L'histoire de Spoon...
Enfant j'avais déja quelques dispositions, je lisais Mad Movies depuis que
 j'avais 12 ans et j'étais plutôt cinéphile sans restriction A,B ou Z.
J'ai eu le choc de voir en salle à 10 ans avec mon petit frère "Le sens de 
la vie" de Monty Pythons et je dois dire que j'en avais gardé un souvenir  dément.
J'ai vu Delta Force avec Chuck en salle et c'était mon héros je 
chantais la musique.Une cousine plus agée d'ailleurs m'avait traumatisé à l'époque 
en me disant que c'était mal d'aimer ce film Fachooo mais à 13 ans je
pensait pas à ça moi,seulement à Chuck et sa moto et tatata tatata 
lalalalalalala tatata tata taaaa.En plus elle avait un poster de Fame dans 
sa chambre alors son avis  je m'en foutais.
Bon ben c'est au cours des années 90 avec des potes rôlistes que tout a 
vraiment commencé, pour changer des parties tous les week end on avait
decidés de se faire des soirées ciné ringard comme on disait, la chance 
voulait qu'un pote habite à côte d'un de ces merveilleux petit vidéos club 
comme il n'en existe plus ou il n'y a que des vieilles VHS serie B et Z ou 
encore serie A dans de superbes Pan and Scan granuleux verdatres qui
transforme visuellement un Scorcese en Columbo.
Donc je me souvient encore des films des premières soirées 
Mad Mutilator aka Ogroff (hé oui comme b.one je l'ai vu!) la jaquette 
jaune et orange fluo avec squelette criard était phénomenale.
Le lac des morts vivants Ouéee!
Star Slammer le premier film de SF SM dixit la jaquette
Flesh Gordon 1
Un film avec Howard Vernon, tourné à la Grande Motte, avec des 
vampires et un peu de X version 70's (fourrure et moustaches inside)
dont je cherche encore le titre.
Soultaker avec Robert Zdar
Les rats de manhattan.
Puis la vie sépare les potes et les soirées s'espacent,mais moi je 
continuais à mater des nanar 
 
 
Et un jour je ne sais plus comment je tombe sur Nanarland, le Graal des 
Nanarophiles.Je me contentais du site et de mater un peu le forum
puis un jour je me suis dit vas-y inscrit toi,fait ce que Chuck aurait fait.
Et je regrette pas c'est bien sympa  
