Synopsis Allociné a écrit:
Même quand il n’était qu’un tout petit monstre, Bob Razowski rêvait déjà de devenir une Terreur. Aujourd’hui, il est enfin en première année à la prestigieuse université Monstres Academy, où sont formées les meilleures Terreurs. Son plan de carrière bien préparé est pourtant menacé par sa rencontre avec James P. Sullivan, dit Sulli, un vrai crack qui a un don naturel pour Terrifier. Aveuglés par leur désir de se prouver l’un à l’autre qu’ils sont imbattables, tous deux finissent par se faire renvoyer de l’université. Pire encore : ils se rendent compte que s’ils veulent que les choses aient une chance de rentrer dans l’ordre, ils vont devoir travailler ensemble, et avec un petit groupe de monstres bizarres et mal assortis…
Ouééééééééééé, le retour (enfin le début) de Bob Razowski & Sullivan !
12 ans après le culte Monsters Inc., Pixar nous sort donc le prequel.
J'avais quand même un peu une certaine appréhension parce que :
- Monsters Inc. est pour moi un des meilleurs Pixar
- Cars 2 sans être mauvais était juste "pas mal" (ce qui n'est pas une habitude chez Pixar)
- Brave (Rebelle) était bien mais là aussi, il manquait un truc, c'était un peu trop Dreamworks pour du Pixar
Mais force est de constater que lorsque Pixar veut, Pixar ne déçoit pas, dans ce prequel donc on retrouve les ingrédients d'un excellent film d'animation : personnages attachants, sidekicks vraiment drôles, scénario intelligent et à double lecture.
Beaucoup de bonnes trouvailles scénaristiques :
- le passage au côté obscur de Léon Bogue
- on ne s'attarde pas trop sur le côté "fils de" de Sullivan
- la morale finale est relativement originale pour ce genre de film, en gros, qu'ils aient réussi ou pas les jeux, ils sont quand même virés de l'université, alors qu'on aurait pu croire à la parfaite happy end, au contraire, pour finir le lien avec le 1er film, ils passent par tous les petits boulots au sein de Monsters Inc.Bref, ce film est réussi pour moi, et il me tarde déjà de le revoir car je suis persuadé que je n'ai pas assimilé toutes les références dispersées dedans.
Et puis j'ai rigolé bien fort (bien plus fort que les enfants présents dans la salle) lors
de l'explication foireuse de Don Carlton sur sa relation père-frère avec Squishy