Vu chez Ghor, et ne me rappelant plus de la chronique, le choc fut rude. Quel patchwork de nawak ce film !! Beaucoup sont abordées dans l'oeuvre de Nikita, mais c'est surtout le sentiment de gratuité qui prévaut. On a l'impression que des restes de scénarios de nombreux métrages ont été agglomérés et passés au micro-onde, c'est assez dingue. Le best-of du ciné philippin.
Sinon, Robert Patrick s'en prend plein la gueule, c'est assez marrant ; j'ai adoré le moment où celui-ci tente de remonter la pente : allongé sur son lit en slibard, il est réveillé par quelqu'un qui frappe à sa porte d'hôtel. Il se lève alors d'un bond, arrache sa lampe de chevet, ouvre la porte et agresse le pauvre garçon d'étage avec. La Marine, ça te ruine un homme.
