Sforza a écrit:
fuchsia chlorotique a écrit:
quel est le rapport avec doom et marylin manson ?
(évidemment sans la photo c'est moins évident), phrase référence à Elephant et Bowling for Columbine. En enlevant le côté fantastique de Carrie, une lycéenne américaine qui massacre tous ses camarades, ça vous fait pas penser à quelque chose, sérieux ?
ok, je n'avais pas fait le lien avec columbine, c'est plus clair maintenant
Sforza a écrit:
fuchsia chlorotique a écrit:
quels passages trouves-tu lents et contemplatifs ? (les 90% du métrage qui ne sont pas de l'horreur ?)
Question rhétorique
le problème avec carrie, c'est qu'il est vendu et généralement perçu comme un film d'horreur, alors que l'horreur n'y occupe finalement qu'une place marginale. je pense que c'est de là que vient votre impression de "lenteur, contemplation" : l'essentiel du film parle du mal-être d'une adolescente tourmentée mais il n'y a pas de "temps mort" pour autant, à la limite 1 ou 2 courtes scènes comiques sans grand intérêt
(et la scène de danse sur "i never dreamed someone..." est juste fabuleuse)
Sforza a écrit:
fuchsia chlorotique a écrit:
qu'est-ce que tu veux dire par "présence anecdotique de john travolta" qui joue un des premiers rôles masculins du film et son premier "gros" rôle au cinéma ?
Anecdotique pas dans le sens où Travolta apparait 20 secondes. Anecdotique dans le sens où c'est essentiellement un faire-valoir de la blonde, la vraie bully de Carrie et si l'on avait enlevé le film, ça aurait rien changé au fond. Après, c'est comme ça que je me souviens de son rôle....
hé oh le marseillais, tant que t'y es ce n'est qu'un figurant flou en arrière plan dans une scène coupée au montage
son personnage est au coeur de l'intrigue et il est dans plusieurs scènes marquantes (la gâterie, le cochon, le seau, le roulé-boulé,...). revois le film