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| Auteur: | Nikita [ 25 Déc 2004 13:33 ] |
| Sujet du message: | Bio Sylvester Stallone |
SYLVESTER STALLONE Incarnation malgré lui du nanar à grand spectacle, Sylvester Enzio Stallone est né le 6 juillet 1946 à New York. Malgré une légère paralysie faciale due à un accident de naissance, le jeune Sylvester vise une carrière de comédien ; il apprend son métier à l’université de Miami et retourne ensuite tenter sa chance à New York. Ses débuts sont difficiles : entre deux pièces de théâtre off-broadway, il vivote de petits boulots et tourne pour une poignée de cents un porno-soft minable, « A party at Kitty and Stud’s », qui ressortira des années plus tard sous le titre de « L’Etalon italien », pour profiter de sa gloire nouvellement acquise. Sylvester fait petit à petit son chemin, s’imposant dans des rôles de plus en plus importants, jouant notamment des personnages de gangsters et de voyous. On le remarque notamment en méchant dans le désopilant « Les Seigneurs de la route/ La Course à la mort de l'an 2000 », où il se fait corriger par David Carradine. A noter que beaucoup des films où il tenait de petits rôles ressortiront également en l’annonçant en vedette. Mais Sylvester a dans sa manche un atout qui lui permettra de sortir du rang : le scénario de «Rocky ». Ce touchant mélodrame sportif attire en 1976 l’intérêt de Hollywood, et Stallone va parvenir à s’imposer dans le rôle-titre. Le film est un triomphe, et le monde entier applaudit Sylvester Stallone, qui se révèle un acteur fort convaincant dans un rôle écrit par et pour lui. Nominé pour l’Oscar du meilleur acteur, il remportera finalement…celui du meilleur scénario ! Stallone est allé au bout de ses rêves, là où la raison s’achève : la voie royale s’ouvre à lui. Privilège des nouvelles stars, il devient réalisateur avec « La Taverne de l’enfer », drame plutôt apprécié de la critique. Il tient des rôles dans de nombreux films à gros budgets : syndicaliste véreux dans « FIST », flic de choc dans «Les Faucons de la nuit ». A la demande générale, il réalise et interprète « Rocky II : la revanche », où son personnage devient enfin champion du monde. En 1982, un nouveau personnage lui vaut un triomphe : dans « Rambo », Sylvester fait merveille en ancien du Viêt-nam déboussolé qui, face à l’injustice, retourne à ses instincts meurtriers. Mais la carrière de Stallone va se heurter à deux écueils : d’une part, il a, de son propre aveu, attrapé la grosse tête et perdu l’essentiel de sa capacité d’auto-critique ("J'étais persuadé que je pouvais faire un film en adaptant l'annuaire du téléphone, et que ça marcherait quand même!"), de l’autre, il a tendance à exploiter jusqu’à la lie les éléments de son succès, jusqu’à la caricature la plus épaisse et au ridicule le plus total. De symbole de la revanche des losers, Rocky va devenir l'emblème du nanar sportif. Rambo, image de la détresse d'une génération, devient un cliché patriotique beuglard. Avant de se lancer dans la réalisation d’un film musical peu convaincant, « Staying alive », où il ne fait qu’une apparition, Sylvester tourne « Rocky III » qui, sans être honteux, fait basculer sa création originelle dans le bourrin le plus total. Le pire est à venir avec « Rambo II : la mission », où son personnage retourne au Viêt-nam pour re-gagner la guerre à lui tout seul et « Rocky IV », où il affronte le soviétique Dolph Lundgren dans un délire patriotico-débile totalement hilarant. Les muscles hypertrophiés, le visage crispé, Stallone devient une caricature de lui-même : son jeu d’acteur s’en ressent, et il devient un habitué des «Razzie awards » (les anti-Oscars récompensant les pires professionnels du cinéma). Il n'y a qu'a voir des films comme "Hot Shots 2" pour se rendre compte à quel point la série des Rambo a pu devenir une incitation à la parodie. Sa relation avec les médias et une partie de l’opinion s’envenime : on le vilipende comme incarnation du reaganisme (lui qui incarnait le rêve de revanche des prolos), on raille ses capacités de comédien. Son mariage tapageur avec Brigitte Nielsen, suivi d’un rapide divorce, lui attire les quolibets. C’est à ce moment que le box-office commence à le lâcher : le polar ultra-violent « Cobra » est un échec, comme le mélo sportif « Over the top », grâce auquel il espérait retrouver une image plus familiale. Ses films suivants n’auront pas davantage de succès : Stallone s’est trop caricaturé pour continuer d’être pris au sérieux. « Rambo III », où il part chasser les Soviets d’Afghanistan, aura la malchance de sortir au moment du désengagement de l’URSS ! Mauvais timing… Sa tentative de se reconvertir, comme Schwarzenegger, en acteur comique (« L'Embrouille est dans le sac » - remake d'« Oscar », avec De Funès ! - et « Arrête ou ma mère va tirer ») sera un vrai désastre. Une tentative de ramener Rocky à ses racines réalistes dans un cinquième épisode ne convaincra pas davantage. Retrouvant le succès avec «Cliffhanger » en 1992, Stallone se voit cependant supplanté par son rival en body-building Arnold Schwarzenegger. Il connaît une série de demi-succès («Demolition man ») et de vrais échecs (« Judge Dredd »). « Copland », où il tient un rôle de composition, remporte un succès d’estime mais ne suffit pas à relancer sa carrière, et « Get Carter », polar de prestige, est un flop. «Driven» ne fait que confirmer qu'après la cata de "Rocky IV" et celle d'"Over the top", Sylvester reste le roi du nanar sportif. Il en arrive même à évoquer un vague et improbable sixième épisode de Rocky... Sylvester Stallone a eu la malchance de mal exploiter son image de vedette, jusqu’à la faire sombrer dans le nanar le plus parfait. Dommage, car ses débuts indiquent qu’il méritait mieux et l’homme, lucide et intelligent dans son analyse de sa filmographie, attire la sympathie. Mais tant mieux pour Nanarland et les amateurs de mauvais cinéma du monde entier : s’il a déçu les cinéphiles, Sylvester aura fait faire quelques pas de géants à la cause du nanar ! Nikita. Filmo complète : 1970 - Love and other strangers 1970 - The out-of-towners 1970 - L'Etalon italien (A Party at Kitty and Stud's / The Italian Stallion) 1971 - Bananas 1971 - Klute 1974 - The Lord of Flatbush 1975 - No Place to Hide 1975 - Capone 1975 - Les Seigneurs de la route/ La Course à la mort de l'an 2000 (Death Race 2000) 1975 - Adieu ma jolie (Farewell, My Lovely) 1976 - Cannonball 1976 - Rocky 1978 - F.I.S.T. 1978 - La Taverne de l'enfer (Paradise alley) 1979 - Rocky II : la revanche 1981 - A nous la victoire. (Victory) 1981 - Les Faucons de la nuit (Nighthawks) 1982 - Rambo (First blood) 1982 - Rocky III L'oeil du tigre 1983 - Staying alive 1984 - Rhinestone 1985 - Rambo II la mission 1985 - Rocky IV 1986 - Cobra 1987 - Over the Top 1988 - Rambo III 1989 - Haute sécurité (Lock Up) 1989 - Tango & Cash 1990 - Rocky V 1991 - L'Embrouille est dans le sac (Oscar) 1992 - Arrête ou ma mère va tirer ! 1993 - Cliffhanger 1993 - Demolition Man 1994 - L'Expert 1995 - Assassins 1995 - Judge Dredd 1996 - Daylight 1997 - Cop Land 1998 - Fourmiz (Antz) 2000 - Get Carter 2001 - Driven 2002 - D-Tox, compte à rebours mortel (Eye see you) 2002 - Avenging Angelo 2003 - Mission 3-D (Spy Kids 3) 2003 - Taxi 3 2003 - Shade 2004 - The Contender (série télé) 2005 - Notorious |
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| Auteur: | John Nada [ 25 Déc 2004 17:43 ] |
| Sujet du message: | |
Excellent
Je me suis permis d'éditer ton post pour corriger de petites coquilles Comme tu est perfectionniste je sais que tu ne m'en voudras pas si je te suggère quelques conseils : --> pour assurer le lien avec le contenu du site, tu pourrais glisser une phrase ou deux mettant l'accent sur le fait que Sly incarne à merveille la catégorie "nanar sportif" (qui va être détachée du musical), dont il est une sorte d'icône avec la série des Rocky (tu ne parles pas du 5 mais c'est vrai que c'est pas forcément utile), Over the top, Cliffhanger, Driven... --> tu pourrais évoquer brièvement à la fin le fait qu'il compte toujours plus ou moins sur un Rocky 6 et un Rambo 4 pour relancer sa carrière --> il faudrait pouvoir trouver quelques citations parce qu'effectivement Sly est généralement sincère et lucide et il a donné quelques interviews mémorables. Je me souviens par exemple que dans sa phase "grosse tête", il déclarait crânement qu'il avait decidé de freiner la muscu après s'être vu dans Demolition Man, en précisant un truc du genre "j'avais tellement de poitrine, on aurait dit une gonzesse !". Au sujet de Tango & Cash, tentative infructueuse pour casser son image de chevelu braillard à la John Rambo (il a les cheveux courts et de fines lunettes), il me semble qu'il racontait qu'il s'était glissé en douce, incognito, dans un cinéma le projetant, n'y trouvant que deux gamins faisant probablement l'école buissonière, un vieil asthmatique et une mama noire allaitant son bébé. Il avait alors faili tout arrêter ! --> se lancer dans la comédie, c'était également pour tenter de casser son image de gros costaud beuglard. C'est drôle de voir que comme Schwarzy, le public ne s'y est pas retrouvé, sauf que les comédies d'Arnold étaient quand même un peu moins catastrophiques (Un flic à la meternelle, Junior et La course au jouet) --> Pour ce qui est de l'apport au nanar, c'est clair qu'il n'y a qu'a voir des films comme Hot Shots pour se rendre compte à quel point un film comme Rambo 2 est une incitation à la parodie. |
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| Auteur: | --gallu-- [ 23 Jan 2007 20:57 ] |
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Yop ! Je me permets de faire remonter ce sujet pour vous présenter un chti travail (à la veille de la sortie de Rocky Balboa, s'il vous plait) : un dossier, film par film, nanar après nanar, navet après navet, de la bio de Sly : http://www.krinein.com/cinema/Dossier-S ... -5706.html C'était long, mais c'était bon ! |
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| Auteur: | Marty [ 23 Jan 2007 23:51 ] |
| Sujet du message: | |
"Quel post vais-je choisir pour débuter sur ce forum ?" Voilà la question que je me suis posé en m'inscrivant ici après avoir dévoré les chroniques de nanarland.com Et voilà que je tombe sur ce post qui veut, tant bien que mal, me convaincre que Stallone est un habitué des "nanars sportifs". Ni une ni deux, mon sang monte à mes joues, ma paupière se crispe à la manière d'Amandine Poulain, née Fouet (ceux qui ont vu comprendront), et un peu cri étouffé par mes lèvres gercées par le froid fait saursauter mon chien qui dors à côté de moi. Flute ! Saperlipopette, zut et re-zut ! Non, je ne peux pas laisser quelqu'un démolir la carrière de Stallone sans réagir. Laisser quelqu'un démolir des films comme "Over The Top" ou "Demolition Man". C'est une question de principe. Commençons par "Over The Top". L'histoire d'un père, routard et rejeté par son beau-père et qui noie son chagrin dans le bitume des routes américaines. Bien obligé de s'occuper de son fils à la demande de sa femme mourante, il l'entraînera dans le dur monde des camioneurs et de sa passion pour le bras de fer. Ce solitaire apprendra alors à connaitre son fils révolté par l'absence de ce bonhomme qu'il hésite à appeler "papa". "Over The Top" permet de dévoiler une nouvelle facette du jeu d'acteur de Stallone que je trouve, désolé de le dire, plutôt bon dans son rôle. Je le trouve à la fois maladroit et protecteur. Aidé par une B.O des plus éfficace, ce film, si il ne renverse pas les barrières du monde du cinéma américain des années 80, à le mérite d'offir un bon divertissement. Lors du tournoi de bras de fer, réaliste par ses nombreuses prises de vues de vrais combats, on se surprend presque à vouloir qu'il gagne et qu'il remporte son beau camion rouge (qui est surperbe au passage !). Ensuite pour "Demolition Man". Là je pense qu'il faut inclure la notion de dérision et de second degré. D.M est à la fois une carricature de la violence des années 80 et 90 que Sandra Bullock trouve divertissante et une carricature à l'extrême de ce que pourrait devenir un monde sans aucune violence et ou tout excès est contrôlé. Ce paradoxe offre des scènes amusantes (comme lorsque les flics du futur veulent arrêter Wesley Snippes). Je ne vois pas ce qui pourrait faire croire que ce film est un nanar. Je veux des explications ! |
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| Auteur: | Philby [ 24 Jan 2007 23:09 ] |
| Sujet du message: | |
J'ai gardé un bon souvenir de "La Taverne De L'Enfer" (vu sur la Cinq en 88 ou 89 plutôt). Surtout, ce film commence avec l'ouverture des films Universal des années 35-36, c'est-à-dire avec un avion qui vole autour de la terre en rotation. C'était la première fois que je voyais ça. |
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| Auteur: | John Nada [ 25 Jan 2007 9:23 ] |
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Marty a écrit: "Quel post vais-je choisir pour débuter sur ce forum ?"
Voilà la question que je me suis posé en m'inscrivant ici après avoir dévoré les chroniques de nanarland.com Et voilà que je tombe sur ce post qui veut, tant bien que mal, me convaincre que Stallone est un habitué des "nanars sportifs". Ni une ni deux, mon sang monte à mes joues, ma paupière se crispe à la manière d'Amandine Poulain, née Fouet (ceux qui ont vu comprendront), et un peu cri étouffé par mes lèvres gercées par le froid fait saursauter mon chien qui dors à côté de moi. Flute ! Saperlipopette, zut et re-zut ! Non, je ne peux pas laisser quelqu'un démolir la carrière de Stallone sans réagir. Laisser quelqu'un démolir des films comme "Over The Top" ou "Demolition Man". C'est une question de principe. Commençons par "Over The Top". L'histoire d'un père, routard et rejeté par son beau-père et qui noie son chagrin dans le bitume des routes américaines. Bien obligé de s'occuper de son fils à la demande de sa femme mourante, il l'entraînera dans le dur monde des camioneurs et de sa passion pour le bras de fer. Ce solitaire apprendra alors à connaitre son fils révolté par l'absence de ce bonhomme qu'il hésite à appeler "papa". "Over The Top" permet de dévoiler une nouvelle facette du jeu d'acteur de Stallone que je trouve, désolé de le dire, plutôt bon dans son rôle. Je le trouve à la fois maladroit et protecteur. Aidé par une B.O des plus éfficace, ce film, si il ne renverse pas les barrières du monde du cinéma américain des années 80, à le mérite d'offir un bon divertissement. Lors du tournoi de bras de fer, réaliste par ses nombreuses prises de vues de vrais combats, on se surprend presque à vouloir qu'il gagne et qu'il remporte son beau camion rouge (qui est surperbe au passage !). Ensuite pour "Demolition Man". Là je pense qu'il faut inclure la notion de dérision et de second degré. D.M est à la fois une carricature de la violence des années 80 et 90 que Sandra Bullock trouve divertissante et une carricature à l'extrême de ce que pourrait devenir un monde sans aucune violence et ou tout excès est contrôlé. Ce paradoxe offre des scènes amusantes (comme lorsque les flics du futur veulent arrêter Wesley Snippes). Je ne vois pas ce qui pourrait faire croire que ce film est un nanar. Je veux des explications ! Pour Demolition Man, je suis tout à fait d'accord : le film se range un peu pour moi dans la catégorie "films bourrins bas du front mais qui s'assument pleinement" (comme Commando avec Schwarzy) et s'avère un très bon divertissement. Maintenant, si Stallone incarne selon nous (ou à tout le moins selon moi) le nanar sportif, c'est surtout dans la mesure où c'est lui qui en a établi les codes avec la série des Rocky (le 1er est certes un très bon film, le 2nd est encore honnête, le 3 commence à vraiment déconner, le 4 est l'archétype même du gros nanar sportif qui tache, le 5 vire au navet et le 6, tout maladroit qu'il est, cherche le rachat pataud est au final touchant du public). Stallone a touché à plusieurs styles (l'action bourrine bien sûr, la comédie relou - le consternant Arrête ou ma mère va tirer, le remake d'Oscar avec Louis de Funès) mais est régulièrement revenu au genre qu'il affectionne le plus : l'épopée sportive. Over the Top n'est pas le pire (Stallone lui même le juge assez sévèrement - plus parce qu'il a assez mal marché qu'autre chose d'ailleurs), mais comment défendre un film comme Driven... |
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| Auteur: | Nikita [ 25 Jan 2007 9:39 ] |
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Marty a écrit: [i]
Ensuite pour "Demolition Man". Là je pense qu'il faut inclure la notion de dérision et de second degré. D.M est à la fois une carricature de la violence des années 80 et 90 que Sandra Bullock trouve divertissante et une carricature à l'extrême de ce que pourrait devenir un monde sans aucune violence et ou tout excès est contrôlé. Ce paradoxe offre des scènes amusantes (comme lorsque les flics du futur veulent arrêter Wesley Snippes). Je ne vois pas ce qui pourrait faire croire que ce film est un nanar. Je veux des explications ! Bon, un petit rappel historique : cette bio était l'une des premières du site. Elle faisait à l'origine trois lignes (véridique) et j'ai donc pris sur moi il y a deux ans de la réécrire pour qu'elle soit d'équerre avec l'évolution du site. Maintenant, sur le contenu, je n'ai pas dit spécialement de mal de "Demolition man", que j'ai trouvé assez rigolo (mais il faudrait que je le revoie). Je ne fais que le qualifier de "demi-succès", ce qui est strictement vrai d'un point de vue commercial. Le film a fait un score moyen en regard de son budget. Par ailleurs, la bio a été légèrement remise à jour sur le site à la lumière de la sortie de "Rocky Balboa". |
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| Auteur: | pytheas [ 25 Jan 2007 19:36 ] |
| Sujet du message: | |
la bio est bonne mais je suis trés surpris de ne voir aucune ligne dans la categorie sportive de " à nous la victoire ", une prestation digne de steve mac queen et gregory coupet reunis... bon, je...
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| Auteur: | Karate Ninja [ 25 Jan 2007 22:01 ] |
| Sujet du message: | |
pytheas a écrit: la bio est bonne mais je suis trés surpris de ne voir aucune ligne dans la categorie sportive de " à nous la victoire ", une prestation digne de steve mac queen et gregory coupet reunis...
bon, je... ![]() Sa prestation d'étasunien découvrant le football (association) est très convaincante |
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| Auteur: | Kobal [ 26 Jan 2007 16:48 ] |
| Sujet du message: | |
Je défends de même Demolition Man, honnête actiner qui se paie le luxe d'un peu d'auto-dérision (et puis, cette fulgurance de la prévision politique américaine reste dabs les mémoires). Over the top est quand même un peu ridicule, cette histoire de gros bênet qui veut à tout prix gagner son tracteur sur fond de drame familial s'approche de trop près de multiples clichés qui le rendent plus comique qu'autre chose. Après, il ne s'agit pas de dénigrer tout ce qu'a pu faire Sly, loin de là (je me pose en partisan du dernier Rocky et je trouve que First Blood est un excellent film), mais bon, Rambo 2, Rocky IV, Judge Dredd, merde quoi... |
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| Auteur: | wallflowers [ 29 Jan 2007 14:49 ] |
| Sujet du message: | |
idem, on cotois le pire (driven, l'affaire est dans le sac, arrête ou ma mère va tirer, rocky 4, rambo 3, over the top, cobra) et le "plutôt pas mal" (rocky, daylight, demolition man, tango et cash, copland etc...) pour moi, Stallone c'est un type qui n'a pas vraiment su gerer sa carrière au top pendant 30 ans (mais qui l'a fait ?) |
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| Auteur: | NinjaCop [ 03 Mars 2007 17:10 ] |
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moi j'ai adoré tous ces films, et je trouve que les suites sont la continuité, ca me plaisait en général, le pire que j'ai vu de lui est Mafia Love ! CopLand est phénoménal , un des plus beaux films je trouve, en tout cas ce gars m'a fait rever dans ma jeunesse |
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| Auteur: | slater74 [ 30 Juil 2025 21:17 ] |
| Sujet du message: | Re: Bio Sylvester Stallone |
J'ai appris récemment qu'en 1976, Sylvester Stallone avait été le second choix pour incarner le rôle principal aux côté d'une Lynda Carter débutante dans le film "Bobbie Jo and the Outlaw" au cas où Marjoe Gortner se serait désisté, ce qui ne fut pas le cas. Et donc, de même qu'il existe une réalité alternative où Eric Stoltz est l'acteur principal de "Retour Vers le Futur", il y en a une autre où Wonder Woman a des scènes de nu avec Rambo à la place du héros de Star Crash. Vous avez dit "mind fuck"?
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| Auteur: | Tony Le Pouilleux [ 02 Août 2025 15:13 ] |
| Sujet du message: | Re: Bio Sylvester Stallone |
J'ai récemment regardé Mausoleum et suis donc présentement en train de remplacer Marjoe Gortner dans ce film par ce bon vieux Sly. |
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