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Jean Lefebvre

« J’ai tellement de navets dans ma carrière que je pourrai en faire un potager »



Voici une chronique que je n’aurai pas aimé poster si tôt. Jean Lefebvre, le dernier des Tontons Flingueurs s’est en effet éteint à Marrakech le 9 juillet 2004 des conséquences d’une attaque cardiaque.

Ce fils de Maréchal-ferrant du Nord-Pas-de-Calais était l’un des derniers à incarner le cinéma comique, franchouillard, populaire et, pour tout dire, un peu ringard. Un résumé aussi lapidaire serait injuste tant il est vrai que l’humour au cinéma est peut-être le genre qui vieillit le plus mal (car trop marqué dans son époque) et que ce qui faisait hurler de rire grand-papa laisse fiston de marbre. Ce serait aussi négliger que dans les années 60 et 70, Jean Lefebvre fut une véritable vedette populaire, d’abord éternel second couteau aux côté des stars de l’époque (Ventura, Gabin, Delon, De Funès…), puis enfin, tête d’affiche dans des productions diverses et variées, avec nettement moins de succès tant Lefebvre – second rôle très convaincant – n’avait clairement pas les épaules pour faire tenir un film sur ses seules prestations. Surtout quand lesdites prestations étaient essentiellement motivées, non par le potentiel ou la qualité du scénario, mais par la nécessité de rembourser ses dettes de jeu. En effet, Jean Lefebvre et plusieurs de ses amis étaient de grands habitués des Casinos de Deauville et Trouville, fêtards, dépensiers et apparemment malheureux au jeu. Dans ce petit club, on peut citer Francis Blanche, Darry Cowl, Micheline Dax, Robert Dhéry et Jean Richard (reconverti par la suite dans le cirque), bref, une grande partie de la troupe des Branquignols (la troupe comique de Robert Dhéry), troupe oubliée aujourd’hui mais qui fut l’une des premières bandes comiques françaises à se produire, avec succès, aussi bien en Angleterre (inspirant au passage un jeune comédien britannique d’1.90m, un certain John Cleese…) qu’aux Etats-Unis.

Jean Lefebvre est né le 3 octobre 1922 à Barlin, localité du Pas-de-Calais, à quelques kilomètres de Valenciennes. Il commence le chant et le théâtre en amateur, mais se destine professionnellement à la médecine, dont il entame les études avant que celles-ci ne soient interrompues par la guerre. Après la libération, Jean Lefebvre obtient son diplôme du Conservatoire et commence sur les planches des cabarets parisiens, notamment « l’Amiral », dans « Les Vignes du seigneur ». C’est dans le milieu du cabaret qu’il rencontre Robert Dhéry qui l’intègre à sa troupe des Branquignols, dans laquelle Lefebvre découvre le comique absurde et le nonsense très anglais de Dhéry, une révolution pour l’époque ou la mode franchouillarde était le comique troupier et la parodie du méchant Boche. Créateur de revues à sketches, Dhéry intègre Jean Lefebvre à « la Plume de ma tante », l’un de ses spectacles qui rencontre un franc succès, notamment en Angleterre. Au contact des Branquignols, Jean Lefebvre aura connu d’autres futures vedettes du grand écran français, tous gravitant autour de l’ injustement oublié Dhéry : Jean Carmet, Darry Cowl, Louis de Funès, Micheline Dax, Francis Blanche, Colette Brosset, Jacques Legras, Pauline Carton et bien d’autres .



Après sa période « Branquignols », Jean Lefebvre, en plus du théâtre, se tourne vers le cinéma, et notamment le cinéma populaire. Second rôle efficace, on le voit dès 1952 dans « Bouquet de Joie », aux côtés de Charles Trenet, puis il enchaîne des apparitions dans des films prestigieux comme « Les Diaboliques », « Et Dieu créa la femme », « En légitime défense », durant tout la période des années 50. Il retrouve Dhéry en 1961 pour un rôle dans « La belle Américaine », joue aux côtés de Robert Hossein dans « les Grands Chemins », de Gabin dans « le gentleman d’Epsom » et surtout de Ventura, Blier et Francis Blanche (qu’il retrouve pour l’occasion) dans le cultissime « Les Tontons flingueurs » en 1963. A cette époque, jean lefebvre tourne presque 3 ou 4 films par an, commence à être connu, et l’argent rentre vite…pour être encore plus vite dépensé dans les casinos et cercles de jeu dont il est un habitué. Un vice assez répandu chez les anciens de la troupe des Branquignols : en effet, les « parties de croquet à 100 francs le point » chez Francis Blanche sont des activités assez courues dans le milieu du théâtre et du cinéma de l’époque, et Jean Lefebvre est un habitué de ces soirées. On y boit beaucoup, on y flambe encore plus. Par la suite, ce sont quelques indélicatesses fiscales qui obligeront Jean Lefebvre à des dépenses importantes, et révélatrices de ses choix de carrière.

Jean Lefebvre devient un incontournable du cinéma comique, enchaîne les films. La série des « Gendarmes », puis celle de « La Septième Compagnie », entrecoupées d’autres dizaines de métrages, viennent lui apporter la consécration et la reconnaissance. Son air de « cocker triste » (comme disait Lino Ventura) devient célèbre, particulièrement dans le rôle du petit franchouillard un peu benêt et un peu mou (A l’époque, Lefebvre était catalogué dans un registre très précis, comme Ventura dans celui de « la brute au grand cœur », ou De Funès dans celui du «petit teigneux qui gigote»).

Il serait fastidieux de tenter de résumer sa carrière cinématographique des années 70, tant celle-ci et dense et bien remplie. Toutefois, c’est à ce moment que le style « comédie française» commence à s’étouffer (en tous cas à rapporter moins, tant le marché est saturé. Le genre est décrié par la Nouvelle Vague, Mai 68 est passé par là et a ringardisé les icônes populaires, et surtout, les films américains commencent à déferler sur l'hexagone). Ce genre de films ne fait plus recette dès la fin des années 70 et la revendication sociale un peu méchante vient remplacer la bonhomie des années 60. Des métrages mettant en scène des vedettes aux rôles plus "durs" comme Patrick Dewaere, Gérard Depardieu, Bernard-Pierre Donnadieu ou Alain Delon (période "Delon superflic") tendent à remplacer les "gueules" des sixties et à recueillir les dividendes du cinéma populaire, éreinté par la médiocrité des comédies faciles d'une part, et par l'intellectualisme prétentieux de la Nouvelle Vague, de l'autre.

Même si les suites de « la Septième Compagnie » marchent très fort, Jean Lefebvre commence à se fourvoyer – toujours pour des raisons financières – dans des navets ou des nanars d’anthologie comme « C’est pas parce qu’on a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule » de Jacques Besnard et Christian Clavier (!) en 1974, « le Chasseur de chez Maxim’s » de Jean Halin en 1976, « Comme un pot de fraises » de Gérard Sire, ou encore « Impossible…pas français » de Robert Lamoureux en 1974. A l’époque, Lefebvre s’abonne au rôle de français moyen un peu soumis, un peu crétin mais plein de "bon sens paysan", souvent affublé du patronyme de « Michalon », franchouillard en diable. S’il réussit à placer quelques apparitions sympathiques durant cette période, les années 80 verront au contraire Jean Lefebvre se nanardiser de plus en plus et se caricaturer dans des rôles de plus en plus niaiseux, dans des films facilement oubliables et à l’humour pachydermique (« Plein les poches pour pas un rond » en 1977, « Ils sont fous ces sorciers » en 1978 …).



Les années 80 commencent en beauté pour lui avec « Prends ta Rolls et va pointer » de Richard Balducci, en 1981, « le Chêne d’Allouville » de Serge Pénard (qui restitue ô combien ingratement le roman d’Alphonse Boudard), ou encore « On est pas sortis de l’auberge » de Max Pécas en 1982. Rien à dire, ça commence très fort, et le massacre ne s’arrête pas là puisque Lefebvre enchaîne dans le comique bas-de-gamme durant toute la décennie avec « N’oublie pas ton père au vestiaire » ou « Le Gaffeur ».

Si Jean Lefebvre continue à gagner sa vie plus qu’hônnetement, la qualité n’est plus au rendez-vous, et c’est au théâtre qu’il tente de retrouver le succès en enquillant les pièces de boulevard, avec une certaine classe, disons-le, aux côtés d’autres « has been » (qu’on me pardonne ce substantif peu glorieux mais tellement vrai) comme Georges Beller, Marthe Villalonga, Micheline Dax, Jean-Pierre Castaldi, Marcel Philippot, Jean Dalric ou Olivier Lejeune. Invariablement, Jean Lefebvre y campe le « bourgeois » vieillissant –rôle dans lequel il est convaincant – mais aussi (et avec moins, beaucoup moins, d’inspiration), les séducteurs et les hmm… jeunes premiers. L’image ringarde de Jean Lefebvre est désormais gravée dans l’acier inoxydable. S’il ne s’intéresse plus au cinéma (et réciproquement, pourrait-on cruellement ajouter…), il reste une valeur sûre du téléfilm, et, dans les années 90, enquille diverses productions télé entre deux pièces de boulevard, à destination des programmes de lendemain chômés et pâteux, engourdis dans les vapeur d’alcool de Nouvel An ou de Noël, lorsque tout un chacun aime s’avachir devant la télé en mettant son cerveau sur « off ». Son dernier téléfilm, « Fifi Martingale » sera tourné en 2001, avant une dépression de l'acteur, suite à quoi, Jean Lefebvre coupera les ponts avec le cinéma pour s’intéresser uniquement au théâtre, dont il était encore à l’affiche en 2002, pour la pièce « Les Jumeaux », au Théâtre des Nouveautés à Paris, où il interprétait deux rôles, celui d’un grand bourgeois coincé et son jumeau, voyou dragueur et gouailleur.

Marié quatre fois, Jean Lefebvre a joué dans 131 films et plus de 900 représentations. Malgré son image ringarde, surtout sur la fin, il faisait partie du paysage cinématographique français et, malgré un nombre impressionnant de navets, c’est aussi à l’acteur des « Tontons Flingueurs » ou de la « Septième Compagnie » que cette modeste chronique souhaite rendre hommage.

Je tiens à préciser au passage qu'il n'y a nulle volonté "charognarde" dans cette chronique. En fait, je la préparais depuis quelques temps, et seule l'actualité m'a incité à la compléter et la terminer aujourd'hui même...

qui parle ? Nicholas Muguet ou Zord ?

[mode André Halimi on] moi, je dis bravo !!! [mode André Halimi off]

Mais JE SUIS Nicolas Miguet (en fait, on crois que je viens causer de cinéma, mais pas du tout ! En fait, j'infiltre subtilement afin de récupérer un nouveau fichier d'abonnés à qui je pourrai envoyer ma nouvelle publication :L'Hebdo du Quotidien de Paris de la Bourseplus.com, la bourse pour tous, le nouveau Minute - Mensuel - paraît tous les trimestres)

Tiens, ceci dit et dans un tout autre registre (c'est jour de deuil; merde !) j'avais oublié la filmo du King Jean

Fifi Martingale (2001) .... Gaston Manzanarès
Un malade en or (1997) (TV) .... Jean Figeac
Bourgeois se rebiffe, Le (1996) (TV) .... Jean Lebourgeois
Château Magot (1996) (TV) .... Jean
Une femme dans les bras, un cadavres sur le dos (1995) (TV) .... Antoine Brisebard
"Une famille pas comme les autres" (1993) TV Series .... Jean Lemercier
Gourou occidental, Le (1993) (TV) .... André Gachot
Feu Adrien Musset (1992) (TV) .... Adrien Musset
Bienvenue à Bellefontaine (1992) (TV) .... Gaëtan Lantier
Papy super star (1991) (TV) .... Victor Colinet
Sous le signe du poisson (1991) (TV) .... Michel Sénachal
Grande embrouille, La (1990) (TV) .... Laurent Baudouin


Folle journée ou Le mariage de Figaro, La (1989) .... Bazile
À deux minutes près (1989) .... Le mari de la matrone
"Affaire suivante" (1986) TV Series .... Cousin Le Bol 2
Gaffeur, Le (1985) .... Gabriel Duchemin
Salut la puce (1983) .... Robert 'Capitaine' Dumourier
Braconnier de Dieu, Le (1983) .... Vincent Espérandieu
On n'est pas sorti de l'auberge (1982) .... Félix
N'oublie pas ton père au vestiaire... (1982) .... Antoine Chevrier
Prends ta rolls et va pointer (1981) .... Camille
Chêne d'Allouville, Le (1981) .... Albert Lecourt
... aka Ils sont fous ces Normands (1980) (France: new title)
Borsalini, Les (1980) .... Momo Bichonnet


Duos sur canapé (1979) .... Victor, le valet
Tendrement vache (1979) .... Henri Duchemin
Temps des vacances, Le (1979) .... Alexandre
Plein les poches pour pas un rond... (1978) .... Julien
Ils sont fous ces sorciers (1978) .... Julien Picard
... aka These Sorcerers Are Mad (1978) (International: English title)
Freddy (1978) .... Frédéric Corban dit 'Freddy'
Septième compagnie au clair de lune, La (1977) .... Pithivier
... aka Seventh Company Outdoors, The (1977) (International: English title)
Maestro, Le (1977) .... Alexis Kemper
Casanova & Co. (1977) .... The Sergeant
... aka Casanova, Italian Style (1977)
... aka Rise and Rise of Casanova, The (1977) (UK)
... aka Sex on the Run (1976) (USA: reissue title)
... aka Some Like It Cool (1977)
... aka Treize femmes pour Casanova (1977) (France)
Chasseur de chez Maxim's, Le (1976) .... Le chanoine
... aka Maxim's Porter (1976) (International: English title)
Jour de gloire, Le (1976) .... Grégoire
... aka Day of Glory, The (1976)
... aka Priester, ein Panzer und ein Haufen müder Landser, Ein (1976) (West Germany)
Situation est grave... mais pas désespérée, La (1976) .... Bertrand Duvenois
On a retrouvé la 7e compagnie (1975) .... Pitivier
... aka Seventh Company Has Been Found, The (1975) (International: English title)
Pas de problème! (1975) .... Edmond Michalon
... aka No Problem! (1975)
C'est pas parce qu'on a rien à dire qu'il faut fermer sa gueule (1975) .... Riton
"Chéri-Bibi" (1974) TV Series .... La Ficelle
Impossible... pas français (1974) .... Louis Brisset
... aka Impossible Is Not French (1974) (International: English title)
C'est jeune et ça sait tout! (1974) .... Charles Lebrun
... aka Y'a pas de mal à se faire du bien (1974)
Comme un pot de fraises! (1974) .... Adrien
... aka Like a Pot of Strawberries (1974) (International: English title)
Commissariato di notturna (1974)
Plumard en folie, Le (1974) .... Adrien
... aka Bedmania (1974) (UK)
... aka Farfelous, Les (1974) (France: video title)
... aka Le Lit... Ze Bawdy Bed (1975) (USA)
... aka Lit, Le (1974) (Canada: French title)
Valise, La (1973) .... Baggage Man
... aka Girl in the Trunk, The (1973) (UK)
... aka Man in the Trunk (1975) (USA)
Mais où est donc passée la septième compagnie? (1973) .... Pitivier
... aka Dov'è finita la 7 compagnia? (1974) (Italy)
... aka Now Where Did the Seventh Company Get to? (1973) (International: English title)
Magnifique, Le (1973) .... The electrician
... aka Come si distrugge la reputazione del più grande agente segreto del mondo (1973) (Italy)
... aka How to Destroy the Reputation of the Greatest Secret Agent... (1973) (UK)
... aka Magnificent One, The (1973)
Solitaire, Le (1973) .... Un gardien 'La Carlingue'
... aka Im Alleingang (1973) (West Germany)
... aka Loner, The (1973) (International: English title)
Isla misteriosa y el capitán Nemo, La (1973)
... aka Île mystérieuse, L' (1973)
... aka Isla misteriosa, La (1973)
... aka Isola misteriosa e il Capitano Nemo, L' (1973)
... aka Jules Verne's Mysterious Island of Captain Nemo (1973)
... aka Jules Verne's Mysterious Island of Dr. Nemo (1973)
... aka Mysterious Island of Captain Nemo, The (1973)
... aka Mysterious Island, The (1974) (USA)
J'ai mon voyage! (1973) .... M. Cartier
... aka Enuff Is Enuff (1973) (Canada: English title)
... aka I've Had It (1973) (International: English title)
... aka Quand c'est parti, c'est parti (1973) (France)
Quelques messieurs trop tranquilles (1973) .... Julien
... aka Some Too Quiet Gentlemen (1973) (International: English title)
Treasure Island (1972) .... Ben Gunn
... aka Île au trésor, L' (1972) (France)
... aka Isla del tesoro, La (1974) (Spain)
... aka Isola del tesoro, L' (1972) (Italy)
... aka Schatzinsel, Die (1972) (West Germany)
Bluebeard (1972) .... Greta's Father
... aka Barbablù (1972) (Italy)
... aka Barbe-bleue (1972/II) (France)
... aka Blaubart (1972) (West Germany)
Avec le coeur (1972) (TV) .... Various characters
Sainte farce, La (1972) (TV) .... Dupin
Dossiers de Me Robineau: Les cagnards, Les (1972) (TV) .... Gaétan
Ingénu, L' (1972) .... Abbé de Kerkabon
... aka Artless One, The (1972) (International: English title)
Au théâtre ce soir: Cash-Cash (1971) (TV) .... Murdoch Cooper
Âne de Zigliara, L' (1970) .... Gégé
... aka Une drôle de bourrique (1970) (France)
Gendarme en balade, Le (1970) .... Maréchal des Logis Lucien Fougasse
... aka 6 gendarmi in fuga (1970) (Italy)
... aka Gendarme Takes Off, The (1970) (International: English title)
Fleur, La (1970) (TV)


Bourgeois gentil mec, Le (1969) .... M. Gentil
Gendarme se marie, Le (1968) .... Maréchal des Logis Lucien Fougasse
... aka Calma ragazze oggi mi sposo (1968) (Italy)
... aka Gendarme Gets Married, The (1968) (USA)
... aka Oggi mi sposo (1968) (Italy)
Un drôle de colonel (1968) .... Cutterfeet
... aka Strange Kind of Colonel, A (1968) (International: English title)
Fou du labo IV, Le (1967) .... Eugène Ballanchon
... aka Madman of Lab Four, The (1967)
Un idiot à Paris (1967) .... Goubi
... aka Idiot in Paris (1967) (International: English title)
Du mou dans la gâchette (1966) .... Léon Dubois
... aka Due killers in fuga (1966) (Italy)
Ladro della Gioconda, Il (1966)
... aka Mona Lisa Has Been Stolen, The (1966) (International: English title)
... aka On a volé la Joconde (1966) (France)
... aka Theft of the Mona Lisa, The (1966)
Solitaire passe à l'attaque, Le (1966)
... aka Solitario pasa al ataque, El (1966) (Spain)
Trois enfants dans le désordre (1966) .... Fernand
... aka Three Disordered Children (1966) (International: English title)
Ne nous fâchons pas (1966) .... Léonard Michalon
... aka Let's Not Get Angry (1966) (International: English title)
Angélique et le roy (1966) (uncredited)
... aka Angélique und der König (1966) (West Germany)
... aka Angelica alla corte del re (1966) (Italy)
... aka Angelique and the King (1966) (USA)
Dix-septième ciel, Le (1965) .... Le plongeur
... aka Seventeenth Heaven (1965) (UK)
Gendarme à New York, Le (1965) .... Maréchal des Logis Lucien Fougasse
... aka Gendarme in New York, The (1965) (International: English title)
... aka Tre gendarmi a New York (1965) (Italy)
Quand passent les faisans (1965) .... Arsène Baudu
... aka When the Peasants Pass (1965) (International: English title)
Bons vivants, Les (1965) .... Léonard Maburon (segment "Le Procès")
... aka High Lifers (1965) (International: English title)
... aka How to Keep the Red Lamp Burning (1965) (USA)
... aka Per favore chiudete le persiane (1965) (Italy)
... aka Un grand seigneur (1971) (France: new title)
Bonne occase, La (1965)
... aka Real Bargain, The (1965) (International: English title)
Copains, Les (1964) .... Le restaurateur/Waiter
... aka Buddies, The (1964) (International: English title: literal title)
Gendarme de St. Tropez, Le (1964) .... Marechal des Logis Lucien Fougasse
... aka Gendarme of St. Tropez, The (1964)
... aka Ragazza a Saint Tropez, Una (1964) (Italy)
Mort d'un tueur, La (1964)
... aka Concerto per un assassino (1964) (Italy)
... aka Death of a Killer (1964) (International: English title)
Gorilles, Les (1964) .... L'électro
... aka Gorillas, The (1964) (USA: literal English title)
Allez France! (1964) .... Le supporter saoul
... aka Counterfeit Constable, The (1966) (USA)
Monsieur (1964) .... Le detective privé
... aka Intrigo a Parigi (1964) (Italy)
Relaxe-toi chérie (1964) .... Blaise
... aka Ho una moglie pazza, pazza, pazza (1964) (Italy)
Une souris chez les hommes (1964) .... Le surveillant
... aka Mouse with the Men, A (1964) (International: English title)
... aka Un drôle de caïd (1964) (France)
Chair de poule (1963) .... Priest
... aka Highway Pick-Up (1963)
... aka Pelle d'oca (1963) (Italy)
Coup de bambou, Le (1963) .... L'auvergnat
Faites sauter la banque! (1963) .... Le contremaître/The overseer
... aka Rob the Bank (1963) (International: English title)
Bébert et l'omnibus (1963) .... Glandier
... aka Bebert and the Train (1963) (International: English title)
... aka Holy Terror, The (1963) (International: English title)
Tontons flingueurs, Les (1963) .... Paul Volfoni
... aka Crooks in Clover (1963) (UK)
... aka In famiglia si spara (1963) (Italy)
... aka Mein Onkel, der Gangster (1963) (West Germany)
... aka Monsieur Gangster (1963) (USA)
Gentleman d'Epsom, Le (1962) .... Charly
... aka Duke of the Derby (1962)
... aka Gentleman from Epsom, The (1962)
... aka Grands seigneurs: le gentleman d'Epsom, Les (1962)
... aka Re delle corse, Il (1962) (Italy)
Grands chemins, Les (1962) .... Card Player
... aka Of Flesh and Blood (1962) (UK) (USA)
... aka Baro, Il (1962) (Italy)
Roi des montagnes, Le (1962)
Un clair de lune à Maubeuge (1962) .... Un mineur
... aka Moonlight in Maubeuge (1962) (International: English title)
Veinards, Les (1962) .... Le marin (segment "Le Yacht")
... aka Lucky, The (1962) (International: English title)
... aka People in Luck (1962) (International: English title)
Gigot (1962) .... Gaston
Repos du guerrier, Le (1962) (uncredited)
... aka Love on a Pillow (1963) (USA)
... aka Riposo del guerriero, Il (1962) (Italy)
... aka Warrior's Rest (1962) (UK)
Ennemis, Les (1962) .... Le médecin
... aka Touch of Treason (1962) (International: English title)
... aka Touch of Treason, A (1962) (USA)
Vendetta, La (1961)
... aka Vendetta, The (1961) (International: English title)
Belle Américaine, La (1961) .... Chougnasse, le chef comptable
... aka American Beauty, The (1961)
... aka What a Chassis (1961)
Moutons de Panurge, Les (1960) (uncredited) .... Cameo appearance
... aka Panurge's Sheep (1960) (International: English title)


Houla-houla (1959) .... Le gendarme farfelu
Un drôle de dimanche (1958) .... L'huissier
... aka Sunday Encounter (1958) (USA: TV title)
Fille de Hambourg, La (1958) .... Georges
... aka Port of Desire (1958)
En légitime défense (1958) .... Georges
... aka Legitimate Defense, A (1958) (International: English title)
Tabarin (1958)
Bigorne, La (1958) (as Jean Lefèvre) .... Potirond
... aka La Bigorne, caporal de France (1958)
Dos au mur, Le (1958) .... Mauvin
... aka Back to the Wall (1959) (USA)
... aka Evidence in Concrete (1958) (UK)
Septième commandement, Le (1957) .... Edouard, le fils d'Amélie
... aka Seventh Commandment, The (1957) (International: English title)
Quand la femme s'en mêle (1957) .... Fred
... aka Godot (1957) (Italy)
... aka Killer lassen bitten, Die (1957) (West Germany)
... aka Sans attendre Godot (1957) (France: alternative title)
... aka Send a Woman When the Devil Fails (1957) (UK)
... aka When a Woman Meddles (1957) (USA: TV title)
... aka When the Woman Gets Confused (1957)
Polka des menottes, La (1957) .... L'inspecteur Martial
Nous autres à Champignol (1957) (uncredited) .... Un soldat romain/Un roi mérovingien/Henri III/Un mousquetaire/Le zouave du pont de l'Alma/Un homme en exode
Ami de la famille, L' (1957) .... Le Jardinier
... aka Friend of the Family, A (1957) (International: English title)
Que les hommes sont bêtes (1957) .... Francis
Et Dieu... créa la femme (1956) (as Jean Lefèvre) .... L'homme qui veut danser
... aka ...And God Created Woman (1957) (USA)
... aka And Woman... Was Created (1956) (UK)
... aka E Dio creò la donna (1956) (Italy)
... aka Piace a troppi (1956) (Italy)
Homme et l'enfant, L' (1956) .... Albert
... aka Creature del male (1956) (Italy)
... aka Man and Child (1956) (USA)
Aventura de Gil Blas, Una (1956)
... aka Adventures of Gil Blas, The (1956) (USA)
... aka Aventures de Gil Blas de Santillane, Les (1956) (France)
Cette sacrée gamine (1956) .... Jerome's pal
... aka Mam'zelle Pigalle (1958) (USA)
... aka Naughty Girl (1958) (USA)
... aka That Naughty Girl (1958) (USA)
Meilleure part, La (1956)
... aka Anni che non ritornano, Gli (1956) (Italy)
... aka Best Part, The (1956) (International: English title)
Une fille épatante (1955)
Gas-Oil (1955) (as Jean Lefèvre) .... Le chauffeur de car
... aka Gas-Oil (1955) (USA)
Cherchez la femme (1955)
Diaboliques, Les (1955) .... Drunk soldier
... aka Devils, The (1988) (USA: TV title)
... aka Diabolique (1955) (USA)
... aka Fiends, The (1955) (UK)
Amour toujours l'amour, L' (1952)
... aka Love Always Love (1952) (International: English title)
Une fille sur la route (1952)
Bouquet de joie (1952) .... Georges

Belle bio, Zord

RIP, Pitivier...

C'est pour cela qu'il y a tant de "Rue du maréchal Lefebvre" en France ? C'est en hommage à son père ! Chapeau bas, l'artiste !

Faut dire qu'il y a une quantité phénoménale de Lefebvre et Lefèvre dans le Nord...

si vous faites unr recherche sur wikipédia en tapant "femme a barbe"
dans les réponses figure Jean Lefebvre!!!!!

Tiens, je ne savais pas que c'était zord qui avait écrit ce poignant hommage. Mes compliments, avec du retard!