je suis en train de voir la saison 1 et effectivement, c'est excellent passé la barriere de l'image video et des effets speciaux pas tous tip top !
voici des copier coller d'un ami totalement fondu du doctor :
The DeathScythe a écrit:
La régénération du Docteur, décédé après les événements de Logopolis, se passe extrêmement mal : ses anciennes personnalités prennent d'assaut sa psyché fragilisée.
C'est à Tegan et Nyssa de prendre les commandes du Tardis et à faire face à l'enlèvement d'Adric par le Maitre.
Le Seigneur du temps renégat compte en effet se servir des dons du jeune mathématicien de génie pour prendre sa revanche sur son vieil ennemi agonisant !
Un serial qui voit les grands débuts de Peter Davison dans le rôle d'un Docteur complètement aux antipodes de ses prédécesseurs: bien plus jeune et dynamique, plus affable également, il se débrouille bien malgré une entrée en matière délicate ou il doit feindre la folie et jouer "la manière de" ses glorieux ainés.
L'aventure est bizarrement découpée en deux grandes parties, l'une se déroulant entièrement dans le Tardis et l'autre sur la pacifique planète Castrovalva à l'architecture moyenâgeuse bien fichue pour du studio...
En bonus comme d'hab des archives d'époque et des facturettes !
A suivre: Quand le Docteur se la joue Sherlock.
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The DeathScythe a écrit:
Après les événements survenus sur Traken, le Docteur décide enfin de faire réparer le dispositif de camouflage de son Tardis, en panne depuis des décennies…
Il doit pour cela se rendre sur la planète Logopolis, dont les habitants sont de véritables ordinateurs-calculateurs vivants !
Mais le Tardis accueille deux passagers clandestins : Tegan, une hôtesse de l’air australienne, et bien plus grave, un deuxième Tardis appartenant à une sinistre vielle connaissance qui va être à l’origine d’une des pires catastrophes de l’Histoire.
Dans le même temps, le Seigneur du Temps est observé et suivi par une étrange figure spectrale…
C’est la fin d’une époque pour la série avec le départ de son acteur fétiche pendant 7 longues années…
Tom Baker part en beauté dans une histoire dramatique ou la survie de l’Univers est en jeu, quitte à tout sacrifier ou à s’allier avec le diable. Logiquement il campe un Docteur moins loufoque que d’habitude, grave et fataliste.
Ce sont aussi les vrais débuts d’Anthony Ainley dans le rôle du Maitre, succéder à Roger Delgado n’est pas facile et l’on à affaire à un ennemi plus proche du super vilain de BD que du Moriarty des Seigneurs du temps vu jusque la. Néanmoins cela fonctionne assez bien et on s’habitue vite à son rire machiavélique qu’il lance à chacune de ses scènes.
Les plus gros regrets restent quand même un premier épisode assez chiant (dont une bonne partie consiste à voir une mégère se plaindre du pneu crevé de sa voiture) et un manque de spectaculaire comparé à la menace du moment (mais bon Doctor Who sans contraintes budgétaires...)
Gros bonus avec un documentaire de près d’une heure sur le départ de Tom Baker et son remplacement par le jeune Peter Davison qui balance pas mal sur le caractère difficile du 4eme Docteur (lui-même l’avoue sans problèmes) ainsi que des extraits des journaux tv et émissions d’époque (dont un passage hilarant ou un jeune téléspectateur conseille à Davison de s’habiller en garçon de café et d’avoir un chimpanzé habillé comme compagnon !)
A suivre : la tenue de Cricket et le céleri au revers de la veste sera furieusement tendance !
Coté série moderne : l’épisode spécial Noël de cette année à été vu par plus de 12 Millions d’anglais soit 50% de l’audience totale, le plus gros score pour les aventures du Docteur depuis le City of Death de 1979 (et à l’époque l’une des 3 chaines nationales était en grève !)
De plus Murray Gold en a profité pour remixer une nouvelle fois le celebre theme du générique: plus péchu avec des percus !
http://www.youtube.com/watch?v=vFG8M8siIsUThe DeathScythe a écrit:
Le Docteur et son jeune compagnon Adric sont contactés par le Gardien de la planète Traken. Agonisant, celui-ci leur demande de l'aide pour faire face à la présence d'un mal caché qui menace l'harmonie de Traken...
Or, Traken est connue pour être la planète de la bonté, tout être animé de trop mauvaises attentions est immédiatement changé en statue.
Sous le regard suspicieux des consuls et avec l'aide de Tremas, successeur désigné du gardien, et de sa fille Nyssa; les deux voyageurs enquêtent...
La BBC prépare tout doucement la fin de cette 18eme saison du Docteur, qui sera la dernière de l'ultra populaire Tom Baker après 7 longues années (record !), avec une aventure plaisante aux accents assez shakespeariens qui voit l'apparition d'une nouvelle compagne et un retour inattendu...
Niveau bonus comme d'hab: une featurette sur le tournage, une sur
le retour du Maître , des extraits d'émissions tv d'époque (avec un révolutionnaire baladeur cassette portable !!!)...
A Suivre: La fin d'une époque...
The DeathScythe a écrit:
Alors qu'UNIT reçoit la visite de deux visiteurs pas forcement les bienvenus (un émissaire du gouvernement anglais et un agent américain chargé de mettre la main sur Le Maitre, un seigneur du temps renégat apparu récemment sur Terre.), un vaisseau alien en perdition s'écrase en Grande Bretagne.
Ses occupants, les Axons sont des êtres dorés pacifistes et en échange d'un peu d'aide font dont aux terriens d'une source d'énergie révolutionnaire: l'Axonite.
Le Docteur est disposé à les aider (surtout si cela permet de réparer son Tardis) mais bien sur tout n'est pas aussi idyllique que cela, surtout que les Axons "hébergent" dans leur vaisseau un invité inattendu...
Une petite aventure pas révolutionnaire mais sympathique, très psychédélique et relativement bien fichues pour une prod tv de 1971 –décors organiques, streums en spaghettis bolognaise- qui nous permet de voir Le Maitre sous sa première incarnation télévisée (Roger « méchant écrit sur mon front » Delgado) et de se régaler avec ses scènes de confrontations avec le Docteur (Jon Pertwee, meilleurs potes à la ville).
A noter aussi une musique bontempi de meilleur aloi et les mésaventures d’un drôle de clodo baragouinant –un Father Jack avant l’heure- !
Coté bonus quelques featurettes et un documentaire technique sur la restauration des masters et les conversions Pal-NTSC et réciproquement …
A Suivre: le début de la fin d'une epoque...
The DeathScythe a écrit:
Le Docteur et sa "jeune" concitoyenne Romana décident de prendre un peu de bon temps en passant quelques jours de vacances à Paris, « le plus bel endroit de l’Univers ».
Tout commence bien avec une visite à la tour Effel, un petit tour dans nos fameux bistros, tout juste nos seigneurs du temps ressentent un étrange sentiment de « déjà-vu »…
Evidemment rien ne peut durer éternellement et c’est au cours d’une visite au Louvre devant la célèbre Joconde que le Docteur dérobe le bracelet d’une femme, un artefact indubitablement bien trop technologiquement avancé pour les terriens…
La femme est l’épouse et complice du richissime et étrange conte Scarlioni et celui-ci est bien décidé à récupérer le bracelet qui à une impotence capitale pour ses plans…
Les Seigneurs du temps ainsi que le détective Duggan (qui frappe d’abord, pose des questions ensuite et réfléchit enfin…) se retrouveront ainsi mêles à une affaire le trafic d’œuvres d’art et les expériences temporelles !
Tourné en 1979, City of death est le premier épisode tourné en dehors de la grande Bretagne, il s’agit aussi d’un scenario qui sera vite repris en main par le célèbre Douglas Adams, révélé peu avant grâce au feuilleton radiophonique « Le guide du routard galactique » qui n’hésite pas à injecter une bonne dose de son style particulier dans cette aventure…
La patte de l’auteur comique se retrouve ainsi dans un script ou l’humour absurde et les délires et paradoxes temporelles cohabitent.
Tom Baker se régale avec ce script délirant et va encore plus loin que d’habitude dans son coté pince sans rire et loufoque à la fois, son binôme avec Lalla Ward fonctionne impeccablement (il y a de la romance dans l’air) et le méchant Julian Glover (apparu chez Spielberg et Lucas et futur ennemi de Bond) et génial en méchant elegant et suave…
Une histoire considérée comme une des meilleures de la série et qui présente de nombreuses similitudes avec la nouvelle version des aventures du Docteur dont elle constitue un peu le precurseur…
Guettez également la présence au detour d'une scene d’une guest star adaptée en la personne de John Cleese himself !
L’édition est à la hauteur avec, en plus des commentaires et des galeries habituelles, un documentaire totalement dans l’esprit de l’histoire sur la genèse du scenario et le tournage (avec des enregistrements d’archive d' Adams lui-même !) ainsi que les interventions des scénaristes actuels de la série, un document vidéo rare avec notamment des prises ratées, des featurettes sur les effets spéciaux à base de poulets et un vrai faux reportage hilarant !
Prochainement : et si les adorateurs du monstre en spaghetti géant n’avaient pas totalement tort ?
The DeathScythe a écrit:
UNIT , l’organisation internationale ayant recueilli le 3eme Docteur, exilé sur Terre par les seigneurs du temps, assure la sécurité sur un projet gouvernemental top secret et révolutionnaire baptisé « Inferno » dont le but est de récupérer une nouvelle source d’énergie en pénétrant la croûte terrestre.
Le Gallifreyen comptant bien utiliser l’énergie de la centrale nucléaire du complexe pour remettre en marche son Tardis, se joint volontiers aux militaires…
Cependant sur le site la tension est a son comble : Stahlman le directeur du projet entre ouvertement en conflit avec les émissaires du gouvernement et le spécialistes en forage et le Seigneur du temps, trop « timorés » à son goût alors même que les dysfonctionnements se multiplient et qu’un meurtre particulièrement brutal vient d’être commis…
Mais cela n’est rien en comparaison avec ce qui attend les chercheurs et l’étrange expérience que subit le Docteur suite à un essai raté avec sa machine temporelle…
Dernière aventure de la première saison du 3eme Docteur, une saison considérée comme l’une des plus réussies malgré un challenge pas évident à la base (série en sursis, un nouveau Docteur, la couleur, un format plus long de 7 épisodes et des scénarios se passant uniquement sur Terre pour raisons budgétaires…).
Brassant de nombreux thèmes à priori pas forcement liés (la « science sans conscience », la contamination, les mondes parallèles…) sur un ton finalement assez grave, avec un Jon Pertwee impeccable en Seigneur du Temps déchu : mi dandy (avec costume de Mandrake !) mi homme d’action (il conduit sa propre voiture « Bessie » et pratique l’aïkido vénusien !!!) ; il s’agit selon les Whoviens acharnés d’un des sommets de la série…
Les seuls petits problèmes viennent du look final des monstres (alors qu’en phase intermédiaire en zombies de Romero/Argento avant l’heure aux gémissements bizarres, ils sont parfaits !) et une durée un peu plombant (plus de deux heures) même si c’est très dense…
En bonus comme d’hab : commentaire audio, vidéos d’archive, doc complet sur le tournage et featurette sur UNIT et son rôle dans les aventures du 3eme Docteur !
A suivre : une aventure à Paris signée Douglas Adams : forcement dingue !!!
(Superflo si vous voulez les mater je vous les passe, faut pas être réfractaire au rétro et au rudimentaire mais bon quand on mate des Corman par paquet de douze…
)
The DeathScythe a écrit:
Le 7eme Docteur accompagné de la très « années 80 » Ace, se retrouvent en 1963 au même endroit ou, un mois plus tôt, le 1er avatar du seigneur du temps avait décidé d’embarquer les deux professeurs de sa petite fille pour des aventures à travers le temps et l’espace (1er épisode de la série, en 63 justement !).
Comme souvent, cette arrivée coïncide avec une crise, lorsque des militaires se font attaquer par un assaillant inattendu…
C’est le début d’une course contre la montre qui s’engage entre le Docteur et l’armée, une milice fascisante et deux factions rivales de Daleks (comme si une armée de Daleks ne suffisait pas !) pour la récupération d’un artefact surpuissant, caché dans le coin par le Gallifreyen.
Pas mal de clins d’oeil et de références dans cette histoire qui célébrait le 25eme anniversaire de la série. On retrouve le mésestimé Sylvester Mccoy dans le rôle du docteur, un docteur à l’accent écossais à couper au couteau et assez bouffon au 1er abord mais extrêmement calculateur et manipulateur.
A la décharge du comédien, il faut dire que ses premières aventures sont de qualité très relatives mais que la deuxième partie de son règne est très bonne avec une dernière saison qui constitue un quasi sans faute…
Remembrance constitue la 1ere aventure de cette deuxième phase et est donc divertissante et regardable, même si le climax surprenant est évacué en 5/10 minutes montre en main et que les Daleks sont loin d’être aussi redoutables et flippants que dans « Genesis » ou que dans le « Dalek » de la nouvelle série… (cf la scène ou l’un d’entre eux se fait éclater à la batte de baseball boostée…)
Peu de bonus, le dvd étant l’une des premières sorties de l’équipe de la BBC : on retrouve néanmoins un commentaire audio, une piste son isolée, des sous titres informatifs, scènes coupées, bêtisiers et scènes multi angles (ce qui est déjà bien plus que pas mal de dvd « collectors » traditionnels !!!)
The DeathScythe a écrit:
Les Seigneurs du temps, pourtant connus pour leur politique non-interventionniste, décident que la menace que les Daleks représentent pour toute forme de vie est trop importante et qu’il faut agir…
Ils demandent donc à leur « enfant terrible », le Docteur, accompagné de ses compagnons d’alors, Sarah Jane Smith et Harry Sullivan, de remonter jusqu'à la naissance de cette race de mutants sur une planète Skaro ravagée depuis 1000 ans par une guerre « sale » fratricide entre les Thals et les fascisants Kaled.
Sa mission: empecher la création des poivrieres tueuses ou faire en sorte qu'elles soient moins dangereuses pour l'Univers.
Considérée par beaucoup de Whovians comme la meilleure histoire du docteur le plus populaire, elle éclaire définitivement les zones d’ombres et les soucis de continuité qui entourent la genèse des populaires daleks, tout en en refaisant une véritable menace après des histoires ou ils apparaissaient un peu faiblards.
Les parallèles avec le Nazisme (sous entendus depuis le début des Daleks mais jamais aussi évidents) en font également une histoire particulièrement sombre, surprenante pour une série de 1975 destinée à tous les publics…
Enfin c’est la première apparition du terrible Davros, génie sans conscience ni morale avec une performance remarquable de l’acteur Michael Wisher malgré les limitations que constituent les masques et autres prothèses (son acolyte, le fort « gestapiste » Nyder est assez fascinant également).
L’édition dvd est un modèle sur lequel bien des éditeurs devraient prendre exemple sur ce travail minutieux de restauration surtout lorsqu’on sait à quel point la BBC faisait du travail de cochon quand à la conservation de leurs œuvres à l’époque (de nombreuses histoires des 2 premiers docteurs sont définitivement perdues !).
Les bonus sont nombreux, informatifs, sans aucune langue de bois et drôles (Tom Baker, le 4eme docteur, est franchement savoureux et les leçons pour apprendre à parler Dalek sans modulateur vocal hilarantes.)
Et tout est sous-titré en anglais (bien que la diction impeccable des acteurs empêche toute difficulté majeure).
Conclusion j’ai craqué et me suis pris d’autres histoires des différents docteurs (dont celle écrite par Douglas Adams, le regretté auteur du Guide du routard intergalactique)
une tonne de dvd sont sortis
petit florilege :