Superflo a écrit:
Pour mettre les choses au clair (n'est-ce pas Philiiiiiiiiiipe) : à mon sens, revoir
Arrête de ramer est mille fois moins dur que de le voir une première fois. Autant la première fois, il y a l'effet de surprise, autant après, on est prévenu (décidemment, l'aspect criminel...).
En fait, j'ai même trouvé un certain plaisir à voir cette crise de delirium une deuxième et une troisième fois, tant le lâchage global fait plaisir à voir ; c'en serait presque cathartique, de voir une telle régression. Un peu comme le
Führer en folie, dont je me rematais les scènes d'Henri Tisot assez régulièrement, en somme. Du coup, maintenant, je me remate régulièrement les scènes du duel de tank ("t'en veux du 90 dans tes boudins ?" "alors, ça vient ?") et de la représentation de la bataille (festival Galabru "Je suis ton pèèèèèèère")
Allons, soyons sans chichis, on s'est tous réécouté pas mal de séquences des "Ils l'ont dit" plusieurs fois. Eh bien, là, c'est pareil, sauf qu'en lieu et place de séquences nanardes, on a du nanar de haut vol pendant 1h15 (sur ce point, je pense que le fameux "taux de nanardise haut et constant" qui qualifie
White Fire dans la chro de
Turkish Star Wars s'applique sans problème à
Arrête de ramer). Le principe est bien identifié : à chaque fois, le plaisir de retrouver une telle perle est plus intense.
En revanche, on peut pas dire que les autres films non pornos que j'ai vus de l'ami Michel Caputo atteignent le niveau d'
Arrête de ramer...
L'Exécutrice est un de ces innombrables polars français barbants des années 80, tandis que
Les planqués du régiment tire à peine deux trois éclats de rire (involontaires)... Dommage, j'attendais plus d'un tel... génie!!![/i]