Je n'avais pas lu le dossier de presse
quel toupet plusieurs passages sont recopiés à la virgule près à partir d'un numéro de mon fanzine datant de 2004 sans aucune citation de la source d'origine et sans mon autorisation, voir le florilège ci-dessous pour comprendre l'étendue du plagiat. Si j'avais vu ça avant...
Merci d'éditer en conséquence les 2 liens qui mènent vers cet emprunt manifeste (lien du site Valeurope et lien vers le dossier de presse). Il va s'en dire que je n'autorise absolument pas ces gens-là à utiliser pour leur propre compte le fruit de mon travail.
En temps normal j'aurais laissé courir mais là sachant dans quels conditions ce plagiat s'est opéré je ne laisserai pas passer l'affaire = faut pas prendre les enfants du bon dieu pour des canards sauvages...
1er emprunt =
Texte du dossier de presse de Marne La Vallée (2008) = La Blaxploitation, communément employée pour désigner des films de "séries B" à petits budgets destinés à la communauté noire dans les années 70, n'aura eu de cesse de jouer la carte de l'outrance visuelle et verbale. Nihilistes au possible pour les uns, irrévérencieuses pour les autres, ces fictions (cinéma et littérature) qui s'inscrivent en dehors de toutes les valeurs morales de l'Amérique bien pensante, trouvent le plus souvent leurs tenants dans les problèmes complexes d'intégration et d'émancipation de la communauté noire américaine.
Texte original paru dans la revue Foxy Bronx (2004) = Le genre blaxploitation, appellation communément employée pour désigner des séries B à petits budgets destinées à la communauté noire dans les années 70, recense environ 200 films et plus d’une centaine de dérivés hybrides pas vraiment classable. Nihilistes au possible pour les uns, irrévérencieux pour les autres, ces fictions qui s’inscrivent en dehors de toutes les valeurs morales de l’Amérique bien pensante, jouent à fond la carte de l’outrance visuelle et verbale. Confrontés à une telle débauche de provocation, certains cherchent encore à comprendre aujourd’hui, les raisons du succès d’un tel ovni cinématographique. Elles sont multiples, et trouvent le plus souvent leurs tenants dans les problèmes complexes d’intégration et d’émancipation de la communauté noire américaine.
2ème emprunt =
Texte du dossier de presse de Marne La Vallée (2008) = Ainsi, le terme Blaxploitation apparaît pour la première fois en 1972. Pour combattre l'image dévalorisante du noir au cinéma, deux mouvements politiques afro-américains se regroupent pour former la «Coalition Against Black-exploitation» (CAB.). Sous la plume des journalistes, «black-exploitation» se contracte en « Blaxploitation » et, en rentrant dans le langage courant, perd peu à peu son côté péjoratif.
Texte original paru dans la revue Foxy Bronx (2004) = Le terme blaxploitation est apparu pour la première fois en 1972, par l’entremise des puissants mouvements politiques afro-américains C.O.R.E. (Congress Of Racial Equality) et N.A.A.C.P. (National Association For The Advancement Of Colored People), exaspérés par la violence et l’immoralité des Slaughter, et autres Superfly. Pour combattre la dégradation de l’image du noir au cinéma, ces deux lobbys moralisateurs se regroupèrent pour former la «Coalition Against Black-exploitation» (C.A.B.). Sous la plume des journalistes, «black-exploitation» devait finalement se contracter en blaxploitation, et en rentrant dans le langage courant, perdre peu à peu son côté péjoratif.
3ème emprunt =
Texte du dossier de presse de Marne La Vallée (2008) = Ce genre que certains souhaiteraient marginaliser pour son outrance socio-ethnique
Texte original paru dans la revue Foxy Bronx (2004) = ce cinéma d’alternative que quelques uns voudraient marginaliser, parce qu’il flirte de façon peu conventionnelle avec des thématiques liées au relationnel socio-ethnique,