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 Sujet du message: Guns - Andy Sidaris (1990)
MessagePublié: 06 Jan 2008 16:29 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Bon, voilà, ça c’est fait. Et je vous préviens, ça sera la seule.

Est-il encore besoin de présenter Andy Sidaris ? Cet homme qui a su comme personne oser la série B non pas couillue, mais bel et bien mamellaire ? Le mathématicien fou de l'équation ((action + Hawaii) X nichons) / (explosions + √gozos). Un maître dont les lecteurs de Nanarland ne peuvent qu'admirer une filmographie qui remplit de plus en plus ces reconnaissantes colonnes. Pour les incultes qui prennent le train en marche, je préfère vous orienter vers sa très instructive biographie qui vous permettra de mieux cerner le personnage.
Son amour du 200 % n’importe quoi a fait des premiers films de sa série Bullets, Bombs and Babes d'indiscutables chefs d'œuvre du nanar, aux mythiques et vénérés noms de "Malibu Express", "Piège Mortel à Hawaii" et "Picasso Trigger". Pourtant, une même recette employée indéfiniment peut finir par lasser même le plus accroc des fans, et force est d'avouer que certaines des dernières réalisations dun bonhomme manquent cruellement de cette indispensable grain de folie à même de transcender le matériel somme tout basique qu’il emploie à tour de bras.
Qu'on se rassure, Guns se situe heureusement à la charnière de ces deux périodes : si l'originalité n'est pas au rendez-vous, le plaisir ne se fait pas pour autant désirer.

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Pas là pour divertir.

On retrouve de nouveau le plus célèbre duo de Molokaï, Donna Hamilton (Dona Speir) et Nicole Justin (Roberta Vasquez), cette fois aux prises avec les agissements d'un trafiquant d'armes, Jack Degas (Erik Estrada). Ce sombre salaud tente en effet d'abattre la belle Nicole, ce qui n'a d'autre effet que de déclencher le courroux de l'Agence. Ses meilleurs éléments se réunissent donc et découvrent avec effarement que cette banale tentative de meurtre semble cacher une infâme manipulation.
Les connaisseurs sauront reconnaitre là un pitch bidon dont le seul intérêt est de pouvoir balancer avec allégresse les ingrédients Minute Sidaris, dont les fameux agents féminins à la pudeur légère et à l'attrait certain pour les décolletés vertigineux et les lance-roquettes destructeurs.

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Un breastorming au sommet.

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Roberta Vasquez, vague look-a-like de Rachida Dati.

Comme souvent, après une rapide exposition des lieux et des personnages, le métrage se lance réellement lors du staff es ténors de l'enquête hawaïenne, staff qui aboutira à un éparpillement de tout ce beau monde, afin d'aller fouiner au petit bonheur la chance à la recherche d’un indice. Une stratégie qui permet d’enchaîner plus facilement du n'importe quoi sans justification, comme cet agent magicien (!) qui va interroger deux mecs sans rapport apparent avec le reste de l'histoire pour finir par les abattre à bout portant au shotgun, en plein milieu du palais de justice, sous prétexte qu'ils auraient explosé à la roquette son petit gros de frangin dans "Picasso Trigger" (et hop je te refourgue un flash-back, bien marrant il est vrai). Il va sans dire qu’il n'en aura tiré aucune information utile.

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Plutôt que de planquer de la poudre dans les poches du prévenu, il préfère lui sortir un foulard d’une narine.

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Encore un truc de magicien : il planque discrètement une poche de sang sous la chemise du sa victime pour la faire exploser au pompeux.

Au rayon débilités, impossible de faire l'impasse sur les tueurs engagés par Jack Degas, dont la réputation ès explosifs miniaturisés ne semble plus à faire. Chouette vous dites-vous, ça va être l'occasion d'assister à un maelström de boules enflammées, plaisir coupable habituel de Andy. Et bien non, la prise à contre-pied est totale : les deux spécialistes vont se mettre sans raison au travestisme le plus grotesquement flagrant pour accomplir leurs basses œuvres, à l'aide de bêtes armes de poing. Dès le premier meurtre, on comprend que l'on a affaire à de vrais guignols qui, alors qu'ils avaient l'occasion d'abattre discrètement leur cible, se retrouvent à faire feu dans tous les sens dans un restaurant pour ensuite en repartir comme si de rien n’était.

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Version mâles décontractés.

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Version mégères fashion.

Et comme la robe et la perruque doivent leur plaire, ils garderont leur tenue pendant tout le film, même lorsqu'ils vont boire un coup dans un bar ! Ce qui donne alors lieu à un grand moment de craquage complet quand les fédéraux de l'Agence tentent de les arrêter, eux-même déguisés en prostituées. La stratégie a de quoi laisser perplexe, surtout qu'elle échoue lamentablement dans une empoignade des plus confuses, digne d’un mauvais opus de Police Academy.

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Que dire de plus ?

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Une méduse mauve sur la tête et un sac en plastique au bras, la classe hawaïenne.

Le gros de la troupe des acteurs est composé des acteurs fétiches de Sidaris, dont les performances ne dénotent pas particulièrement de d'habitude. Difficile de qualifier leur jeu ; disons qu'ils sont totalement dans le ton de cet univers particulier, incarnant sans retenue agents débiles à la juridiction floue et méchants trafiquants homicides.

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Donna Speir, Miss Playmate Mars 1984, est bien rodée dans son rôle de Donna Hamilton, le personnage qui aura eu la plus longue durée de vie de la série. Seul changement involontaire, son doublage, qui est ici une petite voix fluette peu raccord avec son comportement rentre-dedans castratrice. Son background se développe, révélant aux geeks que nous sommes l'existence d'une mère procureur, au déshabillé aussi nonchalant que sa progéniture, et celle d'un père décédé lors d'une opération-commando anti-drogue. C'a chauffé dur lors de l'élaboration du scénario.

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Donna est bien encadrée.

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La Loi en sous-vêtement, c’est moi.

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La mère Hamilton, à peine plus vieille que la fille.

En face, Erik Estrada, popularisé sous le nom exotique et bitumier de Ponch et dont c’est là la première participation à la Hawaii Connection, incarne le perfidement bronzé Jack Degas (Jack of Diamonds en VO, mystère de la traduction qui n’aura pas osé nous sortir un Jacques des Diamants). Tantôt gentil (Do or Die), tantôt bad guy, Erik est un véritable argument vente à afficher en gros dans le générique. Le sourire charmeur se veut donc ici machiavélique, et c'est un des rares ennemis de l'Agence à réellement réussir à faire tourner en bourrique nos héros. Il est tellement ignoble qu'il viole peut-être la maman Hamilton, une première dans l'œuvre de Sidaris (je dis peut-être car l'exaction est rapidement coupée, et personne ne l'évoque par la suite).

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Vegas Style pour Degas.

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Jetez-lui une rose en bas d’une falaise et il plonge.

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Le secret de sa peau ferme : 15 minutes de gym facial par jour.

Guns est aussi l'occasion de découvrir un nouveau membre de la vaste famille Abilène, prénommé Shane, à l'incompétence crasse en matière de maniement de son Python Magnum (une tare génétique héréditaire) et dont la molle présence a bien du mal à faire oublier Cody et Travis. Relégué au second plan, il se fait voler la vedette par les autres mâles bronzés de l'équipe.
En plus des classiques playmates et autres misters pectoraux, Guns recèle la présence de sympathiques tronches, telles que Danny Trejo et John « Mister Olympia » Brown.

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Depuis Malibu Express, j’adore ce mec.

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Dany Trejo, au jeune minois pas encore crevassé, incarne un porte-flingue nommé Tong (!).

Guns est plus soft que ses congénères en matière de poitrines déballées et de scènes érotico-sexe. Ce n'est pas pour autant que le film manque les occasions de tomber dans le mauvais goût le plus débile, que ce soit lors d'un combat de femmes dans de l'huile ou lors d'une scène de pelotage sur une moto, rapidement destinée à devenir mythique. Les allergiques à la nichonploitation (y'en a vraiment ?) seront heureux d'apprendre que Guns évite les excès qu'on retrouvera plus fréquemment dans la suite de la carrière de Sidaris.
Par contre, un point plus sombre est l'arrivée dans le casting d'actrices aux seins siliconés dont le charme artificiel ne pourra jamais faire oublier le réjouissant naturel des playmates des premiers opus.

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Il n'est pas précisé pas si l'huile est hydrogénée.

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Soleil couchant apparaissant dans l'intimité de ces deux corps langoureux.

Avec un titre comme Guns, on aurait pu s'attendre à un défilé de gadgets technologiques improbables. Si ce n'est pas pas particulièrement le cas, le quota d'armes à feu reste d'un niveau tout à fait acceptable. Le fusil-mitrailleur lance-roquettes chinois fait toujours son effet, surtout quand il affronte un lance-fusées à 4 canons qu'on croirait acheter au magasin de jouet du coin.

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Les lecteurs observateurs remarqueront un câble noir à travers les flammes, support de feu l'hélicoptère miniature.

En création originale, on retiendra la bière-grenade sur petit hors-bord miniaturisé, ainsi que l'appareil-photo standard caché en plein milieu d'un bouquet de fleurs (il faut être aveugle pour ne pas le voir, ce qui doit être le cas de Jack Degas qui se retrouve pourtant à 30 cm de l'objet).
Et comme tout bon nanar se doit de contenir des Ninjas, Guns en propose un couple, destiné à se faire briser par les musculeux de service dans une séquence à mourir de rire, qui rappelle bien qu'en tout Sidaris, il y a toujours du bon.

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Un appareil-photo est caché sur cette caps : sauras-tu le retrouver ?

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Les Ninjas, une forme d’inéluctabilité du nanar.

Efficace et généreuse, la réalisation est comme souvent une réussite technique agréable. Un peu de tourisme avec les sempiternelles ballades en avion dans les îles ainsi qu’une visite du Pont de Londres qui permet une diatribe enflammée sur la nécessité du travail collectif au sein d'un groupe. Malgré une sortie en 1990, la film conserve une patine 80's, dont un des signes pathognomoniques est le thème musical au titre du film, avec trois chansons interprétées par une des actrices de l'Agence, s'il vous plait.
Toutefois, le ridicule n’est pas totalement évité grâce à une volonté d’en mettre un peu trop plein la vue lors par exemple d’une classique scène de tir où la bad pouf défouraille sur une agent se reflétant dans de multiples miroirs, son identité s’éparpillant entre toutes ces images factices qu’on brise bien inutilement vu que la cible est juste en face d’elle.

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Cynthia Brimhall. Et elle chante en plus ! Elle enchaînera même sur le score de 4 autres Sidaris.

Moins délirants que ne peuvent l'être ceux de "Piège Mortel à Hawaii" ou "Malibu Express", les dialogues arrivent toujours à faire sourire par leur débilité assumée. Rien à redire par contre sur les doublages.
Quelques morceaux choisis :

Jack of Diamonds à ses folles de tueurs :
- C'est une approche cérébrale que je veux.
- C'est-à-dire ?
- Une balle dans la tête.


Madame Hamilton à Shane Abilène :
-Si vous désobéissez, je vous les coupe et j'en fais de la chair à saucisses, c'est compris Cowboy ?
- Oui madame.


La pétasse de Of Diamonds en plein trip :
- Je veux être grisée par le pouvoir de contrôler la vie... et aussi la mort.

A propos de Jack Degas :
- Ce valet de carreau, c'est vraiment un enfoiré de première.


Vous aurez ainsi compris que Guns est le gentil nanar à se réserver pour les petits en-cas, ces moment où on a envie de passer un bon moment devant son poste sans pour autant avoir la force de s'enquiller une dégénérescence filmique pakistanaise à la "Haseena Atom Bomb" ou une prise de tête art et décès neuronal à la "Telephone killer". Le label Sidaris, y'a que ça de vrai.



Note : 2.25/5





Images bonus

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La mulette surprise du film.

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Un tir digne d’une production Jeff Leroy.

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Je rêve d’aller au boulot avec splendide tenue qui prône la vie.

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Un peu de pub pour les amis : John Brown.





Titre : Guns
Réalisateur : Andy Sidaris
Année : 1990
Pays : USA
Genre : GunsNn'Roberts / Guns'N'Sidaris / Top(less) Gun
Catégorie : Pur et Dur
Acteurs : Erik Estrada, Dona Speir, Roberta Vasquez, Cynthia Brimhall, Michael J. Shane, Danny Trejo...




Côte de Rareté : 2 - Trouvable

Le film existe bel et bien en DVD Z2 chez Malibu Bay Films, mis comme toute cette collection, reste difficilement accessible (c'est bien simple, moi-même je les cherche en vain). Il reste donc la VHS de chez Gaumont, et pour les anglophones, le DVD Z1 disponible en boitier simple ou coffret.

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Les deux coffrets DVD Z1.

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Le DVD Z1 à l'unité.

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Le DVD Z2 français.

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La VHS américaine.

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La VHS française.

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MessagePublié: 06 Jan 2008 17:31 
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Schtroumpf Grognon
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Localisation: En train d'expérimenter la disco tamoule
Vous connaissez la différence entre un magicien et un terroriste? On ne négocie pas avec le magicien! BLAM!


Cette replique m'avait marqué. :-D
Je me souviens aussi d'Erik Estrada sur la jaquette qui avait bien vingt ans de moins que dans le film.

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La femme est l'avenir de l'homme
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(le Professeur Choron)


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MessagePublié: 06 Jan 2008 18:51 
merci pour le tuyau , je suis deja fan !!


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MessagePublié: 06 Jan 2008 23:34 
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Nanardeur fou ?
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Localisation: Perdu dans les beaux yeux de Phoebe Dollar
Yeah, encore un Sidaris. Très bonne chronique en plus, chapeau. Cela commence à devenir complexe de se renouveler, tu t'en es bien tiré.:D

Citer:
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Sans doute les comiques de service les plus insupportables de la création. Dans "Fit To Kill" ils étaient franchement pénibles et dans "Day of the Warrior" ça avait pas l'air de s'arranger.

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MessagePublié: 07 Jan 2008 8:06 
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Nanarland lui doit beaucoup
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Très bonne chronique, je trouve le texte juste et très bien rédigé :!: (bravo !). Autrefois pionnière en la matière, la team grenobloise a pris quelque retard en matière de productions Sidaris, va falloir y remédier... :)

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MessagePublié: 07 Jan 2008 10:51 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Merci pour les compliments sur le texte ; j'avoue avoir trainé à publier ma chronique car je n'étais pas satisfait du rendu, m'embourbant dans un manque de fluidité. Mais si vous dites que c'est lisible, alors ça me va. :wink:

Les caps sont pas trop sombres ? Je me demande si mon écran commence pas à merder, car ça m'a déjà fait ça avec ta chro de Talons of the Eagle, John.

Sinon, le concept d'agent magicien est vraiment débile, survenant de nulle part pour n'aboutir à pas grand chose.

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 Sujet du message: Re: Guns - Andy Sidaris (1990)
MessagePublié: 07 Jan 2008 13:05 
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Nanardeur fou ?
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Inscrit le: 08 Mars 2006 20:29
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Kobal a écrit:
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Cynthia Brimhall. Et elle chante en plus ! Elle enchaînera même sur le score de 4 autres Sidaris.


On la voit aussi dans un épisode d'"Enquêtes A Palm Springs" dans lequel elle joue une chanteuse participant au tournage d'un nanar que n'aurait pas renié Sidaris. Ca ne m'étonnerai pas, d'ailleurs, que ce soit justement une parodie volontaire, puisque l'épisode s'ouvre sur un concert du personnage qui est en fait... un stock shot d'un film de Sidaris!

Kobal a écrit:
A propos de Jack Degas :
- Ce valet de carreau, c'est vraiment un enfoiré de première.

"Valet de Carreau" étant la traduction de son nom VO "Jack Of Diamonds", ceux qui n'ont vu le film qu'en VF ont du pas mal se gratter la tête.

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Pile, je te tue. Face, je ne te tue pas. FACE ! Je ne te tuerai donc pas avant de t'enterrer.


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 Sujet du message: Re: Guns - Andy Sidaris (1990)
MessagePublié: 07 Jan 2008 13:12 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Inscrit le: 11 Oct 2003 15:07
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Localisation: Dans une bulle de confinement psychédélique
slater74 a écrit:
Kobal a écrit:
A propos de Jack Degas :
- Ce valet de carreau, c'est vraiment un enfoiré de première.

"Valet de Carreau" étant la traduction de son nom VO "Jack Of Diamonds", ceux qui n'ont vu le film qu'en VF ont du pas mal se gratter la tête.

Oué, là, j'avoue que ça m'était passé au dessus de la tête. Merci Slater pour cette précision que je vais faire figurer quelque part dans ma chro. :wink:
Il est vrai que Jack signe ses méfaits par une carte Valet de Carreau ; je pensais à une excentricité de sa part, sans plus.

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MessagePublié: 07 Jan 2008 13:48 
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Agrégé en nanarologie
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Inscrit le: 13 Déc 2004 18:28
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Sympa ta chro mais ça manque de nichons :P


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MessagePublié: 07 Jan 2008 23:00 
vous savez si les films de sidaris sont touvable en dvd ?


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MessagePublié: 07 Jan 2008 23:08 
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LE PATRON
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c'est ecrit dans la cote de rareté

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 Sujet du message: Re: Guns - Andy Sidaris (1990)
MessagePublié: 10 Jan 2008 8:52 
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Nanardeur + que respectable
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Kobal a écrit:
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Bon, voilà, ça c’est fait. Et je vous préviens, ça sera la seule.


Dis-donc, c'est pas toi qui m'avait soutenu que chez Sidaris, au moins, les femmes avaient leurs vrais seine d'origine ?
Objection, votre Honneur, cet homme ment !! :-D :-D

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"Le soleil se lève,
et puis il se couche,
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Et moi c'est pareil,
Donne-moi tes lèvres,
donne-moi ta bouche,
La nuit et le jour,
C'est ça l'amour."
Le Graphique de Boscop


ANDOUILLE DE FLANDERS !!


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MessagePublié: 10 Jan 2008 10:31 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Localisation: Dans une bulle de confinement psychédélique
Je le précise bien, ce sont dans les premiers Sidaris que le naturel régnait en maître. Malheureusement, avec le temps, la foire aux horreurs a remporté la lutte (et encore, dans Guns, ça va encore... Va faire un tour dans la chro de Wolfwood de Savage Beach).

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MessagePublié: 11 Jan 2008 8:03 
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Nanardeur + que respectable
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Messages: 564
Localisation: Dans ton squeele (au fond, à gauche)
Kobal a écrit:
Je le précise bien, ce sont dans les premiers Sidaris que le naturel régnait en maître. Malheureusement, avec le temps, la foire aux horreurs a remporté la lutte (et encore, dans Guns, ça va encore... Va faire un tour dans la chro de Wolfwood de Savage Beach).


Ah, les ravages du temps et sa modernité en plastique qui tue... :x

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MessagePublié: 15 Jan 2008 15:27 
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Docteur es nanarologie

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Localisation: Lutetia XVII ou Brigantia
Kobal a écrit:
Je le précise bien, ce sont dans les premiers Sidaris que le naturel régnait en maître. Malheureusement, avec le temps, la foire aux horreurs a remporté la lutte (et encore, dans Guns, ça va encore... Va faire un tour dans la chro de Wolfwood de Savage Beach).


Le pire, ce doit être Day of the Warrior...


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MessagePublié: 06 Mars 2008 17:54 
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Nanarland lui doit beaucoup
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Localisation: Grenobyl
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Excellente chronique Kobal ! :P

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MessagePublié: 06 Mars 2008 18:05 
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Détecteur de plans nichons
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Localisation: A bord d'un Messerschmitt en flammes
Il faut que je me décide à faire "Day of the warrior", ça fait trop longtemps que je traîne.

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MessagePublié: 30 Mai 2008 1:39 
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Nanardeur en progrès
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Inscrit le: 07 Mars 2007 12:43
Messages: 253
Localisation: Nilbog, en train de faire du pop-corn dans une caravane
Eh ben voilà, je ramène encore ma fraise avec mes intros douteuses de Sidaris :

http://grimprods.free.fr/IntroG.avi

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 Sujet du message: Re: Guns - Andy Sidaris (1990)
MessagePublié: 03 Sep 2024 16:20 
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Nanardeur fou ?
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Inscrit le: 08 Mars 2006 20:29
Messages: 2209
Ma chronique vidéo sur le film : https://www.youtube.com/watch?v=oFZnCXkHJXc

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Pile, je te tue. Face, je ne te tue pas. FACE ! Je ne te tuerai donc pas avant de t'enterrer.


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