Ces indigènes ont beau être hostiles et agressifs, on en vient à les prendre en pitié tant ils sont victimes des quolibets racistes de la part de tous les personnages, y compris des adversaires de Dar qui surgissent tels des Dieux hors de leur machine pour le sauver de son exécution tribale, en paiement d'une soit-disant dette d'honneur.

En effet, difficile de conserver sa contenance face à un acrobate tête à claque maquillé comme pour un concert de Marillon et à une pseudo-enchanteresse spécialisée en transformation de gens en animaux.

J'ai repéré quelques p'tites fautes au détour de ma lecture :



soi-disant



Marillion

Mar contre, je ne vois pas ce qui vous fait dire que Ruh est un lion...

C'était très clair dans la chronique, c'est plutôt moi qui ne l'étais pas vraiment. C'est le passage "Ruh est particulièrement genderfluid voire speciefluid et refuse d’être catalogué dans une identité précise" qui m'a rappelé le type d'internet qui n'est pas content quand on l'appelle monsieur "qu'est-ce qui vous fait dire que je suis un homme".

Entre l'époque où les océans ont englouti les vidéo clubs et l'avènement des fils de la VOD, il y eut une période de l'Histoire fort peu connue dans laquelle vécut Dar, destiné à poser la couronne de seigneur des bêtes, ornée de l'œil de Braxus, sur un front troublé. C'est nous Kobal et Rico, ses chroniqueurs, qui seuls pouvons raconter son épopée. Laissez-nous vous narrrer ces jours de grandes aventures.

Par contre, à l'arrivée de Braxus, c'est mort. Là c'est gros nanar sans porte de sortie. Mais pourquoi ce costume à la con ? Un bodybuilder avec une grosse épée et un genre de casque en forme de crâne, ça coûtait sûrement moins cher, ça pouvait donner un semblant de vrai combat à l'épée et la crédibilité du film était un peu épargnée. On se demande quand même ce qui leur passe (ou pas) par la tête des fois. Mais c'est aussi à ce genre de chose qu'on reconnait un vrai nanar.