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Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 https://forum.nanarland.com/viewtopic.php?f=17&t=18678 |
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Auteur: | Wolfwood [ 24 Août 2010 12:36 ] |
Sujet du message: | Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Shark In Venice Année : 2008 Pays : Etats-Unis Durée : 1h24 Catégorie : Animalier Genre : Squale dans l’canal Réalisateur : Danny Lerner Avec : Stephen Baldwin, Vanessa Johansson, Giacomo Gonnella, Hilda van der Meulen, Atanas Srebev… . Lorsqu’on évoque Venise, on pense aux gondoles, à la ville des amoureux voire à une chanson de Sheila et Ringo. Mais qu’en est-il des requins ? Après tout nos mangeurs de plaisanciers italiens n’ont-ils pas droit à la même considération que leurs congénères américains ? Comment ? Il n’y a pas de requins à Venise ?! Pouah, hey l’autre, n’importe quoi ! Bien sûr qu’il y en a, je l’ai encore vu l’autre jour dans une production Nu Image. Mais si ! Même qu’il y avait Stephen Baldwin dedans, si ça ce n’est pas une garantie de sérieux… . ![]() Toute ressemblance avec une affiche existante ou ayant existé ne serait que le fruit d’un total mépris des droits d’auteur. Déjà responsable des Shark Attack, la firme de Danny et Avy Lerner avait de nouveau montré son amour pour nos prédateurs aquatiques en produisant les plus récents « Sharkman » et « Raging Sharks ». Continuant cette nouvelle saga, c’est dans la Sérénissime que nous retrouverons un autre cousin attardé des « dents de la mer », lui aussi décidé à se faire un carpaccio avec quelques plongeurs. Apprenant que son père est porté disparu suite à une attaque de la bête, David Franks, explorateur des fonds marins, rapplique dare-dare sur les lieux et se trouve brusquement impliqué dans une chasse au trésor en tombant sur les carnets de son paternel. ![]() ![]() Voir Venise et mourir de honte. Hormis le film d’agressions animales, l’intrigue s’inspire donc des classiques de l’aventure, un minimum d’attention suffisant à remarquer des petites ressemblances avec « Indiana Jones et la dernière croisade ». On ne peut pourtant pas blâmer le scénariste d’être si peu inventif, ses prises de liberté semblant plus hasardeuses. Car vous pensez bien que le magot recherché n’est pas en toc. Non, non, la fortune que veulent nos aventuriers ce n’est ni plus ni moins que le trésor du temple de Salomon, localisé en Crête et ramené à Venise par la flotte de Marco Polo, sur les ordres des Médicis. Le tout, lors de la huitième croisade décidée par le prévoyant Louis XIV, sensé naître quatre cents ans plus tard. Evidemment, on peut ne rien remarquer si on n’est pas trop vigilant mais quelques rapides recherches permettent de voir que les faits exposés sont un tissue d’inepties. C’est vous dire, même moi qui ne suis pas un cador dans ce domaine, il me semblait que certains détails ne collaient pas. Alors pour un prof d’Histoire Geo, il y a bien de quoi provoquer une crise cardiaque. ![]() Et c’est une phrase qui vient d’un rapport d’expert ! Elle est belle l'éducation des jeunes... . ![]() ![]() C’est ballot que le trésor, perdu en pleine mer, soit tombé pile poil dans une grotte truffée de pièges. ![]() Indiana zone dans le temple moisi. Avec de l’aventure au programme, on peut s’attendre à ce que notre héros connaisse des embûches dans un cadre exotique. Sur le premier point, il n’y a rien à redire, David devant faire face à la concurrence de la mafia dans sa recherche du butin. Pour le dépaysement par contre, disons qu’il est un poil différent de celui auquel on pouvait s’attendre, Nu Image ayant tourné son film dans ses studios bulgares. Si cette méthode peut faire illusion dans une intrigue se déroulant dans un obscur pays de l’Est, il en est tout autrement pour un métrage prenant place dans la cité des Doges. Même si tout ait tenté pour faire croire que l’action a bien lieu en Italie, ce n’est pas les vidéos de vacances du producteur en guise de stock-shots ou la musique d’Opéra qui feront illusion bien longtemps. Poussant le vice un peu loin, le réalisateur et son équipe ont même été jusqu’à faire interagir les acteurs avec les lieux, ce qui nous vaudra une scène où Stephen et sa copine visitent un décor situé dans les balkans pendant qu’on nous assène des lieux touristiques en contre-champ. Un stratagème consternant qui démontre surtout les talents limités du père Lerner en matière de montage, certaines séquences étant utilisées plusieurs fois ou incrustées n’importe comment dans le récit. ![]() Une scène de poursuite où les personnes bousculées seront toujours les dix mêmes figurants. ![]() Des touristes qui ont bien du mal à quitter l’arrière plan. Et pour cause, il s’agit d’une bande vidéo qui tourne en boucle. Ces effets de mises en scènes ne sont d’ailleurs pas les seules feintes visant à nous faire passer une vessie pour le phare de Murano. Contraints et forcés, Danny et son équipe ont dû effectivement trouver d’autres astuces afin de résoudre un problème lié à la délocalisation du tournage, la quasi-intégralité du casting venant d’à peu près partout dans le monde, sauf d’Italie. De là, Lerner tente le tout pour le tout et dépasse les bornes des limites quand, pour faire couleur locale, il agrémente tous ses dialogues de petites expressions dans la langue d’Alvaro Vitali. Et tant pis si celles-ci arrivent comme un cheveu sur le minestrone. En VO, cela donne donc des conversations en anglais aux intonations vaguement transalpines, déclamés par des comédiens ayant du mal à masquer leurs propres accents. Dans ce contexte, Giacomo Gonnela seul acteur du cru, pourrait tenter d’apporter un peu de crédit à la distribution. Au lieu de ça, il réussit l’exploit d’être le personnage le plus caricatural, certaines répliques laissant même à penser qu’on lui a demandé d’imiter un semblant d’accent russe, histoire que les voix des autres comédiens sonnent moins faux. ![]() ![]() Ma qué si, yé sui oune italiano, yé parle avé les mains, qué tal, muchos cojones tout ça… . ![]() Des bulgares, une néerlandaise et un dubaïote. On peut dire ce qu’on veut, l’Italie est bien une terre d’immigration. ![]() ![]() Giacomo Gonnela, seul italien du lot mais tellement mauvais qu’on le croirait étranger. Piètre usurpateur, Lerner n’est pas plus doué pour mettre en valeur son requin, ou plutôt ses requins, difficile à dire. Jusqu’à tard dans l’histoire, il est en effet difficile de savoir le nombre de nos dévoreurs de touristes. En tout état de cause, reconnaissons que s’il y en avait eu qu’un seul, celui-ci aurait donc été polymorphe pour changer de taille et de couleur au cours de l’intrigue. Bien évidemment, il s’agit là d’une vieille arnaque de chez Nu Image. Plutôt que de filmer de nouvelles scènes, nos loustics ont préféré recycler tout à un tas de passages issus de leurs anciens slashers aquatiques, même si certains d’entres eux sont inappropriés. Voir un requin défoncer une vitre, c’est bien gentil, mais lorsque les dites images se retrouvent balancées dans une séquence se passant en plein canal, on se dit que le metteur en scène a définitivement lâché les élastiques. Lerner a beau ruser avec un montage digne d’un Paul Greengrass sous amphet’, le spectateur n’est pas dupe surtout lorsque, en lieu et place des stock-shots, il a droit à des incrustations numériques indignes d’un téléfilm chypriote. Dommage que les interventions des bestioles se comptent sur les doigts d’une main, mais c’est aussi ça les stars, elles savent ménager leurs apparitions et tout donner l’espace d’une scène ou deux. Après « des serpents dans l’avion », « un requin dans la gondole ». Forcément, ça dure moins longtemps. ![]() ![]() Oui, c’est affreux comme trucages, mais il n’y a pas de quoi se mettre dans cet état. ![]() Enfin, c’est déjà mieux qu’avoir des badauds j’menfoutiste au fond de l’écran. Le squale ayant signé un temps partiel, on se dit que Danny pourra au moins compter sur les deux grands noms de son casting pour renverser la vapeur. Pourtant, un peu de jugeotte suffit à comprendre que si on embauche une Johansson et un Baldwin pour ce genre de film, on n’aura pas affaire aux membres les plus sélects de ces familles. Dans le rôle de Laura on retrouve donc Vanessa Johansson grande sœur de la divine Scarlett. Comédienne correcte, ce n’est jamais vraiment par elle que la bêtise arrive, même si elle peine à convaincre son monde lorsqu’elle valide sans broncher les bévues historiques exposées plus haut. Semblant parfois se demander ce qu’elle fait là mais restant toujours très pro, une attitude respectable lorsqu’on admire le résultat final, on pourra toujours retenir que Vanessa est plus à son aise pour jouer les bons sentiments que rouler des mécaniques dans les scènes d’action, même s’il n’y a pas de quoi crier au scandale. Difficile de dire si son parcours cinématographique l’amènera un jour au même niveau que sa frangine ou, au contraire, dans des productions Asylum tournés en Slovénie, mais comme elle est la seule à pouvoir conserver sa dignité dans l’histoire, on se gardera bien de trop l’enfoncer. ![]() Vous avez vu mademoiselle, je ne vous ai pas trop saquée. D’ailleurs je me demandais si vous n’auriez pas le numéro de votre soeur, à tout hasard… . ![]() Oh, ça va ! C’était juste une idée ! Par contre, il y a un cas hautement plus condamnable, c’est celui de Stephen Baldwin. Déjà aux portes du désespoir dans « Harpies », notre camarade franchit ici un nouveau stade dans le deuil de sa carrière, passant de l’abattement à la résignation. Bouffi et se trimballant une tête de neurasthénique quoiqu’on lui demande de faire, Stephen est tellement désarmant d’inconsistance qu’il ferait passer Chris Mitchum pour un concurrent de Jim Carrey. Excepté quelques soubresauts, demandez lui d’être triste à la disparition de son père, de découvrir un trésor ancestral ou tenir tête à un gangster, Stephen n’en a pour ainsi dire plus rien à foutre, semblant attendre le chèque qui lui évitera de tourner dans une énième télé réalité. Après, peut être qu’il s’en balance sachant déjà que, quoiqu’il arrive, il surmontera toutes les épreuves grâce à son invulnérabilité, l’amenant à gambader dix secondes après s’être fait mordre le jarret par un requin. Et ne croyez pas que c’est dû à une combi en kevlar, parce que même après avoir perdu une jambe lors d’un assaut, il arrivera à continuer le film sur ses deux guiboles. Alors, vous vous doutez bien que ce ne sont pas des petites critiques sur son jeu qui peuvent encore l’atteindre. ![]() ![]() Soyez sans crainte, cela fait beaucoup moins mal qu’il n’y parait. Deux jours à l’hosto et on en reparle plus. ![]() ![]() Toujours aussi fortiche, le Stephen Baldwin peut aussi utiliser un simple harpon pour faire exploser un requin (même si celui-ci se trouve dans un autre film) ou tenir une conversation claire avec un détendeur en bouche. ![]() Colère, détermination, peur, chagrin, je vous laisse choisir quel sentiment va avec quelle photo, de toute façon ça ne fait aucune différence. Alignant les perles sans inventer grand chose, « Shark in venice » peut être vu comme du menu fretin pour les plus vieux loups de mer du cinéma étrange. Ne vous attendez donc pas au renouveau du nanar animalier, mais reconnaissons qu’il se laisse facilement regarder et n’a pas de grands temps morts. Prenant, ce n’est pas coutume, une autre saveur lorsqu’il est apprécié en VO, ce film vaut le détour pour quelques moments amusants et permet au moins de se souvenir qu’outre le romantisme, Venise peut aussi symboliser le ridicule surtout si on lâche un requin dans ses canaux. Merci Nu Image, ne vous reste plus qu’à produire une histoire de calamar détruisant Paris ou « Godzilla à Vienne », au point où on en est, ça peut difficilement être pire. Wolfwood 2/5 Cote de rareté. Courant Il aura fallu attendre décembre 2010, et sa distribution chez WE Prod, pour voir "Shark in Venice" atteindre les côtes hexagonales. L'occasion de nous prouver une fois encore qu'à défaut de grands cinéastes, Nu Image a d'excellents commerciaux. ![]() Si vous souhaitez faire l'économie de quelques euros, soyez certains que vous pourrez tout de même voir ce film sur divers chaines du satellite et de la TNT. ![]() Ici, le dessinateur de l’affiche s’est un peu lâché sur les proportions. Soyez rassurés, il n’y aura jamais rien d’aussi spectaculaire dans le film. ![]() Le dvd allemand. Plus sage, mais nettement moins aguicheur. ![]() Liens utiles : Deux attaques de requin: http://www.youtube.com/watch?v=4o90YpoeV1c http://www.youtube.com/watch?v=rx9l2wyqWeo&NR=1 Un peu d'action, avec notamment le « gag de la poursuite »: http://www.youtube.com/watch?v=0SGFrjKPZeE&NR=1 |
Auteur: | C2B [ 24 Août 2010 15:04 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Harpies, et maintenant Shark In Venice : Stephen Baldwin un acteur qui monte. ![]() |
Auteur: | hermanniwy [ 24 Août 2010 16:26 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Wolfwood a écrit: ![]() Magnifique gondolier qui semble contempler le requin à 2m50 de lui avec... disons, un flegme remarquable digne du vrai scientifique suicidaire. Et magnifique chronique ! (a part un "en soit" dans le premier paragraphe) Je craque pour "Indiana Zone et le temple moisi". Faut voir si Rémirador peut créer une affiche. |
Auteur: | Siry [ 24 Août 2010 22:00 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Stephen Baldwin ![]() ![]() |
Auteur: | Wolfwood [ 06 Sep 2010 16:22 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Merci pour vos commentaires. C'est vrai que Stephen Baldwin creuse son trou: encore un film ou deux et il aura pas volé sa place dans les acteurs occasionnels, au moins. Après, il me semble que c'était nanardeurlambda qui parlait des effets d'eau étranges dans une des vidéos, ce qui est vrai. Par contre ce que je ne m'explique pas c'est comment le requin arrive à attraper la fille: http://www.youtube.com/watch?v=rx9l2wyqWeo&NR=1 ![]() ![]() |
Auteur: | pef2012 [ 06 Sep 2010 17:51 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Wolfwood a écrit: Après, il me semble que c'était nanardeurlambda qui parlait des effets d'eau étranges dans une des vidéos, ce qui est vrai. Par contre ce que je ne m'explique pas c'est comment le requin arrive à attraper la fille: http://www.youtube.com/watch?v=rx9l2wyqWeo&NR=1 ![]() ![]() Ah ouais quand même... A la lecture de la chronique, ca semblait envoyer de la bonne nanardise, mais là on en prend plein les yeux en seulement 1min d'extrait. Le jeu lamentable du mec bourré, l'accent ridicule de la nana, l'attaque de requin en CGI moisie avec des effets d'eau magnifiques, l'eau qui éclaire le pont en pleine nuit ![]() ![]() ![]() |
Auteur: | Again [ 06 Sep 2010 19:04 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Roooooooh, des requins blancs à Venise, l'idée à la con !!!! En effet, je sais pas vous, mais je crois savoir que peu de gens se baignent à Venise. Dans ces conditions pourquoi ces cons de requins viendraient becter dans ses canaux En tous cas, c'est largement aussi crétin que des moustiques ou des lapins tueurs... |
Auteur: | charlie le nain [ 06 Sep 2010 19:35 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Again a écrit: Roooooooh, des requins blancs à Venise, l'idée à la con !!!! En effet, je sais pas vous, mais je crois savoir que peu de gens se baignent à Venise. Dans ces conditions pourquoi ces cons de requins viendraient becter dans ses canaux En tous cas, c'est largement aussi crétin que des moustiques ou des lapins tueurs... Y a des grands blancs en méditerranée, peu (et de moins en moins vu qu'il y a moins de poissons ils vont voir ailleurs), mais il y en a. Par contre le milieu saumâtre de la lagune et ces eaux quand même bien boueuses, c'est le contraire de ce qu'aime un grand blanc qui n'aime rien mieux qu'une eau claire et brassée... Mais l'idée de requins à venise n'est pas aussi stupide qu'elle en a l'air au premier chef. |
Auteur: | Again [ 07 Sep 2010 12:50 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Que ce soit possible, c'est un fait, que ce soit vraisemblable, est autre chose. Mon soucis c'est que Venise est probablement le dernier endroit au monde où irait chasser un grand blanc. En plus, Venise, c'est l'Adriatique, une poubelle. La seule chose qu'un requin pourrait aller y faire, c'est se faire filmer. D'où le fait que je trouve ça grotesque. |
Auteur: | narnardeurlambda [ 07 Sep 2010 16:48 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Again a écrit: Que ce soit possible, c'est un fait, que ce soit vraisemblable, est autre chose. est-ce qu'un requin peut ne serait-ce que passer dans les canaux? les grands axes, je veux bien, mais si il s'en contente, le problème est vite réglé, un filet et on en parle plus. |
Auteur: | Kobal [ 07 Sep 2010 20:44 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Une chronique qui met suffisamment en valeur une merdouille Nu Image pour donner envie d'y jeter un oeil. As-tu eu l'occasion de voir ce que ça donnait en VF ? La tronche de Baldwin est particulièrement terrible. Citer: Toute ressemblance avec une affiche existante ou ayant existé ne serait que le fruit d’un total mépris des droits d’auteur. ![]() ![]() ![]() |
Auteur: | Again [ 07 Sep 2010 21:00 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
C'est vrai que... ![]() ![]() C'est un ... hommage, on dira. |
Auteur: | Wolfwood [ 08 Sep 2010 16:22 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Kobal a écrit: Une chronique qui met suffisamment en valeur une merdouille Nu Image pour donner envie d'y jeter un oeil. As-tu eu l'occasion de voir ce que ça donnait en VF ? Hélas, non. il devait passer sur Direct Star il y a quelques jours, mais ils l'ont déprogrammé. Peut être se sont-ils dit qu'envoyer du Nu Image au bout de 48 heures d'antenne, ça faisait pas sérieux. ![]() Blague à part, grâce à cela on sait au moins qu'une VF existe, mais à ma connaissance, elle n'a pas encore eu l'honneur d'une diffusion télé ou même d'une édition dvd. |
Auteur: | Kobal [ 08 Sep 2010 16:58 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
T'es sûr qu'il n'a pas été diffusé sur la TNT ? Je crois pourtant me souvenir être tombé dessus lors d'un zapping rapide, mais sais plus quand ni sur quelle chaine. Par contre, j'ai peu eu le temps de regarder. |
Auteur: | Meowcate [ 08 Sep 2010 17:39 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
![]() La sœur de Scarlett Johansson, vraiment ? j'y vois plutôt celle de Lorant Deutsch. |
Auteur: | Wolfwood [ 08 Sep 2010 22:26 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Kobal a écrit: T'es sûr qu'il n'a pas été diffusé sur la TNT ? Je crois pourtant me souvenir être tombé dessus lors d'un zapping rapide, mais sais plus quand ni sur quelle chaine. Par contre, j'ai peu eu le temps de regarder. Franchement je n'en sais rien. Je suis certain qu'il n'a pas été diffusé sur Direct Star en début de mois (j'avais quand même jeté un oeil malgré sa déprogrammation annoncée) mais j'ignore s'il a été diffusé avant cela. C'est vrai que le film datant de deux ans maintenant, ça peut paraître étonnant que nous n'ayons pas encore pu le voir sur NT1 ou SyFy (par exemple). Par contre, les chaines diffusent encore pas mal de films avec des requins et monstres marins ces temps-ci, on a donc encore des chances de le voir débouler dans les semaines qui arrivent. |
Auteur: | Again [ 09 Sep 2010 10:13 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Meowcate a écrit: ![]() La sœur de Scarlett Johansson, vraiment ? j'y vois plutôt celle de Lorant Deutsch. Cette photo a au moins le mérite d'expliquer pourquoi c'est sa soeur qui est connue et pas elle... |
Auteur: | Greyhunter [ 09 Sep 2010 22:43 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
![]() J'viens de me fumer un de ces pèt', grand comme ça! |
Auteur: | Emzy X [ 12 Sep 2010 18:47 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Je confirme qu'il est passé sur la TNT il y a quelques jours, genre la semaine dernière. NT1 ou NRJ12, je dirais. |
Auteur: | Captain Beaujol [ 30 Sep 2010 17:58 ] |
Sujet du message: | Re: Shark In Venice - Danny Lerner - 2008 |
Again a écrit: C'est un ... hommage, on dira. Tu sais, quand certains en sont là: ![]() On peut presque dire que Nu Image a des leçon à prendre! ![]() |
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