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 Sujet du message: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 01 Juin 2010 23:09 
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Nanardeur fou ?
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Devil Rider
(aka Barrow Street aka Riders Killers aka Master’s Revenge)


Catégorie: Crime et délits
Genre: Débile Rider / Né pour être savate / Born to be worst/ Vieux motards que jamais.
Réalisateur: Brad F. Grinter
Pays: Etats-Unis
Année: 1970
Durée: 1h10
Avec: Sharon Mahon, Johnny Pachivas, Ross Kananga, Ridgely Abele, Chris Martell... .

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Depuis "Eaux Sauvages", tout le monde sait qu'un doublage magique peut faire basculer un film vers les bas fonds de la bêtise. Découvrir en "Devil Rider" une autre œuvre à la connerie décomplexée en ce qui concerne sa post-synchro, ne peut dès lors que pousser le nanardeur à sauter de son divan. Alors si en plus on lui apprend que le metteur en scène est Brad F. Grinter, co-responsable du cataclysmique "Blood Freak", il ne fait plus qu’un bond, mais entame une série de saltos digne d'un gymnaste olympique.

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Un générique qui donne mal au coeur.

Tout commence lorsque James Aldridge, prof de karaté, se prend la tête avec sa petite amie Katie, laquelle lui reproche de passer plus de temps sur son tatami qu'à s'amuser, ce qui aménera la douce à s'acoquiner avec une bande de motards menée par Champ. Inquiet, le père de la demoiselle engage un détective afin de faire revenir sa fille dans le droit chemin, et lui éviter de finir comme sa sœur Penny, qui avait déjà suivi nos Hells Angels des bacs à sables. Une préoccupation légitime lorsqu'on sait que les dits bikers ont des vies de marginaux, les voyant s'échanger leurs femmes ou régler le moindre contentieux à grands coups de chaînes de vélo.

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James, le "Karaté Instructor" dixit la jaquette.
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Champ, monsieur loyal du cirque Bikeros, et cette gourdasse de Katie.
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Penny, la frangine de Katie. Là si j'étais vilain j'écrirai une légende du style "que fait Amy Winehouse dans un nanar des années 70 ?". Mais comme je ne suis pas du genre à tirer sur l'ambulance, je m'abstiendrais.

Derrière cette trame adulte, sorte de pamphlet sur une forme de détresse psy qui pousserait les filles de bonne famille dans les bras de malotrus, on découvre vite des éléments qui vont changer le tout en pur moment de rigolade. Comme annoncé dans l'intro, la grande force du film réside dans sa VF. Bazardé par des comédiens sous temesta, pas un dialogue n'atteint son but la faute à un foudroyant manque de conviction. Prodigieuses de platitudes, les plus petites répliques sont ainsi sublimées par des acteurs au fond du trou, récitant leurs phrases sans la moindre émotion et jouant faux comme c'est pas permis. Les hésitations étant légions, on peut se douter que la poignée d'intermittents responsables du doublage découvraient leurs textes au fur et à mesure, sans s'être encombrée de quelconques séances de préparations. Mais avec trois pelés et un tondu pour faire l'ensemble des voix, difficile de s’attendre à un miracle. La forme est magnifique, le fond n'est pas mal non plus, nous gratifiant de jolies impro. Certes, on ne retrouve pas les trips cocaïnés de "Blood Freak" ou les envolés philosophiques d'"Eaux Sauvages", mais les efforts investis pour se hisser au niveau de ces références force le respect. Ainsi, relever toutes les répliques affolantes et nonsensiques du film serait fastidieux, et reviendrait à recopier une grosse partie de la bande son. Mais il est clair qu'entendre deux motardes se crêper le chignon donne un bon aperçu de la profonde crétinerie des dialogues, lesquels semblant tous avoir été écrits par un sous Audiard défoncé à la colle.

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L'ex d'un loubard va nous parler d'atmosphère.


Pourtant, ces voix ne servent en fait qu'à magnifier le jeu des différents intervenants, à commencer par les loubards. Que dire de cette fine équipe, si ce n'est qu'on a du mal à la prendre au sérieux. Maquillés comme les Village People, nos filous auraient peine à effrayer des élèves de maternelle et on pourrait les laisser gentiment cuver leurs bières s'ils n'avaient pas des mœurs aussi douteuses, nos lurons n'hésitant pas à abuser des femmes qu’ils croisent sur leur route. Dit comme ça, c'est plus sordide qu'autre chose mais il faut voir comment les événements s'enchaînent. Parce que franchement, lorsqu'on décide de suivre de son plein gré des voyous aux bonnes têtes de vicelards dans une cabane au milieu de la forêt, faut bien se douter qu'ils veulent faire autre chose qu’un Pictionnary. Ladite séquence vire d'ailleurs au surréalisme complet lorsque Richard Clayderman s'invite à la fête et balance en fond sonore un solo de piano, à mille lieues de l’ambiance malsaine que l'on aurait pu attendre.

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Ils n’inspirent pas la confiance nos séducteurs ?
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Ah bah quand même ! Elle aura mis le temps.
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Une certaine idée de la classe.

Le reste du casting brille aussi par sa nullité, chaque protagoniste faisant tout leur possible pour s’auto saborder. Il y a déjà le père de Katie et Penny, joué par Brad F. Grinter lui-même, lequel semble se foutre complètement du destin de ses filles en mettant un point d'honneur a ne jamais paraître paniqué. Mais à mon avis, le bonhomme ne tournait pas qu'à la cigarette russe, ceci expliquant beaucoup de choses. Puis viennent ensuite la mère et le petit ami, qui l'un comme l'autre font preuve d'une absence de justesse à tomber à la renverse. Il suffit d’admirer la pauvre femme pleurer à chaudes larmes la disparition de sa progéniture et se disputer avec son époux pour mesurer l’étendue des dégâts. L'absence de conviction du judoka reste aussi à montrer dans toutes les écoles de cinéma, pour avoir une vraie idée du niveau zéro, voire moins un, de l'actor's studio mais à sa décharge, on pourra se dire que comédien n’était pas son vrai métier.

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Brad F. Grinter et sa tronche de démarcheur en produits stupéfiants.

Pourtant, on est loin, très loin d'avoir trouvé le plus mauvais interprète du film. Car dans le genre, notre détective va s'avérer être un véritable épouvantail, faisant fuir autour de lui toutes traces de justesse et de talent. En gros, qu'il se retrouve dans un chambre avec une prostituée ou qu'il se fasse torturer, ça ne fait aucune différence et notre brave homme semble se moquer totalement de ce qui passe et contemple le film comme une vache regarderait passer un train. D'une inexpressivité qui confère à l'indicible, sa seule preuve d'implication réside dans un petit sourire en coin qui semble vouloir nous dire que notre homme n'en a décidemment rien à cirer. Ou alors, c'est pour faire privé détaché, à la Bogart. N'empêche qu’avec le charisme d'un bulot mort, c'est pas un truc à tenter. On dégagera aussi de sa prestation un sens de la ruse proprement sidérant, notre coincé en costard tentant d'infiltrer le gang de bikers avec un déguisement de carnaval. En même temps, lorsqu’on voit comment les autres sont fringués, ça aurait tout aussi bien pu marcher… .
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Le privée. Niveau physique, un peu de Joe Pesci et un "je ne sais quoi" de Jack Nicholson. Par contre pour les talents respectifs, on repassera.
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Le même dans son look "né pour être sauvage".
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Les motards les plus dangereux d’Amérique !!

Niveau réalisation, nous ne sommes pas mieux lotis. Si on ne le connaissait pas, on pourrait même se demander si Brad Grinter n’était pas en fait le cousin dégénéré de la famille d’Alan Smithee, celui qu'on planque dans la cave parce qu'on en a honte. Bien sûr, on se dira que l'on peut toujours faire pire mais il est clair que le bon Brad aligne avec classe tout ce qu'il ne faut pas faire en matière de mise en scène. Acteurs sous-exposés, cadrages foireux, gros, voire très gros plans, cadence léthargique ou au contraire hyperactive… c'est un festival de n'importe quoi prenant toujours le spectateur à contre-pied. Mention spéciale à l'une des séquences finales où notre détective, attaché à un arbre, voit plusieurs bikers se lancer sur lui armés de bâtons. L'idée de base paraît déjà ridicule à première vue, plus aucun doute n’est permis lorsque la réalisation apocalyptique désamorce avec perte et fracas le semblant de dramaturgie de cette scène. Toutefois, cela représente bien l'un des gros soucis de Devil Rider, à savoir sa gestion du rythme. Car passé quelques changements de plan dignes d'un clipeur de MTV détraqué au speed, ce qui marque avant tout c'est cette façon de meubler le vide par du creux et il faut voir notre privé, encore lui, retrouver Penny et la raccompagner chez elle, EN TEMPS RÉEL, pour se faire une idée de la lenteur du métrage. Evidemment, c'est le genre de détail qui rebutera peut être une partie des spectateurs. Mais si vous adhérer au concept, vous serez alors captivé par cette mollesse frénétique venant vous happer pendant un peu plus d'une heure.

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Après le non jeu, la non mise en scène. Au moins Brad va au bout de ses idées.

Devil Rider est ainsi le genre de fiasco complet qui peut laisser sans voix. Evidemment, certains vous diront peut être que le tempo infernal les a fait lâcher en cours de route et que même en se focalisant sur un doublage étincelant, on atteint jamais les proses démentielles d'autres références. Mais ne vous arrêtez pas à ces futilités, car si vous avez envie d’une équipée sauvage, vous n’aurez plus qu’à enfourcher votre harley et filer, droit devant, sur les routes de la folie. L’aventure n’attend plus que vous.

Wolfwood 3,5/5

Grand merci à André, nanar-addict et Kobal.


*********************
Cote de rareté

Pièce de collection

Oublié de tous à l'exception de quelques chineurs de l'impensable, Devil Rider est sortie dans nos contrées sous les noms de "Barrow Street" chez A.V.L Production et de "Riders Killers" chez America. Certains prétendent qu’il pourrait exister une édition dvd, mais en l’absence de preuves, nous resterons prudents.

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La jaquette de chez America avec son résumé fantaisiste et son image même pas tirée du bon film. Ne cherchez pas non plus les cow boys squelettes, ils n'ont rien à faire là.


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Une VHS américaine.

Bonus:
Le thème principal.

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la-li-lu-le-lo


Dernière édition par Wolfwood le 28 Jan 2011 18:31, édité 5 fois au total.

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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 02 Juin 2010 5:59 
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Nanardeur en progrès

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Encore un film... pardon: un flim que l'on ne fait que rêver de trouver sur une brocante. A ce demander comment vous faite - je parle de l'ensemble des chroniqueurs. C'est pas possible, vous les fabriquez vous-même! :shock: :puma:

RAS quant à la chronique. Que du bonheur. :wink:


A ce propos: dans cette série d'images se cache un plan nichon. Saurez-vous le trouver? :-D
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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 02 Juin 2010 11:07 
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Nanar un jour, nanar toujours
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Inscrit le: 07 Avr 2007 0:13
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JE LE VEUUUUUUUUUUUUUUUX !!!!!!!!!!!!


Après avoir vu blood freaks je rêvais d'un film entier avec l'homme du "qu'est-ce qu'un catholique", et paf, le voilà, avec sa clope, son doubleur, son air peu concerné, en père de la disparue.

J'en pleurerais.

En tout cas, une preuve importante que l'échec blood freaks n'était pas qu'à mettre au crédit du pauvre Steve Hawkes.

Une chronique qui donne envie en tout cas.

_________________
"But you say : Oh, when love is gone, where does it go ? And where do we go ?" (Arcade Fire - Afterlife)

Je n'aime pas Scorsese (c'est la raison pour laquelle je n'ai jamais vu aucun de ses films). (Elessar - sujet Le loup de wall street)


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 02 Juin 2010 12:10 
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Nanar un jour, nanar toujours
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Inscrit le: 21 Nov 2005 21:25
Messages: 2534
Localisation: "dans une partouze à Troyes, en train de jeter du pop corn"
@goldenchild : déstockage de video-club, mais de nos jours, ils ont tout balancé :? .

Ben chouette retour wolf et bien joué car ce film méritait sa chro.

_________________
"rhaaa aaahaaa regardez qui est là, cette salope de Solange !"

( femmes en cage )


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 02 Juin 2010 13:54 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Inscrit le: 09 Jan 2006 12:54
Messages: 4313
Localisation: Aux Studios MIRACLE :"Si C'est Un Bon Film,C'est Un MIRACLE!"
nanar-addict a écrit:
@goldenchild : déstockage de video-club, mais de nos jours, ils ont tout balancé :? .

Toute une époque. Des fois, je repense au sympathique vidéo-club à l'ancienne installé sur La Dalle de Choisy le Roi et qui a fermé sans me demander mon avis alors que je venais juste de le découvrir et que j'attendais d'avoir épuisé leur réserve de séries B des années 80 avant de m'attaquer aux nanars.
Dans ces moments-là, je pleure.

mais bon, j'ai quand même eu le temps de leur acheter une VHS de Panic sur Florida Beach, chef-d'oeuvre de Joe Dante.

Au passage, Super chro, Wolfwood !

Pour la case où tu compare notre héros à Pesci etc. je lui ai trouvé une ressemblance avec le diabolique Frémont, surnommé "Heil" par ses amis.
C'est sans doute dû au lever de sourcil...

_________________
Lawrence Woolsey, précédemment connu sous le pseudonyme de deathtripper21...

"Godfrey Ho a beau avoir trouvé des Kickboxeurs américains, le duel entre la mariée et la robe restera LA baston du film." Plissken


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 02 Juin 2010 16:24 
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Docteur es nanarologie
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Inscrit le: 02 Oct 2003 9:05
Messages: 1698
Localisation: incertaine
ah les VF magiques des films US

il le fooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo

la violence urbaine et la destruction à la portée de tous

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"We have a portable potty"

"les hommes sont monogames, ils ne peuvent pas répondre au téléphone et faire autre chose en même temps" (sagesse populaire entendue dans un train)


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 02 Juin 2010 20:25 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Messages: 10778
Localisation: Dans une bulle de confinement psychédélique
Yeaaaah, un retour en grade forme avec une chouette chro d'un chouette film. Je conserve un souvenir ému de la tentative d'infiltration du gang de bikers par notre bedonnant détective privé de 40 ans, touché par la grâce du bluff... qui s'effondre en 10 secondes. Faut également le voir menacer tout le monde avec un serpent !!

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"On était si pauvres, que quand un cambrioleur s'est introduit chez nous, on l'a dévalisé."

"T'as vu, les œufs sont cuits à l'envers..."


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 03 Juin 2010 6:59 
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Nanar un jour, nanar toujours
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Inscrit le: 01 Juin 2006 13:52
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Localisation: Mulligan's steack-house.
Encore un film de bikers tout nazes, bien joué Wolfwood, ça donne envie ! :puma:

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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 03 Juin 2010 15:53 
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Nanardeur fou ?
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Localisation: Perdu dans les beaux yeux de Phoebe Dollar
Merci pour vos remarques, ça fait plaisir. :D
Cela dit concernant la VHS de Riders Killers, quelqu'un peut confirmer qu'il s'agit bien du film qui nous interesse ? J'ai repris l'information sur le forum, mais je n'ai pas de certitudes à ce sujet. Idem, quelqu'un avait parlé d'une édition dvd sous le nom de "ghostriders" il me semble, mais rien de concret.

goldenchild a écrit:
A ce propos: dans cette série d'images se cache un plan nichon. Saurez-vous le trouver? :-D
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C'est ma façon à moi d'invoquer l'esprit du grand Nikita.
Si tout le monde met un plan nichon dans ses chroniques, ça le fera peut être revenir, faut y croire... . :-D

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la-li-lu-le-lo


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 05 Juin 2010 8:47 
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Nanardeur + que respectable
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Messages: 591
Localisation: Black Leather Lagoon
Yeeeeeaaaah, le retour en fanfare de Wolfwood et de la grande prose nanarlandaise classique!
Et quelle excitation de découvrir un futur poids lourd du nanar (ce défilé de trognes de winners, ouch), le filon est décidément inépuisable.

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Whatever happened to the saturday night?
(Meat Loaf, in Rocky Horror P.S.)


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 07 Juin 2010 9:30 
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Nanardeur + que respectable
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Localisation: Avec le Justicier, dans la ville
Pour la chro' :worship: :worship: C'est très bon...

C'est ma marque de fabrique :wink:

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« - J’aimerais bien que tu restes. On va manger des chips. »


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 07 Juin 2010 22:08 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Localisation: au fond de l'univers, à gauche
intéressant, le concept de "mollesse frénétique" !

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mon petit groupe musical : mondegreen


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 07 Juin 2010 22:31 
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Nanardeur fou ?
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Localisation: Perdu dans les beaux yeux de Phoebe Dollar
nanja monja a écrit:
intéressant, le concept de "mollesse frénétique" !


Je trouvais la figure de style intéressante. :)
Elle reflète bien la sensation qu'on ressent à la vision de ce film: c'est mou, lent mais fait avec une telle continuité, un tel acharnement que tu es pris dans par le rythme hypnotique du métrage. Le doublage aide aussi, faut le reconnaître.

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la-li-lu-le-lo


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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 28 Juil 2011 13:28 
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Bon Pote de Godfrey Ho
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Localisation: Dans une bulle de confinement psychédélique
Hip : http://www.nanarland.com/Chroniques/Main.php?id_film=devilrider

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"On était si pauvres, que quand un cambrioleur s'est introduit chez nous, on l'a dévalisé."

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 Sujet du message: Re: Devil Rider - Brad F. Grinter - 1970
MessagePublié: 30 Juil 2011 18:08 
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Maîtres es Nanar
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Localisation: Dublin
J'ai pleure de rire en entendant les extraits :D

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Slan & Slainte! Connistes, l'avenir vous appartient!
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