Excellente bio très détaillée par Master Rico. Il en fallait de la hargne pour pouvoir tourner des films de nénettes en nuisette et ainsi remplir des années à l'avance la grille de programmation de Cine FX !
Quelques fautes signalées ou répétitions (à virer après correction) :
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un projet foireux que plus personne ne veux assumer.
Ne veut.
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Une filiation qui baignera toujours sa production personnelle. Peut-être même un peu trop aux dires de ses détracteurs, qui lui reprocheront toujours la lenteur éthérée de ses films personnels.
Répétition de personnel. Il y en d'ailleurs pas mal d'autres qui constellent le texte.
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Rollin tourne une histoire de vampire très cheap, où il peut mettre à la fois ses obsessions fantastiques, son travail expérimental et une bonne louche d’érotisme à la mode du temps. [...] Les comédiens sont amateurs, le budget crie misère mais qu’importe tout cela est dans l’esprit libertaire du temps. Hélas, entre-temps,
Je chipote, mais ça fait plusieurs temps à la suite.
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Il tente bien de mêler dans fantasme porno et épouvante, mais n’a pas le succès escompté et revient vite à des productions plus classiques.
Fantasme, c'est un film ? Il manque les guillemets. Sinon, je ne comprends pas bien la phrase.
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Il a été abandonné par un Jesus Franco excédé par la pingrerie du producteur alors que celui-ci est sur le point d’offrir au monde le plus grand film de mort vivants du monde
Répétition de monde.
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C’est ainsi qu’on le retrouve à faire le zouave sur les microproductions de Norbert Moutier l’un des plus érudits fanéditeurs français qui fut l’un des premier à consacrer des articles puis des numéros entiers de sa revue « Monsterbis » à Rollin.
Une ch'tite virgule après Moutier.
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omme Jean-Pierre Putters le fondateur de Mad Movies,
Idem après Putters.
