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Nouvelle chronique en ligne, signée Kobal : https://www.nanarland.com/chroniques/na ... gypsy.html

Des 5 films de Amir Shervan tournés aux Etats-Unis, c'est le seul à n'être pas sorti en France. Il n'est même pas sorti en VHS ou DVD aux US, et à vrai dire on pensait ne jamais pouvoir le voir un jour.


Cerise sur le gâteau du WTF : le pisteur indien embauché par les marlous d'Houston se la joue tata à l'ancienne, tout en minauderie efféminée. Son phrasé caricatural à la peau-rouge de chez Lucky Luke achève le tout.


Un homosexuel nanar dans "Samuraï Cop" : quelques instants de détente pour le spectateur, avant la baston.

C'est le même acteur, et je crois que c'et également lui qui jouait le médecin dans Killing American Style / American Murder.

Le sherif de la jaquette ressemble à un mix entre Bébel et John Wayne.

Cool ! J'attendais cette chro avec impatience et elle met l'eau à la bouche (je n'ai pas encore maté le film).
Amir (avec un A comme Auteur) rejoint définitivement Cetin Inanç, Andy Sidaris, Neil Breen et Bruno Mattei comme valeur sûre du nanar.
Stuart Whitman a décidément cachetonné dans des trucs bien Z, entre ça et "Reactor"...

Vraiment impressionnant la tronche des acteurs !

Par contre, Lonie Roma était vraiment mignonne.

Merci pour cette nouvelle chronique. Je regrette que ce film ne soit pas gratiné d'une bonne petite VF.
Malgré le magnifique étalage de tronche pas possible qu'on peut voir, je dois avouer que la chose qui me fascine le plus c'est ça :

Je comprends bien que ça incite plus à cliquer que l'image d'origine, mais quand même, paye ton truc sans rapport.
Il n'empêche que c'est en effet génial.

J'avais pas reconnu Harold Diamond dans RAMBO III. Par contre, ses quelques scènes dans PICASSO TRIGGER d'Andy Sidaris sont énormes (surtout quand il joue la surprise) et le fait qu'il soit cette fois le héros du film fait carrément rêver.

Oui, Harold Diamond est effectivement une incarnation vivante de fantasme de nanardeur. Il était déjà le héros de "American Murder" d'Amir Shervan, dans lequel il portait déjà un débardeur au décolleté vertigineux.