totalement exceptionnel. Pour moi en tant qu’invité sur Nanarland : un nanar rigoureusement inoubliable ! Mais avec une telle envergure que cela atteint des degrés rarement égalés depuis… (encore que Mel Gibson et son We were Soldier…). Bref , Un monument titanesque à la gloire du ridicule, de la bêtise, du réactionnaria et du faciès paralysé de notre Carlos préféré !!!

Je ne me souviens pas vraiment quand je suis tombé sur cette œuvre, peut-être au hasard d’une rediffusion tardive sur une grotesque chaîne hertzienne. Bref, en tant que cinéphile averti, j’ai depuis guetté pendant tant d’années (soupirs…) la remasterisation de ce chef-d’œuvre impérissable en DVD. Mais avec un codicille intransigeant : pas question d’acheter le film avec la seule V.O. Lorsque on aime Invasion USA, on aime par dessus tout : Gérard Hernandez (le grand-père Schtroumf et l’un des plus célèbres acteurs du Théâtre de Boulevard de ces 40 derniers années). Il n’est pas dans un film américain bien-sûr (même s’il a un jour tourné avec Sydney Pollack !) mais il reste dominant juste en tant que doubleur dans une séquence hilarante où notre Chuck, chevalier servant de la démocratie et de la bannière étoilée, torture froidement au couteau un pauvre terroriste mexicain. Gérard arrive et débite l’une des phrases les plus drôles de l’histoire (en mexicain SVP) : « Et qu’est-ce qué tou vas faire mentenant cou…ard ??? ». On peut noter aussi, si on veux le « tou vas la routrouvée toute cabossée ta bagnole, pétite encoulé !!!. » Impossible de comprendre le rire hilare qui peut envahir un spectateur au moment du visionnage… A vous de voir… Mais lorsque les rires deviennent trop violents mieux vaut carrément arrêter le film. Votre santé en dépend, croyez moi !

Mais revenons au film. Invasion USA fait partie de ces produits ignobles surfant sur l’anti-communisme primaire des atroces années 80. Comme le magistral Red Dawn du néo-fasciste Milius, le script est débile et d’une folie paranoïaque invraisemblable. Afin d’instaurer un régime nouveau (tiens, tiens…) une horde de terroristes menée par un Russe cinglé du nom de Rostov tente de réduire à feu et à sang les Etats-Unis d’Amérique en s’attaquant à un centre commercial, quelques maisons de luxe et une rangée de sapins de Noël !

Rostov : c’est Richard Lynch évidemment. Un Lynch tout de cuir vêtu parlant mi-russe mi-charabia borborygmique fait de RRRrrrrrrr, Pashlinnnnn, Rrrrroooooo. Sa marque de fabrique : il émascule les traîtres à grands coups de magnum dans le slip (pauvre Billy Drago…). Pour une exécution nanar, dites moi si on a fait mieux depuis ? Donc, Rostov s’attaque aux Etats-Unis d’Amérique (rien que ça). Bien sûr , la police est débordée. En fait la police, dans ce film, est digne des flics philippins ringards du magnifique Eliminator. L’inspecteur (inénarrable Eddie Jones) se contente effectivement de parcourir les lieux du crime des horribles terroristes rouges, avec toujours un ou deux jours de retard, les mains dans les poches et entreprenant l’enquête avec une désinvolture qui emprunte au je m’en foutisme intégral ! Une petite journaliste parasite elle aussi les lieux. Personnage exécrable, stupide et complètement ingrat. Lorsque le Chuck lui sauve la vie, elle ne le traite rien de moins que de « Co…ard !!! ». Incroyable, non ?

Bref, c’est le chaos et les Etats-Unis sombrent… Mais, car il y a toujours un mais dans une bonne vieille production Cannon, un super Héros très viril et très poilu va surgir du tréfonds des Everglades pour faire le ménage et sauver le pays. Cet homme, c’est Chuck Norris. Suite à l’assassinat de son pote l’Indien et la blessure infligée à ce petit tatou (?!?!) le Chuck va se venger et jurer d’avoir la tête de Rostov ! Enfin, c’est surtout les brûlures de son petit tatou qui engendre le plus de colère chez notre ami Chuck. D’ailleurs, s’il sauve le pays c’est surtout pour venger son petit animal de compagnie… A partir de là, il va donc, seul, affronter la masse de terroristes (en fait des figurant mal payés avec un visage barbouillé de cambouis et une barbe de trois jours…). Nonobstant que le concept d’un homme seul contre une armée semble particulièrement ridicule, les scénaristes (Aaron et Chuck N.) vont nous faire croire pendant tout le métrage que Le Chuck peut apparaître et disparaître au gré des attentats des méchants et toujours en sauvant un maximum de pauvres victimes innocentes. A savoir des enfants américains chantant Battle Hymn of Republic dans un bus scolaire où d’honnêtes citoyens chantant (décidément…) de magnifiques cantiques dans des églises bondées !

L’anticommunisme primaire n’a d’égal que les péripéties cartoonesques du nanar. Chuck jette une valise explosive sur les méchants et dit : « ça déconne ? Maintenant ça va marcher !!! » et boum. Chuck récupère une bombe sur un bus et la colle sur la voiture des terroristes et dit « C’est pas à vous, ça ? » et boum…

La musique de Jay Chattaway contribue à rendre le ridicule prépondérant. Incessante pendant tout le film et utilisant une petite gamme de cuivres (c’est normal : c’est toujours bien ronflant et super patriotique) elle réitère pendant les 1h45 le même motif musical jusqu'à l’absurde. En fait, 3 notes. Encore une fois : voyez le film, c’est hilarant… Pour les fans, sachez que la B.O d’Invasion fut jugée tellement efficace que la Cannon la réutilisera dans Death Wish 4, The Crackdown avec un rythme à peine plus accéléré. Il n’y a pas de petites économies…

Et puis, il y a la fin du film. La dernière séquence d’une durée de 18 minutes est tout simplement un monument. Rostov et ses hommes envahissent l’immeuble d’Atlanta, qui est le quartier général des gentils Américains. Mais l’immeuble est vide car le Chuck leur a tendu un piège. A partir de là, nous avons droit à un nettoyage en règle où l’armée américaine passe un bon coup de balais. A fond. Chuck dératise quant à lui (de manière robotique, froide et granitique) les quelques terroristes restés cachés dans les bureaux. Plus aucun dialogue durant les vingt dernières minutes du film ! Simplement la musique (minable), la mise en scène de Zito (navrante et complètement nulle) et le visage de notre droopy préféré ne manifestant aucune émotion. Seul restent perceptibles les « RRRrrrrrrrrrrr » de Rostov et les quelques « ROSTOV !!!!! » que hurle Chuck afin d’énerver Rostov (déjà particulièrement à cran !).

Dans la fin démente de ce nanar complètement atterrant et surréaliste, on ne s’étonnera plus de voir se finir ce chaos par un duel au bazooka ! Rostov voit son cauchemar se matérialiser puisque le Chuck lui dit (pour la troisième et dernière fois du film) : « C’est fini pour toi, toi, toi, toi, toi, toi… » Avec l’échos et jusqu’à l’infini… Rostov explose et l’on peut distinguer clairement la tête d’un mannequin en plastique ainsi que l’après-ski du sale bolchevik. Chuck jette au ralenti son bazooka au sol. Pas de fin explicative, pas de dernière séquence où Chuck retrouverait la journaliste. Non, ici rien. Tout finit devant le trou dans la cloison où Rostov est parti en mille morceaux. C’est fini pour lui… mais aussi pour nous…

Pour moi, le plus grand film de la Cannon.

P.S : Je ne parlerai pas des dialogues cultes d’Invasion USA (ils sont innombrables) mais j’en citerai juste un : Chuck se tourne vers Gérard Hernandez et lui dit « Si tu te pointes encore, tu repars avec la bite dans un tupperware ! ». Ah bon entendeur…

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Dernière édition par RICO le 12 Août 2004 20:04, édité 2 fois au total.

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MessagePublié: 12 Août 2004 11:37 
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Je la remonte, pour qu'elle fasse la paire avec celle d'Henry Morgan. Faudrait retrouver des images...

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MessagePublié: 12 Août 2004 14:52 
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Le Magic Tchernia du nanar
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je m'en occupe sous peu, j'ai le dvd

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MessagePublié: 12 Août 2004 17:05 
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Nikita a écrit:
Je la remonte, pour qu'elle fasse la paire avec celle d'Henry Morgan. Faudrait retrouver des images...


tankyu


on aura remarqué que j'ai une meilleur retranscription des dialogues de chuck :-D

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MessagePublié: 12 Mai 2006 20:05 
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Une faute dans la première chronique (celle du site) :

Citer:
Et régulièrement, par le biais d’un passage télé, d’un sbire laissé en vie ou autre il envoie à Rostov le même petit message lancinant qu’il lui avait servi leur de leur première rencontre : « C’est fini pour toi Rostov ! ». Et à chaque fois, ça le fout en boule le Mikhail ! Il pique sa crise de nerfs et flingue la télé ou va tirer dans les valseuses du sbire malchanceux, bref il craque… jusqu’à se jeter tête baissée dans un piège énorme tendu par Chuck / Hunter.

c' est lors...
Ou alors est-ce un effet de style Chuckesque ?

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MessagePublié: 08 Sep 2006 1:51 
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J'ai été très ému par la scène finale de ce putain de film.

Bizarre qu'y est eu si peu de réactions ici parce que même si je suis pas un inconditionnel de Chuck Nono, je comprends pas comment on ne peut pas être en émois devant deux gars qui se retrouvent en duel, armés de bazookas dans des couloirs de bureaux. :lol:


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MessagePublié: 08 Sep 2006 2:05 
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Kucrapok a écrit:
J'ai été très ému par la scène finale de ce putain de film.

Bizarre qu'y est eu si peu de réactions ici parce que même si je suis pas un inconditionnel de Chuck Nono, je comprends pas comment on ne peut pas être en émois devant deux gars qui se retrouvent en duel, armés de bazookas dans des couloirs de bureaux. :lol:


Avec la voix de Chuck au ralenti avec de la réverb' !!

Chuck Norris a écrit:
C'eeest fiiiniii pooour toâ toâ toâ toâ toâ !


Et le "FIN" qui apparaît immédiatement après ! :lol:

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MessagePublié: 08 Sep 2006 6:56 
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A rajouter que le film n'est qu'un remake d'une prod' anti rouge des années 50 réalisée par Alfred E. Green (alos il me fait marrer Nick Nicholson avec son scénario :-D ):

Image

Je l'avais vu il y a quelques temps, en gros ça raconte l'histoire d'une groupe de personne affalées au comptoir d'un bistrot, en s'imaginant ce qui pourrait se passer si jamais les communistes envahissaient les Etats-Unis. Sur la fin ça devenait vraiment portanawak! :-D

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MessagePublié: 08 Sep 2006 7:53 
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Tu es sûr qu'on peut vraiment le qualifier de remake ? Dans le résumé qu'on peut trouver sur wikipedia (certes...) il n'est pas fait mention d'un quelconque héros à la Chuck Norris, le film se voulant réaliste : http://en.wikipedia.org/wiki/Invasion_U.S.A._(1952_film)

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MessagePublié: 09 Sep 2006 11:55 
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Invasion U.S.A, certainement l'un des films les plus représentatifs de l'esprit de la Cannon (Anti-communisme primaire, apologie des méthodes musclées....)

En même temps, c'est pour ça que c'est bon...

Je suis un peu jeune pour me rappeler cette époque. Est ce que à l'époque ces films étaient déjà perçu comme de la propagande américaine de base? Ont-ils eu du succès en France?

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MessagePublié: 09 Sep 2006 13:44 
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Le Magic Tchernia du nanar
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J'ai cité l'existence de ce invasion usa dans la cote de rareté. Il immagine une invasion des Etats Unis par une armée proto-soviétique mais serait plus proche de "l'Aube rouge" que du Norris

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MessagePublié: 31 Déc 2006 17:19 
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quelle daube ce film c'est assez incroyable :shock:
si encore c'etait pris au second degres


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MessagePublié: 11 Fév 2007 13:16 
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Apprenti Nanardeur
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Je viens de le regarder et j'avoue que ça en vaut la peine.

Chuck est vraiment très fort, il est toujours là au bon moment !!

Il torture un sbire moustachu (scène culte ) qui ne lui donne aucune info et là, chuck il défonce un centre commercial et tue tous les méchants.

Ce film regorge de poncifs et autres clichés : les cocos sont méchants et impytoyables - en plus ils ne montrent aucune pitié :-D . Prêts à faire sauter une église, un bus bourré de gosses. Mais heureusement Chuck est là.

Puis faut voir le chausse trappe que Chuck tend à Rostov à 1000 bornes de l'action originelle (Distance Miami-Atlanta) dans lequel le méchant russe se jette comme un abruti.


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MessagePublié: 31 Mars 2007 15:30 
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totof a écrit:
Prêts à faire sauter une église, un bus bourré de gosses. Mais heureusement Chuck est là.


La scène de l'église est pour moi la plus puissante du film, puisqu'en plus de ses pouvoirs d'omniscience, Chuck Norris fait preuve d'hyper rapidité et hyper agilité ! Voler une bombe et monter en haut d'un batiment pui balncer un vanne qui tue (les méchants)en moins de dix secondes c'est balèze!

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MessagePublié: 31 Mars 2007 20:01 
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Je l'ai acheté la semaine dernière en DVD :-D

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MessagePublié: 01 Avr 2007 6:29 
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Sakat a écrit:
Je l'ai acheté la semaine dernière en DVD :-D


J'espère que t'as pris la version avec la piste anglaise, allemande et polonaise (!) pour pouvoir comparer :-D


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MessagePublié: 01 Avr 2007 7:39 
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Localisation: Suisse
Karate Ninja a écrit:
Sakat a écrit:
Je l'ai acheté la semaine dernière en DVD :-D


J'espère que t'as pris la version avec la piste anglaise, allemande et polonaise (!) pour pouvoir comparer :-D


Heu j'ai pris la version qui était en action (ou plutôt dans le rayon débarras) je crois pas que y'a polonais ^^

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MessagePublié: 26 Oct 2007 14:19 
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Docteur es nanarologie
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Messages: 1749
Localisation: West from Germany
. . J'ai eu la joie de le découvrir hier, et comme j'ai eu la chance de n'avoir pas lu les chroniques avant - ce qui ne veut pas dire que je les trouve mauvaises - je fus totalement surpris par l'arrivée de la réplique de "la bite dans le tuperware" et j'explosai de rire sur mon canapé. Ce qui décuple la puissance de cette réplique - et de celle des rouleaux - c'est l'extrème laconicité de Chuck et son extrème inexpressivité faciale.
. . J'ai noté une preuve de la galanterie des auteurs de l'oeuvre : alors que les hommes reçoivent des bastos dans les burnes, les femmes ont un traitement de faveur : on se contente de les attrapper par les cheveux. J'ai bien aimé la frime dont fait preuve l'assistante en robe rouge de l'acheteur de drogue lorsqu'elle fait tournoyer son couteau papillon avant que d'ouvrir le sachet.


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MessagePublié: 26 Oct 2007 18:11 
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Maîtres es Nanar
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Inscrit le: 05 Oct 2007 21:09
Messages: 1203
Citer:
Est ce que à l'époque ces films étaient déjà perçu comme de la propagande américaine de base?


Je me pose la même question.

Je pense qu'en france c'était en effet considéré comme de la propagande, mais aux Etats-Unis ça devait soulager de voir les communistes se faire dézinguer en masse.


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 Sujet du message: Re: Invasion USA - Joseph Zito, 1985
MessagePublié: 06 Avr 2017 2:48 
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Inscrit le: 11 Mars 2017 1:52
Messages: 34
A ce propos pour ceux voulant jeter leur VHS et même leur DVD, n'ayez pas peur :lol: , l'éditeur espagnol et peu scrupuleux Resen la sortie en Blu-ray en début année 2017 et surtout avec piste son Française époque ! 8)
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Disponible sur amazon.fr ou amazon.es bien sur :
https://www.amazon.fr/dp/B01N2IVG35/
https://www.amazon.es/dp/B01N2IVG35/
Pour plus infos, voir le test de l'édition Blu-ray dans les commentaires de la page amazon.fr
Attention quantité limitée, Resen oblige.

Sachez toute fois que l'édition a peu de défaut techniquement parlant, en faite j'en note un seul, pas de sous-titres forcé inclus lorsque Rostov parle Russe (2-3 phrases seulement) ou bien lors des premières minutes du film avec les migrants, mais bon ... Vue ce qu'il se racontent entre eux, c'est pas spécialement nécessaire a vrai dire. Pour le reste c'est le transfère Blu-ray Shout Factory Usa recopié a 100% et en 1080p, et certainement la VF de l'édition DVD Z1 en source, du moins a l'oreille je le pense.


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