Forum Nanarland.com

disons ke là on entre dans le domaine de " adaptation fidèle ou non ?" ... de ce point de vue je dois dire ke c'est raté ... ah ben tiens ke j'y pense, du point de vue acteurs et vaisseaux aussi c 'est raté ...

oui oui un bon navet car on ne rit même ...

le pire même dans l'histoire c'est ke c'est le créateur de toute la série du jeu ki a fait le film, c'est là ke c'est encore plus impardonnable . Je crois d'ailleurs ke depuis lors ce cher Chris roberts est bien caché ... non mais , chris, pourkoi nous avoir fait lors de l'adaptation sur écran des kilrathis chauves ? ( alors k'ils sont sensés être de bo grand félins ... oui à la limite peut être des anciens égypyins mais je n'y crois pas trop)

Bof moi je préfère Roger WIlco
Ca c'est un héro spatial !!!
Mais je me souviens à peine du film de wing commander...
Sans doute parce que je n'y jouais pas....
A quand une adaption cinématographique de Lands of Lore 2 et 3 ?
hin hin hin hin

roger wilco pas joué beaucoup , j'étais pas trop fan des sierra , étais plus fan des lucasarts ...


land of lore , mouais mouais mouais ( enfin évidmment n'ai joué ke très peu au 1)

Lands of lore 2 et 3 sont de la matière dont on peut faire des nanars...
Et c'est vrai que les jeux lucas art étaient souvent supérieurs aux sierras.
Mais ils se passaient plus souvent dans l'espace....

J'ai jamais eu le courage de regarder Wing Commander... j'etais tellement heureux quand Chris Roberts s'etait retrouvé aux commandes, enfin une adaptation ciné qui serait fidèle aux jeux d'origine! Quand j'avais vu la gueule des kilrathi, les acteurs sans saveurs et les especes de vaisseaux rétro-futuristes à 15 parsecs des arrows et autres excalibur, j'avais essayé d'oublier ce triste évènement... m'enfin il reste une pointe de curiosité, faudra que je le mate un jour, par principe.

Pour Roger Wilco, ben, un peu comme Raccoon j'etais plutot branché Lucasarts (Guybrush powa!). Ceci dit j'ai quand même fait Space Quest 6 et j'ai bien déliré, si j'ai le courage je jouerais peut etre aux autres un jour (je refais bien les premiers Monkey Island de temps en temps, alors pourquoi pas ).

Ils n'atteindront jamais le niveau des Monkey Island : )
Mais nous étions dans un contexte spacial et j'y restait......
Sinon il est certain que nul ne peut vaincre l'invincible crâne de Murray ..

Joe, ne perds pas ton temps avec wing commander le film, l'autre prob est k'aussi ls kilrathis n'apparaissent ke kasiment à la fin, un peu dommage tout de même ....

moi ma kestion pour ce film, c'est pourkoi et comment chris roberts a raté son adaptation ... merde koi, c 'est kkan même lui ki a inventé tout pourkoi il a essayé de nous emmener vers des nouveaux aspects dans le film, des trucs ki ne ressemblent à rien

Je up car elle vient d'être mise en ligne et Zord, je tiens à te le dire, elle est trop bien ta chronique .

Beaucoup de cynisme et j'aime beaucoup.

Très bonne chronique mais film immonde à mon goût. Même s'il est vrai que Freddy Prinze mérite tout notre respect pour sa nullité abyssale ses films sont gonflants au possible.

J'ai vu ce film et il a un interet, (oui oui) pas gros mais bon.
Comme ca doit etre l'un des pire teen movie existant (quoique depuis que j'ai vu who's your daddy, meme mean's girl semble un chef d'oeuvre)

Donc son interet est que la moitié de Not Another Teen Movie parodie ce film la
forcement, une parodie est toujours meilleure quand on en connais l'origine.

Mais faut vraiment avoir envie de perdre du temps quand même

Je vous présente aujourd'hui Elle est trop bien, remake inavoué et très subtil du Loulou de Pabst (1929) remis au goût du jour par le Kubrickien Robert Iscove. Il est d'ailleurs intéréssant de savoir que l'auteur en question définit son film comme une bluette philosophique inspirée aussi bien du féminisme freudien que du libertarisme kantien en vogue dans la société américaine de l'époque. Bref, ce classique post-moderniste s'avère comme un véritable portrait de l'adolescence américaine fantasmée dans les salons littéraires parisiens, et par ses recherches visuelles anticipent les travaux formels d'un certain Larry Clark. Sous l'aspect a priori trivial de son scénario mais en fait plus subtil qu'il ne le laisse penser, voilà un film expérimental et profondément engagé que nous français n'avons pas les couilles de tourner.


Pour revenir à Pabst, vous ne voyez franchement pas une ressemblance entre les deux actrices






Et bien, sachez que Rachel Leigh Cook est la petite fille de Louise Brooks, qui a émigré en amérique pour fuir à la montée du nazisme. Là-bas, elle a épousé un certain cuisinier nommé Leigh. D'où l'origine de son pseudonyme de scène Leigh Cook. Comme quoi, elle était prédestinée pour ce rôle...

Rha, Rachael Leigh Cook... Elle est trop mimi.
Hum, sinon ce n'est pas pour dire mais pour établir une ressemblance physique entre deux actrices, il faudrait déjà qu'on voit la première photo à la place d'un message tel que "you've juste been assraped by ecranlarge.com".

Nanar, le terme me semble un peu fort. La chronique est bien faite, donc ça cautionne la présence de ce film sur le site, mais j'aimerais préciser que j'ai passé un moment encore correct en le regardant (et oui...).
Les clichés fusent, mais ça ne se prend jamais de trop la tête. J'ai même ri de bon coeur à la dernière scène

Scoop: le film va avoir droit à un remake

Le remake n'a pas l'air de valoir plus que l'original. Là aussi, on voit que le garçon choisi est plutôt beau gosse, c'est juste ses fringues et sa dégaine qui le rendent craignosse...

Je me demande aussi si ça existe des lycées comme ça aux États-Unis, où des élèves de 17-18 ans semblent en avoir 25, voire la trentaine et roulent tous en BMW...

J'ai connu des filles qui,à 14 ans,en faisaient 22.
J'en connais qui,à 23,en font 12.

Oui, en effet.

Mais là c'est tout le casting qui semble nettement plus âgé que l'âge des personnages.

Maté ce midi sur Netflix.

Un visionnage partagé entre consternation profonde et attention plus ou moins distraite.

Allez, s'il faut trouver une scène à peu près réussie, je dirais que la courte séquence du rêve "Real life" de ce pauvre Freddy est plutôt bien vue et m'a fait sourire.

Pour le reste, comme c'est mainstream, les doubleurs et la plupart des acteurs (Freddy exclu bien sûr) assurent correctement le job, même si certains en font des caisses quand il s'agit d'être "drôles" (l'acteur de télé-réalité, dont la bêtise et la superficialité sont appuyées bien au-delà du raisonnable au cas où on n'aurait pas compris que c'est un connard). C'est ultra-artificiel et beauf mais davantage navrant que vraiment drôle (à quelque degré que ce soit), la faute à une mise en scène ultra-calibrée à mort. Toutefois, l'entrée en scène de notre héros dans toute sa splendeur de kéké friqué du bahut est assez cocasse et évidemment, la peinture de la vie lycéenne américaine telle que montrée par le film, "c'est du surréalisme", pour reprendre l'expression de Rachael Leigh Cook dans le film. L'excellente chronique de Zord pointe bien tout ce qui ne va pas dans ce truc, qui est réellement une caricature de film pour ados avec tous les clichés moisis et la niaiserie dégoulinante que peut concentrer le genre. Arrivé au générique de fin, j'étais atterré, un rictus aux lèvres, en mode "Moui, bon, oui oui oui oui oui...", bref, sur les rotules.

A voir juste une fois pour la scène des nains, la tronche et le jeu d'acteur de Freddy, la connerie profonde de l'ensemble et la scène de danse. Ceci dit, c'est incroyable qu'une daube pareille ait cartonné au box-office au point de relancer le genre car c'est bien le pire teen-movie que j'ai jamais vu, le genre de machin réchauffé et sans ambition plutôt propre à enterrer une mode qu'à la faire renaître de ses cendres.

Mais c'est qualitativement au même niveau que l'original de 1999, ou un peu plus réussi ?