Désolé si j'ai réagi un peu excessivement, et je sais que ce n'est pas le lieu, mais l'histoire de l'Ukraine est assez tragique pour qu'on me pardonne cette réaction excessivee et ces quelques lignes (malheureusemnt pas nanardes (ah si Staline (j'oublie pas le e cette fois ci) était seulement comme les soviétiques de Rambo III nanar et pas efficae)):
Après j'arrête : (arrêt de justice canadien)
http://www.ucc.ca/Section_5/ukrainians_ ... ex-fr.html
Un bref examen des preuves historiques est nécessaire afin de démontrer que les organisations nationalistes ukrainiennes telles que l'Organisation nationaliste ukrainienne (ci-après dénommée «OUN») et l'Armée d'insurrection ukrainienne (ci-après dénommée «UPA») n'étaient nullement alliées aux Nazis, mais étaient en fait leurs ennemies.
Les Allemands réagirent rapidement à la déclaration d'indépendance de l'OUN, arrêtant Bandera et ceux des chefs du mouvement qu'ils purent retrouver. Le reste de l'OUN dut prendre le maquis. Plus tard en 1941, l'aile de l'OUN dirigée par Melnyk tentait d'établir un gouvernement à Kiev; cette tentative fut également écrasée par la Gestapo, et nombre des chefs du mouvement furent exécutés collectivement à Babi Yar.
Et un site ukrainien
http://www.ukraine-europe.info/ua/dossi ... 1181081753 Les mesures anti-insurrectionnelles soviétiques ::
Il est important de se rappeler que ces deux activités [de partisans soviétiques]de la première période visaient dès le début non seulement les Allemands mais aussi les rivaux potentiels des Soviétiques en Ukraine, les Ukrainiens indépendantistes qui dans leur combat contre les occupants rassemblaient des forces importantes. Ce fait est reconnu non seulement par les Nazis qui ne pouvaient pénétrer dans de vastes portions de territoire contrôlé par la Clandestinité ukrainienne, mais aussi par leurs alliés, les Hongrois et les Roumains qui jugèrent prudent de conclure, à l'insu des Allemands, des accords de non-agression avec l'UPA. Encore plus dangereux pour les Soviets, l'UPA entreprit de neutraliser un maximum de Hiwis non-russes attachés à plusieurs unités de l'armée allemande et parvint à convaincre un certain nombre à rejoindre leurs rangs.
En 1944, le raid du partisan soviétique Kopvak derrière les lignes allemandes en Volhynie et Galicie doit être vu non seulement comme une action militaire anti-allemande, mais aussi comme une tentative pour reconnaître et jauger les forces ukrainiennes clandestines. Les leçons que les Soviets retinrent après celui-ci furent plutôt amères. Les forces de Kopvak au cours du " raid dans les Carpathes ", furent en mesure d'atteindre la Galicie mais ne purent s'y maintenir à cause d'une résistance particulièrement forte et inattendue de la part de l'UNS (le nom de l'UPA en Galicie). Mises en déroute, elles durent retraiter par petits groupes totalement désorganisés.
À partir de ce jour, l'historiographie soviétique mis sur le même pied les Allemands et leurs " collaborateurs ", les Ukrainiens indépendantistes.
Malgré les évidences, les Soviétiques, et leurs suiveurs actuels, insistèrent alors lourdement pour dire que l'UPA de Volhynie et l'UNS de Galicie étaient organisés par des Ukrainiens aux ordres des Nazis. Dès lors, le terme " nationaliste ukraino-allemand " fut en vogue et cette appellation continue encore à être utilisée en se référant aux Ukrainiens indépendantistes, tant dans la propagande communiste que par ceux qui la répercute volontairement ou non.