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Notre collectron.
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Auteur:  Zerogoki [ 28 Avr 2006 18:55 ]
Sujet du message:  Re: Notre collectron.
john matrix a écrit:
Beuh, le robot sur la jaquette c'est Gaiking, un robot de Go Nagai ! :shock: Il est dans le DA?


Bien sur que non pourquoi?
Auteur:  Zerogoki [ 28 Avr 2006 18:56 ]
Sujet du message: 
Giant Bigorneau a écrit:
Et Starfighter pareil. J'avais trouvé ca vraiment bon étant plus jeune.


Starfighter n'est pas mauvais, juste un peu kitch aujourd'hui.
Auteur:  mopilat [ 28 Avr 2006 19:40 ]
Sujet du message: 
Sachez que stafighter est le 1er film avant Terminator 2 a avoir utiliser les effets speciaux par ordinateur et a l'epoque c'etait une révolution
Auteur:  Zerogoki [ 28 Avr 2006 19:48 ]
Sujet du message: 
Ca m'etonnerait Starfighter date de 1984 alors que Tron date de 1982 et niveau effets spéciaux par ordinateur on peut dire qu'il s'impose comme un des pionniers.
Auteur:  Giant Bigorneau [ 28 Avr 2006 20:00 ]
Sujet du message: 
Zerogoki a écrit:
Ca m'etonnerait Starfighter date de 1984 alors que Tron date de 1982 et niveau effets spéciaux par ordinateur on peut dire qu'il s'impose comme un des pionniers.


C' est pas de l'ordinateur dans Tron c'est de l'animation. C' est pas pour rien que c' est Walt disney.
Auteur:  Zerogoki [ 28 Avr 2006 20:49 ]
Sujet du message: 
Au temps pour moi, je pensais que c'était de l'ordinatron.
Auteur:  drélium [ 28 Avr 2006 23:03 ]
Sujet du message: 
Zerogoki a écrit:
Giant Bigorneau a écrit:
Et Starfighter pareil. J'avais trouvé ca vraiment bon étant plus jeune.


Starfighter n'est pas mauvais, juste un peu kitch aujourd'hui.


+1. Excellent souvenir de jeunesse, assez kitch aujourd'hui en effet, mais ça reste honnête. Et l'histoire du gamin recruté comme pilote intergalactique dans une guerre au fin fond de l'univers parce qu'il est trop bon à un jeu vidéo qui sert en fait de recrutement aux extraterrestres, ça faisait rêver. :alien:
Auteur:  peter wonkley [ 28 Avr 2006 23:18 ]
Sujet du message: 
Tron fut en son temps, c'est à dire il y a déjà de cela vingt ans (que ceux dont la mâchoire pendouille devant cette prise de conscience du temps qui passe se rassure, ce n'est que le début…), un véritable OVNI dans le paysage cinématographique américain. Pourtant quand Steven Lisberger propose son histoire en1980 aux Studios Disney, le timing était parfait. En effet les héritiers de l'oncle Walt sont à cette époque complètement à la rue cherchant désespérément un second souffle tant économique qu'artistique. Les années 70 montrèrent en effet un certain déclin avec des productions tel que Robin des bois et Bernard et Bianca. Mais ce fut en ce début de nouvelle décennie que le studio touchait le fond avec Rox et Rouky. Le département film n'était pas mieux loti et peinait aussi de plus en plus à sortir des produits quelque peu originaux voir tout simplement regardables (citons en vrac Le chat qui vient de l'espace, la série des Coccinelles, Peter et Elliot le dragon, Popeye).

Tron procédait donc d'une volonté à ratisser le plus large possible pour, qui sait, obtenir à terme le filon salvateur. Ici, il s'agissait de permettre à une bande de surdoués de l'informatique d'étalonner sur grand écran leur vision du graphisme et de l'animation en utilisant la toute nouvelle puissance de calculs des ordinateurs. Il en résulte une claque visuelle encore vivace aujourd'hui et une expérience finalement concluante puisqu'elle a permis à Disney de prendre le virage de l'animation par ordinateur avec un bon wagon d'avance et de piloter à l’heure actuelle le studio le plus novateur dans le domaine à savoir Pixar.

D'un point de vu plus subjectif, il n'est pas faux de voir en Tron un vrai film culte pour toute une génération de joueurs de jeux d'arcade en culottes courtes. Mais au-delà de la nostalgie bien compréhensible, cette expérience quasi subliminale pour l'époque garde encore aujourd'hui une véritable marge de manœuvre. En effet de son graphisme bien entendu dépassé (mais qui, plus qu'un autre film, lui permet d'être le témoin privilégié d'une époque) il pourrait constituer un nouveau point de départ pour de futures productions qui s'attacheraient peut-être moins à vouloir à tout prix reproduire, tel un miroir parfait, les traits et attitudes d'un visage humain par exemple. On pense bien sûr à Final Fantasy qui nous baladait littéralement aux frontières de l'incroyablement réaliste en cette occurrence. Le cinéma de l'image de synthèse doit en effet à tout prix s'éloigner de ces attitudes sclérosantes afin de récupérer une liberté de penser et d'inventer que ces histoires à l'onirisme et la Science Fiction rabâchés ne rendront bien sûr pas plus originales. Chose que Tron réussissait et réussit plus encore aujourd'hui. Chose que les géniaux artisans de chez Pixar ont compris depuis longtemps. Choses qui font tout le prix au final de ce film d'une rare ubiquité visionnaire.

PS : Au fait (juste histoire de placer ce petit constat quelque part), l'été 82 vit la sortie sur les écrans américains de Blade Runner, Poltergeist, Mad Max 2, E.T., l'extraterrestre, Conan le Barbare, La Chose et …de Tron. Vous pouvez refermez la bouche et vaquer à votre DVDthèque maintenant.
Auteur:  peter wonkley [ 28 Avr 2006 23:20 ]
Sujet du message: 
Bolo yeung a écrit:
Ed Wood a écrit:
La tagline de Parasite me rappel quelque chose mais quoi ? :-D

CHUD, Class 1984 et le crocodile de la mort sont des series b sympa mais pas nanardes.


class 84 est NANAR avec un grand N


pas d'accord du tout
Auteur:  drélium [ 28 Avr 2006 23:57 ]
Sujet du message: 
peter wonkley a écrit:
Le cinéma de l'image de synthèse doit en effet à tout prix s'éloigner de ces attitudes sclérosantes afin de récupérer une liberté de penser et d'inventer que ces histoires à l'onirisme et la Science Fiction rabâchés ne rendront bien sûr pas plus originales.


Si je puis me permettre, la révolution est déjà là

Bien sûre, il ne s'agit pas de synthèse à 100% mais avec la démarche désormais sclérosée du tout synthétique matérialisée par les animés tels Apleseed ou FFVII, la baffe que Constitue Mindgame me semble (et je ne suis pas le seul) la nouvelle voix du renouveau, le mélange discret de toutes les techniques connues au service de l'histoire.
Auteur:  john matrix [ 29 Avr 2006 10:22 ]
Sujet du message:  Re: Notre collectron.
Zerogoki a écrit:
john matrix a écrit:
Beuh, le robot sur la jaquette c'est Gaiking, un robot de Go Nagai ! :shock: Il est dans le DA?


Bien sur que non pourquoi?


Parcequ'il est sur la jaquette.

Autant le copier/coller sur jaquette avec des acteurs phillipins ou des trucs pas vraiment identifiables est monnais courante, autant les editeurs ont quand même evité en général de recuperer des trucspar exemple de la TOEI et de les mettre directement sur jaquette, rapport au risque de procès (parceque les firmes de contenus pour enfants rigolent pas avec les copyrights et le respect des licenses en général).
Auteur:  Meowcate [ 29 Avr 2006 20:34 ]
Sujet du message: 
Image

Je me disais "Chucky-like", mais à lire le synospsis, je ne comprends pas la
présence (apparemment marquée) de la poupée.
Auteur:  Raccoon [ 30 Avr 2006 8:10 ]
Sujet du message: 
peter wonkley a écrit:
Bolo yeung a écrit:
Ed Wood a écrit:
La tagline de Parasite me rappel quelque chose mais quoi ? :-D

CHUD, Class 1984 et le crocodile de la mort sont des series b sympa mais pas nanardes.


class 84 est NANAR avec un grand N


pas d'accord du tout



je proteste avec peter, class 84 n'est pas un nanar du tout !!!
Auteur:  ROTOR [ 30 Avr 2006 10:54 ]
Sujet du message: 
Raccoon a écrit:
peter wonkley a écrit:
Bolo yeung a écrit:
Ed Wood a écrit:
La tagline de Parasite me rappel quelque chose mais quoi ? :-D

CHUD, Class 1984 et le crocodile de la mort sont des series b sympa mais pas nanardes.


class 84 est NANAR avec un grand N


pas d'accord du tout



je proteste avec peter, class 84 n'est pas un nanar du tout !!!


je me joins à vous !
Ca a peut-être un peu vieilli par certains côté, mais c'est loin d'être un nanar.
Auteur:  ZOMBIE [ 30 Avr 2006 12:13 ]
Sujet du message: 
Ah bah putain, si, quand même un peu !! :lol:
Auteur:  Walter G. Alton [ 01 Mai 2006 10:48 ]
Sujet du message: 
ROTOR a écrit:
Raccoon a écrit:
peter wonkley a écrit:
Bolo yeung a écrit:
Ed Wood a écrit:
La tagline de Parasite me rappel quelque chose mais quoi ? :-D
CHUD, Class 1984 et le crocodile de la mort sont des series b sympa mais pas nanardes.

class 84 est NANAR avec un grand N

pas d'accord du tout

je proteste avec peter, class 84 n'est pas un nanar du tout !!!

je me joins à vous !
Ca a peut-être un peu vieilli par certains côté, mais c'est loin d'être un nanar.

Je me rallie à la BONNE cause... Class 1984 n'a rien d'un nanar.
Auteur:  flo_P [ 01 Mai 2006 14:54 ]
Sujet du message: 
class of 1999 lui est un nanar avec un grand N :P
Auteur:  ZOMBIE [ 05 Mai 2006 13:43 ]
Sujet du message: 
Excusez-moi mais quand même !! Cette espèce de récup' du mouvement PUNK est à chier (tellement facile de détourner un mouvement dont le réalisateur ne savait visiblement RIEN), et je pèse mes mots... Du sensationnel pour bouffeurs de hamburgers. Pour le reste, je trouve que c'est surtout la VF qui donne le côté nanar à la chose. Maintenant, c'est distrayant, je ne vais pas dire le contraire, mais j'émets tout de même quelques réserves sur la pertinence de ce film qui finalement sous couvert de parler du problème de la violence n'offre que quelques clichés mal digérés. :evil:
Auteur:  Max Schreck [ 06 Mai 2006 12:31 ]
Sujet du message: 
Class of 1984, Mark Lester, 1982
Image
Perry King, de la bande du Riptide, en prof de musique débarque dans un lycée et se retrouve en butte aux agissements d'une bande d'élèves psychos (qu'on nous montre également comme les parrains du quartier gérant le trafic de drogue, la prostitution et la formation de nouvelles recrues).

ZOMBIE a écrit:
j'émets tout de même quelques réserves sur la pertinence de ce film qui finalement sous couvert de parler du problème de la violence n'offre que quelques clichés mal digérés. :evil:


Présenté presque comme un constat du niveau de déliquescence du système éducatif (pour le coup assez prémonitoire avec ses détecteurs de métaux à l'entrée et ses profs qui passent plus de temps à faire la loi qu'à donner leurs cours) avec tentatives d'explications psycho-sociologiques de la violence juvénile, Class of 1984 est quand même avant tout un film d'exploitation, une serie B qui cherche surtout à bourriner (Mark Lester n'est pas vraiment le roi de la subtilité). C'est surtout l'efficacité qui prime, malgré certaines situations outrancières (nanardes ?) et le jeu bien fadasse de l'épouse du héros. C'est pas là qu'il faudra chercher une vision juste du mouvement punk, on est face à des méchants de cinéma issus d'une longue tradition et juste mis au goût du jour. Dans le genre, je trouve que ça fonctionne bien.

On remarquera également un tout jeune (et un peu gras) Michael J. Fox. Le clou du film est véritablement son final, qui met face à face Perry King et les cancres dans les couloirs déserts du bahut avec une progression qui fait très jeu vidéo. Là ça devient vraiment sauvage et sanglant. L'homme est ramené à ses instincts primitifs. Oeil pour oeil, dent pour dent.

A noter, le score pas terrible de Lalo Schifrin, qui plaque ses accords de synthé avec des moufles tandis qu'Alice Cooper chante I am the future la chanson thème.
Auteur:  Zerogoki [ 01 Jan 2007 23:11 ]
Sujet du message: 
Nouvel ajout:

Class of 1999: j'en ai regardé 5 minutes pour voir l'état de la bande, m'a l'air d'être un bon film de loulous

Donjons & Dragons: un classique

Savage Streets: un autre film plein de loulous, quelques bonnes scènes

Street Fighter: un autre classique
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