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Les Conquérants du Cosmos - Lai and co
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Auteur:  Kobal [ 14 Jan 2009 15:25 ]
Sujet du message:  Les Conquérants du Cosmos - Lai and co

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C'est avec une certaine émotion que j'aborde la chronique de ce qui semble être le dernier dessin animé distribué par IFD recensé en France. Oh, bien sûr, la consultation du site de cette boite d'ardents défenseurs de leur propriété intellectuelle (si, si, c'est écrit dessus) laisse entendre que le rêve est encore de mise, avec des titres aussi envoûtant que "Princess Lolo", "The Magic Pouch" ou "Marco et Miky".
Mais il faudra quoi qu'il en soit faire son deuil de nos doubleurs chéris dont on savoure depuis des années et à longueurs de métrages crapoteux le travail désabusé, mais légendaire.

C'est donc avec un plaisir empreint d'une douce tristesse que j'ai regardé ces "Conquérants du Cosmos", car je savais qu'après cela, rien ne serait plus jamais vraiment pareil. Une sorte de dernier feu de camp en colonie de vacances, ultime communion des liens de camaraderie avant la rupture, les retrouvailles avec le quotidien grisâtre. Mais ne nous laissons pas envahir par la nostalgie avant même que le film n'ait commencé ; au contraire, que cette grande aventure se termine dans un barouf digne des heures passées à rire ensemble.

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Bonjour, nous sommes des méchants intersidéraux. Vous nous avez sûrement déjà vu dans des œuvres comme "Le Crépuscule de la Liberté" ou "Space Thunder Kids"...

Quoi donc de nouveau au scénario ? Je vous rassure : rien du tout !
Oska, une jeune femme originaire de la planète Orion, envoie un message télépathique à trois jeunes héros endormis. Son monde vient d'être détruit par le misérablissime Kaneba, et la Terre est la prochaine sur la liste de cette entreprise de démolition intergalactique. Pour éviter cette infamie, Oska décide d'envoyer Robot King défendre la Terre.

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Un trio de héros composé d'un jeune homme, d'une jeune femme, et d'un gamin. Le cahier des charges est rempli.

En tout cas, au réveil de Kenny, Jane et Ben, tout est déjà prêt : Robot King vient d'atterrir dans le jardin... ou dans une base souterraine hypertechnologique, ce n'est pas clair (faut dire aussi, qu'est-ce qui ressemble le plus à l'un que l'autre ?), le trio gagnant peut désormais se transformer en justiciers costumés, et y'a même un docteur Hui livré en prime pour coordonner tout ça. Kaneba n'a plus qu'à bien se tenir s'il ne veut pas qu'on lui tatoue "Don't mess with Earth" sur son gros cul rouge clignotant !

Mais drame ! Le vil gluant bénéficie d'un bras droit traitre à l'humanité nommé Dorado, qui fait du chantage au conseil scientifique internationale. Si Robot King ne leur est pas livré sous peu, ce grand barbu croisé Schtroumpf et Irlandais se verra dans l'obligation d'utiliser ses inventions destructrices pour anéantir sa planète d'origine. Hélas, faute d'un Khrhouchtchev et de sa godasse coordinatrice, le conseil stagne dans le marasme de l'inaction, et préfère se reposer entièrement sur l'équipe du Dr Hui.

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El Dorado, aussi humain que je suis Vénusien.

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Kaneba, caché derrière une vitre de son vaisseau psychédélico-galactique.

Heureusement, Robot King est loin d'être le dernier des caves, et il n'a pas oublié de touiller à l'examen écrit du meilleur ersatz de Goldorak. Il est aussi aidé par ses adversaires qui ont eux aussi tricher à l'examen équivalent chez les méchants, et qui donc envoient leurs Golgoths par grappe de un à la fois. Et enfin, la Terre pourra peut-être compter sur les différends internes à l'équipe Kaneba.

Que de suspens, mes aïeux. Et quelle mise en scène. Dès les premiers instants de cet animé, les raccords foireux bouchonnent pour apparaitre à l'écran, les perspectives défient toute concurrence, le recyclage tourne à plein régime. Bref, chez Lai, on ne connait pas la crise.
D'un autre côté, on est tellement habitué à y bosser avec des bouts de celluloïds et un animateur homme-tronc qu'on peut faire face à n'importe quoi, il sera toujours difficile de tomber plus bas. Je ne sais pas si c'est le fait d'avoir terminé le cycle des DA IFD par ce film, mais j'y ai particulièrement ressenti une intense impression de fin de course. La corde du genre semble avoir été tellement tirée qu'il n'en reste quasiment plus rien, effilochée jusqu'à pouvoir passer dans le chas d'une aiguille. "Les Conquérants du Cosmos" est un canevas rapiécé, avec une telle réutilisation en boucle du même matériel que le métrage semble s'affaisser sur lui-même dans une sorte d'auto-cannibalisme. Rien ne se perd, tout se transforme... en la même chose !

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Ce monstre est tout autant capable de marcher dans un couloir que de se promener entre des gratte-ciels.

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Autre capacité spéciale : il possède des dents du bonheur d'ajustement variable.

"Les Conquérants du Cosmos" repousse ainsi les limites du clonage à des fins d'auto-greffe : clonage de plans, voire de séquence entières, qui ressurgissent en tout point du dessin animé, clonage de personnages sur un même plan (en fait, la décomposition du mouvement d'un seul personnage est censé en représenter plusieurs, un concept dont beaucoup ne se sont toujours pas remis), clonage d'un même bruitage de missile omni-utilisé, clonage des arrières-plans lors des traveling avec des pointes de faux-raccords à raison de 1.5 par seconde... On peut palper là une misère vidéo comme rarement, même parmi les productions habituelles de Joseph Lai, qui plus que jamais apparaissent comme un incroyable aboutissement de la logique commerciale dans le domaine artistique.

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Pour financer la recherche sur les cellules souches, envoyez vos dons à Joseph Lai, IFD, Hong-Kong.

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Et comme de bien entendu, les designs des divers protagonistes ne sont pas tombés du ciel. Si je n'ai toujours pas trouvé où a pu être piqué Robot King (son rétro-punch, par contre, pas besoin de chercher bien loin), Kaneba ressemble à s'y méprendre à un Lou BMX 11 baveux (X-Or) tandis que Dorado gesticule dans son poste de pilotage comme un véritable Grand Strataguerre.
D'ailleurs, difficile de ne pas s'extasier lors des apparitions de Robot King. De couleur variable, passant du bleu au noir SM luisant (son soutien-gorge à pointes oriente le jugement), coiffé d'une banane-rasoir rotative (elle reste toujours de profil, quelque que soit l'angle du plan), il conserve en permanence un regard d'un vide intersidéral, l'air impavide de celui qui a bien compris dans quelle production bas de gamme il se trouvait. Son maquillage lui donne même parfois l'allure d'un clown triste.

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King Robot et sa banane rotative. Concernant ses origines, il a un petit côté Gigantor.

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Enfin vu comme ça, on dirait plutôt Queen Robot.

Mais la pauvreté de "Cosmos Conqueror" ne l'empêche pas de proposer des grands moments de n'importe quoi hilarants. Comment d'ailleurs pourrait-on réagir autrement que par le rire devant la réaction de nos défenseurs terriens lors d'une attaque de souris robots : il leur suffit en effet de produire des chats robots équipés d'un monocle et capables d'engloutir en masse ces rongeurs bioniques tout en en déféquant les restes simultanément !! On n'a jamais vraiment vécu tant qu'on n'a pas vu cela.

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Mais qui a bien pu concevoir un tel truc ?

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L'arme de dératisation massive en action. Ça peut même tailler les têtes d'ennemis en pointe.

Je passe sur les incohérences massives qu'on aurait pu penser impossibles à placer dans un scénario aussi simple (je ne veux pas spoiler, mais le personnage de Wella offre un twist incompatible avec toutes les grands écoles de pensée humaine) et sur les techniques martiales fondatrices (le dandinant nunchaku volant), pour enfin me jeter avec euphorie dans une humble tentative de description du doublage. Aaah, c'est comme retrouver ses bonnes vieilles charentaises, usées et miteuses, mais tellement confortables. Et sans vouloir être méchants envers ces artisans du nanars, ces adjectifs pantouflards sont tout autant valables pour le résultat de leur travail.
Déjà, je ne sais pas si cela peut-être attribué à la copie dont je dispose, mais le doublage est des plus caverneux, et semble avoir été fait dans une cave (la musique et le bruitage ne sont pas affectés par ce phénomène) ; ce qui me conforte dans ma théorie de la traite des artistes-doubleurs, enchainés et brutalisés dans des sous-sols humides par des producteurs tyranniques. A l'image du métrage, on les sent vraiment en bout de course, achevés par des heures de dialogues non-sensiques, au mieux ayant probablement éprouvé l'illumination quant à la vacuité de ce monde. Dès lors, pourquoi se bercer d'illusions lorsqu'il s'agit de doubler un rire, autant répéter platement une série de "haha" vidé de tout affect.

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Le Capitaine Ko en pleine démonstration de GRS.

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Ce Robot King est bourré de ressources !

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Dorado, bourré (on peut apercevoir sa bouteille), se lamente piteusement de ses échecs.

L'autre théorie quant au pourquoi de ce comment demeure toutefois celle du j'menfoutisme malicieux, ce qui expliquerait la présence de pécheurs marseillais au sein du métrage, l'existence d'une ville nommée Scherzopolis (je vous laisse deviner l'éditeur vidéo du film), ou bien encore la grande variabilité du nom du robot Kalero, alternant au gré des moments entre Kadero, Kamaro, Kamero, Kadaro, Kadero ou Kalaro. Quant à la synchronisation, c'est une notion clairement dépassée pour notre équipe d'avant-garde, qui n'hésite pas à faire parler pendant plusieurs secondes des personnages mutiques ou à mimer un crash du mixage audio/vidéo.
Quelque soit la vérité tapie derrière ces bas-fonds de l'animation, je voulais profiter de cette chronique pour affirmer une nouvelle fois mon soutien empathique à ces vétérans et à leurs traumatismes, qui j'espère, ne les font plus souffrir actuellement. On vous aime les gars !

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Non, ceci n'est pas un chanteur de rap.

Au final, si "Les Conquérants du Cosmos" n'est pas le plus pétaradant des dessins-animés de J.L., il possède tout de même un style bien à lui de misère sublimée par une indécrottable volonté de faire comme si de rien n'était, qui fait aisément pardonner son caractère légèrement répétitif. Et comme tout le monde est au rendez-vous de la fabrique à nanar, il serait bien dommage de bouder notre plaisir devant ce dernier fleuron de la technologie IFD. Ce n'est qu'un au revoir, mes frères...

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Allez, c'est fête, on a passé Robot King au polish...

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...et on fait péter des bombes atomiques à la rose.


Merci à Gorgo.




Titre VF : Les Conquérants du Cosmos
Titre VO : The Cosmos Conqueror
Réalisateur : Johnny T. Howard (mouhahaha !)
Producteur : Joseph Lai & Betty Chan
Année : 1981 ?
Pays : HK / Corée
Durée : 1H04
Genre : Chant du cygne / Les cons quérulents du cosmos / L'attaque des clones /
Catégorie : Enfants
Acteurs : Notre dream team de doubleurs



Cote de rareté - 6/Introuvable

"Les Conquérants du Cosmos" est sorti en France au format VHs chez l'éditeur Scherzo. Pour l'étranger, il existe peut-être un DVD russe, mais rien n'est moins sûr.

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La VHS française.

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L'affiche IFD.

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L'affiche coréenne de ce qui semble être l'oeuvre originale, bien que certains personnages ici présentés n'apparaissent pas dans "Les Conquérants du Cosmos".




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En plus, ils ont toujours la même répartition dans ce genre de vaisseau.

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Le Dr Hui et ses lunettes inutiles.

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Un canon catholique ?

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Un sbire méchant récurrent qui fait office de bouffon grimaçant.

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Un chien qui tient beaucoup du loup.

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Une souris robot.

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Ce genre de personnage est souvent intrigant dans les DA IFD, car malgré son apparence enfantine, il se comporte comme un adulte.

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Encore un personnage probablement piqué quelque part, tout ça pour le faire apparaitre quelques secondes.

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On sent que Star Wars est passé par là.

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Dorado encourage ses troupes de Golgoth.

Auteur:  ROTOR [ 14 Jan 2009 17:11 ]
Sujet du message: 

Bravo, excellent boulot, comme d'hab' ! :applause:

La chronique donne envie de découvrir cette chose.
par contre tu as oublié la note


Citer:
ce qui me conforte dans ma théorie de la traite des artistes-doubleurs, enchainés et brutalisés dans des sous-sols humides par des producteurs tyranniques

ce seraient plutôt des ditributeurs ou des éditeurs tyranniques. Le producteur lui, une fois le film vendu, il n'en a surement plus rien à battre de ce qu'ils vont faire de son produit.

Auteur:  Bud Spencer [ 14 Jan 2009 17:52 ]
Sujet du message:  Re: Les Conquérants du Cosmos - Lai and co

Kobal a écrit:

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Non, ceci n'est pas un chanteur de rap.


On dirait la pochette d'Angel of Retribution de Judas Priest. :-D

Auteur:  La créature du lac gris [ 14 Jan 2009 18:42 ]
Sujet du message: 

C'est triste de se dire qu'il y ait de grandes chances que l'on ait épuisé la firme IFD. Quoi qu'il en soit, comme d'hab, la chro est bien écrite, met bien l'accent où ça fait mal (j'avoue que le coup des chats robots m'a renversé). Du bon boulot quoi :-D

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Auteur:  nanar-addict [ 14 Jan 2009 20:58 ]
Sujet du message: 

Excellente chro kobal vraiment agréable, drôle et bien ficelée. Robot king est magnifique, quant au chat il me laisse sans voix.

Auteur:  gatman [ 14 Jan 2009 22:10 ]
Sujet du message: 

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Joseph Lai est un dieu : il conjugue le clonage au mouvement perpétuel

il est le maitre du temps et de l'espace...gloire lui soit rendue (pour la dernière fois ?)


purée, c'est totalement hypnotisant ce gif... :icon_lovely:

Auteur:  wallflowers [ 14 Jan 2009 22:19 ]
Sujet du message: 

bien vu pour la chro Kobal !! :wink:

Auteur:  La Broche [ 14 Jan 2009 22:21 ]
Sujet du message: 

OH MY GOD !!!!

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Excellente chronique by the way. Mais... PUTAIN QUOI !

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Auteur:  nanja monja [ 14 Jan 2009 22:44 ]
Sujet du message: 

il fallait oser, le robot-chat à digestion instantanée :-D

Auteur:  yopoil [ 14 Jan 2009 23:11 ]
Sujet du message: 

Ça a l'air énorme!! :shock:

Ils ont même réussi à caser un homme-fion! :?
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Auteur:  Spoon [ 14 Jan 2009 23:18 ]
Sujet du message: 

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Le choc des civilisations selon Lai? :-D

Bravo Kobal!

Auteur:  gregoire01 [ 15 Jan 2009 9:17 ]
Sujet du message: 

La Broche a écrit:
OH MY GOD !!!!

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Excellente chronique by the way. Mais... PUTAIN QUOI !

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c'est ce que je me disais aussi.


:shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock:

Auteur:  Kobal [ 15 Jan 2009 21:00 ]
Sujet du message: 

Merci les gens, ça fait plaisir. :P

Pour la note, suite à une longue discussion avec un pote, je lui accorde 3/5. Objectivement, il mériterait un peu moins, mais bon, on s'est bien amusé quand même, et il a son style à lui qui mérite du respect. :D

Auteur:  nanar-addict [ 03 Mars 2009 21:24 ]
Sujet du message: 

Très sympa ce DA, jamais chiant, le doublage est bien pourri comme il faut et le robot chat est à l'hauteur de nos attentes.

Un extrait mais pas du chat :

http://www.dailymotion.com/user/nanar-j ... shortfilms

Auteur:  Siry [ 04 Mars 2009 11:48 ]
Sujet du message: 

merci de l'extrait

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merci du gif, meme en cas de panique, ils sont classés par couleur.

Auteur:  ptibogvader [ 04 Mars 2009 17:40 ]
Sujet du message: 

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et en se concentrant assez fort on peut même les voir courir à reculons :lol:

Auteur:  Kobal [ 04 Mars 2009 20:56 ]
Sujet du message: 

ptibogvader a écrit:
et en se concentrant assez fort on peut même les voir courir à reculons :lol:

Sans produit psycho-actif associé ? Parce que là, j'y arrive pas. :D

Dans l'extrait vidéo de nanar-addict, on trouve le plus beau haha démotivé que la Terre ait porté.

Auteur:  ant28 [ 04 Mars 2009 22:32 ]
Sujet du message: 

Kobal a écrit:
ptibogvader a écrit:
et en se concentrant assez fort on peut même les voir courir à reculons :lol:

Sans produit psycho-actif associé ? Parce que là, j'y arrive pas. :D



Imagine-les en train de courir à reculons vers la droite, en gardant cette idée en tête. D'ailleurs, ils vont plus vite que quand ils courent vers l'avant.

Sinon, les DA du bon père Lai, c'est toujours du lourd, décidément !

Auteur:  Kobal [ 04 Mars 2009 22:39 ]
Sujet du message: 

ant28 a écrit:
Imagine-les en train de courir à reculons vers la droite, en gardant cette idée en tête. D'ailleurs, ils vont plus vite que quand ils courent vers l'avant.

Ah ça y est. Effectivement, ils vont plus vite dans l'autre sens.
La question maintenant, c'est est-ce que si on regarde pendant plusieurs minutes ce gif à l'envers, cela entraine des distorsions perceptives lorsque l'on regarde ailleurs ? Et mieux, est-ce qu'au bout de plusieurs heures, les dégâts cérébraux deviennent irréversibles ? :-D

Auteur:  arkadin [ 05 Mars 2009 10:55 ]
Sujet du message: 

ant28 a écrit:
Kobal a écrit:
ptibogvader a écrit:
et en se concentrant assez fort on peut même les voir courir à reculons :lol:

Sans produit psycho-actif associé ? Parce que là, j'y arrive pas. :D



Imagine-les en train de courir à reculons vers la droite, en gardant cette idée en tête. D'ailleurs, ils vont plus vite que quand ils courent vers l'avant.



Mouhaharf! Y'a vraiment des allumés du bulbe ici, se forcer à imaginer qu'une scène se déroule à l'envers! :-D

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