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Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones
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Auteur:  John Nada [ 16 Mai 2022 7:38 ]
Sujet du message:  Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

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Il fallait bien que Nanarland aborde un jour le cas de Robert Kovacs, alias Robert Bronzi, improbable sosie hongrois de feu-Charles Bronson. C'est désormais chose faite.

https://www.nanarland.com/chroniques/na ... rland.html

Auteur:  JACK TILLMAN [ 16 Mai 2022 10:38 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

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Wouah ! Ca fait envie ! :worship:

Je ne connaissais pas du tout Robert Kovacs, c'est vrai qu'on se croirait transportés au temps des La revanche avec Robert "presque Shwarzy" Pentz et des The Intruder avec Peter "quasi-Stallone" O'Brian. De la pure exploitation bisseuse à l'ancienne. The Asylum et consorts feraient mieux de revenir à ce genre de rip-off premier degré plutôt que s'obstiner dans leurs délires à base de requins.

Auteur:  Stryker [ 16 Mai 2022 13:24 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Ca m'a effectivement l'air d'être une belle nazerie qui vaut le détour, surtout avec son côté décomplexé.

Ce qui semble bizarre à première vue, c'est que par certains aspects ça semble réalisé au deuxième degré (le sosie de Bronson, les matons qui ont des noms de réalisateur ayant travaillé avec lui...), mais par d'autres aspects ça semble se prendre au sérieux.

Auteur:  John Nada [ 16 Mai 2022 14:31 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Le sujet étant riche, j'en ai profité pour rédiger une notule pour le glossaire :

https://www.nanarland.com/glossaire/s-c ... a-bis.html

Auteur:  JACK TILLMAN [ 16 Mai 2022 16:40 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

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"Factice", c'est le cas de le dire. :lol:

Peut-être à ajouter, soit dans la définition de "sosie", soit dans celle de "fils de", Aaron Norris, frère cadet de Chuck, dont il a réalisé certains films, qui a décidé en 1996 (crise de la cinquantaine ?) de carrément marcher sur les plates bandes de son frangin en jouant les faux Chuck Norris dans le direct-to-video d'action tout pourri Overkill :

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un film dans lequel il affronte un sosie de Billy Blanks

Et sinon, comme autre sosie de Chuck, il y a Massimo Vanni alias Alex McBride :

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Ici dans Robowar.

Et puis, pour les sosies nanars de figures historiques, on peut ajouter ceux des nanars propagandistes de Mikhaïl Tchiaourelli :

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Staline et Hitler dans La chute de Berlin (1949).

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Le fourbe Boukharine, le vilain général Paulus et un autre Hitler gratiné dans Le serment (1946).

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Churchill, David Loyd George, Woodrow Wilson et Clémenceau, méchants nanars dans L'inoubliable année 1919 (1951).


Je viens de regarder Escape from Death Block 13 (merci John :wink: ) et c'est un petit nanar sympathique de crétinerie. On navigue entre nanardise à l'ancienne (avec même une chute de mannequin en mousse) et nanardise actuelle (jets de sang en CGI moches, explosions en CGI moches, pigeons en CGI moches, cafards en CGI moches, bullet time en CGI moches…). Je trouve que Kovacs est quand même un sosie assez bluffant, même en gros plan (le visage, la carrure, la taille…). Bon, pour le charisme et le talent, c'est autre chose, c'est sûr, et c'est là qu'on atteint des cimes de margoulinerie nanarde. A part une ou deux répliques (les taulards qui lancent "Eh les mecs, on a une star de cinéma parmi nous !" à l'arrivée de Bronzi), tout le film baigne dans un perpétuel premier degré qui fait plaisir. Pas du tout un nanar méta pour le coup, mais au contraire du bon vieux nanar d'exploitation pur et dur. Un film qui a aussi la qualité de donner envie de revoir les films de Charles Bronson. Merci à Nanarland pour ce genre de découverte au concept délirant.

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Robert Bronzi dans "Devine qui j'imite".

Auteur:  Cyborg [ 16 Mai 2022 18:23 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Je passe toujours par le forum et donc là j'ai d'abord eu l'affiche avec un moustachu (j'ai pas percuté sur le moment) pas content qui apparemment défouraille tout ce qui bouge et le gif du message de Jack, de quoi se mettre bien dans l'ambiance.

Merci de m'avoir fait découvrir ce film et l'existence de Robert Bronzi.

C'est vrai que sous certains angles et avec certaines tenues, la ressemblance avec Charles est assez bluffante. D'autres par contre, ça marche beaucoup moins bien.

Je trouve ça surprenant comme concept. Bronson, même moi quand j'étais gamin je connaissais vite fait grâce à mes parents qui avaient des westerns classiques, mais mes héros c'était Sly, Jean-Claude et compagnie. De nos jours, Bronson est certes un figure mythique du cinéma avec un style inoubliable, ne se limitant pas à avoir des balls en acier trempé, et en s’intéressant un peu au média il serait difficile de ne pas passer au moins sur un visuel de l'homme à l’harmonica, mais de là à surfer sur sa notoriété... Pourquoi pas Steve McQueen aussi.
Il serait plus logique d'avoir des sosies de Vin Diesel ou The Rock. Mais la logique et les producteurs de nanars...

Enfin, si ce monsieur Kovacs, qui donc a toujours aimé le monde du spectacle, peut en profiter, je suis bien content pour lui.


Citer:
Le Justicier braque les démons.
Excellent.

Auteur:  John Nada [ 16 Mai 2022 19:40 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

J'ai mis à jour les définitions de "fils de" et "sosies", merci beaucoup !

Auteur:  Stem [ 16 Mai 2022 20:01 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

En matière de sosies, il y a aussi le faux Tom Cruise de Dumbbells.

Auteur:  JACK TILLMAN [ 16 Mai 2022 22:13 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Cyborg a écrit:
Je trouve ça surprenant comme concept.

C'est vrai que c'est assez étonnant, d'ordinaire les producteurs margoulins surfent sur des trucs à la mode et ciblent moins les cinéphiles que les consommateurs de bourrinades lambda.

Stem a écrit:
En matière de sosies, il y a aussi le faux Tom Cruise de Dumbbells.

Ah oui, il est beau celui-là en effet !

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John Nada a écrit:
J'ai mis à jour les définitions de "fils de" et "sosies", merci beaucoup !

De rien, content d'avoir pu rendre service. :D

J'ai oublié de le signaler mais dans la définition de "fils de", le paragraphe consacré aux fils de John Wayne évoque Patrick et John Ethan mais oublie de mentionner Michael Wayne, producteur et figurant sur quelques films de son père puis éphémère vedette de deux séries Z d'action réalisées par David A. Prior dans les années 80 :

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Michael Wayne brandissant un splendide Laserforce nanar.

Auteur:  John Nada [ 17 Mai 2022 8:07 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

C'est ajouté, merci !

Auteur:  Cyborg [ 17 Mai 2022 16:02 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

JACK TILLMAN a écrit:
C'est vrai que c'est assez étonnant, d'ordinaire les producteurs margoulins surfent sur des trucs à la mode et ciblent moins les cinéphiles que les consommateurs de bourrinades lambda.
Ben ouais, on voit assez mal un cinéphile s’intéresser à Escape from Death Block 13. Surtout que plus le temps passe, plus le bon reste. Le nom de Charles Bronson est associé à des classiques du cinéma, de ces films qui traversent les générations. Il a aussi fait beaucoup de films de gros bourrin et aussi des nanars, mais ça aujourd’hui c'est plus un public de niche qui s’y intéresse. C'est assez contradictoire avec la volonté d'un film de margoulin qui logiquement va essayer de ratisser le plus large possible.

Auteur:  Buck Banzai [ 22 Mai 2022 18:12 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

J'adore comment son aventure cinématographique a démarré :

"Hé ! Tu es le sosie de Charles Bronson ! Fais tes valises, on part à Hollywood !
- Mais je n'ai jamais joué la comédie !
- T'inquiète, c'est juste un détail..."

Imaginez le même destin pour l'une de ces personnes : https://www.belinda-productions.com/spectacle_sosies-cinema_18.html (perso, j'ai un petit faible pour le sosie de Kad Merad)

Et pour en revenir au réalisateur Gary Jones, on dirait qu'il régresse techniquement (tout du moins à en voir les effets spéciaux). Franchement, j'adore au premier degré ses MOSQUITO, SPIDERS et CROCODILE 2. Ce sont des DTV vraiment funs et il avait du talent pour exploiter au maximum ses budgets modestes.

Auteur:  Stem [ 23 Mai 2022 6:32 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

En tout cas, la section "sosies" est vachement fournie. On peut littéralement parler de "lookalike-ploitation".

Auteur:  Stryker [ 24 Mai 2022 10:30 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Cela dit je n'aimerais pas toujours être à la place de ces sosies professionnels. Finalement, je n'aurais l'impression d'exister que grâce à l'existence de quelqu'un d'autre. :|

Auteur:  Kobal [ 28 Mai 2022 16:16 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

L'affiche de Rapid Fire est splendide ! :worship:

Pour ma part, gros kif devant ce Bronsonploitation (on l'a maté à plusieurs, ce qui est toujours une aide pour le film). Mon avis :

Comment ne pas s'émerveiller de voir que l'exploitation cinématographique de sosie se pratique encore de nos jours ? Bienvenue à la version hongroise de Charles Bronson, de son nom d'artiste Robert Bronzi ! Et faut reconnaitre qu'il y a une vraie similitude physique entre les 2 hommes. Heureusement, le jeu d'acteur saura distinguer le faux jumeau, dont la nullité lui donne constamment un air de sincérité innocente des plus fascinantes, surtout quand il est censé évoluer dans des milieux violents. Son interrogatoire par les flics donne l'impression que le mec est l'honnêteté incarnée, vierge de toute notion d'injustice, c'est génial.

La 1ère partie de Escape from deathblock 13 est assez conventionnelle et recycle avec méticulosité tous les poncifs du film de taulard (les gangs, les gardiens tortionnaires, la directrice sadique...). Bon, tout le monde joue mal, les décors réels alternent de manière très étrange avec des fonds verts (des reshots alors que les locaux n'étaient plus dispo ?), y'a des inserts numériques dégueus en plus d'être gratuits (genre une camionnette en CGI qui passe inutilement dans la rue), la galerie de trognes est délicieuse et la gestion de la cour de promenade à la gatling est une idée à retenir. On ne s'ennuie pas, donc.

Et puis survient le plan d'évasion. Le film se révèle alors pleinement et démarre un festival nanar ininterrompu jusqu'à son explosion finale mythique. Les bastons semblent opposer des trolls qui se tapent à gros coups de mandales, avec même la survenue incongrue d'une sorte de maton mini-boss. La mutinerie et ses effets spéciaux péraves sur une réalisation bien zédarde offrent un rendu foisonnant qui convoque l'esprit de Jeff Leroy, ce qui de ma part est un compliment. C'est donc plein d'étoiles dans les yeux que l'on quitte Bronzi et son marteau souvenir à panne ronde. Merci Bob !

Auteur:  Stryker [ 29 Mai 2022 9:07 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Ce n'est peut-être qu'un détail, mais la chemisette de notre Bronson hongrois me fait penser à celle de Bruce Willis dans les premiers Die Hard.

Auteur:  JACK TILLMAN [ 02 Sep 2022 0:34 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

A ajouter à la définition de sosies : Roy Morton, acteur américain qui joue le méchant de Psycho a Go-Go, premier film d'Al Adamson et seul film de l'acteur, faux frère jumeau de Jack Nicholson. Le film datant de 1965 et Jack Nicholson n'étant pas encore connu à l'époque, ce n'est donc pas volontaire, mais le film a par la suite acquis une certaine notoriété dans la filmo d'Al Adamson du fait de cette ressemblance. Le film sera d'ailleurs remonté en 1967 pour devenir The Man With The Synthetic Brain, puis ressortira sous un nouveau montage en 1972 pour devenir Blood of Ghastly Horror.

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Auteur:  Stem [ 02 Sep 2022 7:54 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Au rayon des sosies involontaires on peut également ajouter:

-Un croisement entre John Cleese et Hercule Poirot dans le Staline-ploitation "L'inoubliable année 1919".
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-Le mix entre Spock et le Dr Denfert dans "Frankenstein meets the space monster".
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Auteur:  Orphée [ 02 Sep 2022 11:38 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

À gauche sur la dernière,on dirait Éric Judor.

Auteur:  thomascinema [ 01 Mai 2023 14:22 ]
Sujet du message:  Re: Escape from Death Block 13 (2021) Gary Jones

Suite à la lecture de la chronique du film « Escape from Death Block 13 », j'aurais souhaité revenir plus en détail sur ce qui avait été dit sur le manque de qualité ainsi que les limites aussi frappantes qu'un coup de poing asséné en pleine figure (selon les commentaires mentionnés dans celle-ci) de l'interprétation de son « héros », Robert Bronzi (ou Kovacs, pour reprendre son vrai nom). Et, surtout, de la comparaison avec celui dont il est le sosie frappant : Charles Bronson.
Pour reprendre les commentaires en question : « ... même avec la meilleure volonté du monde, Bronzi n’arrive pas à la cheville d’une boule de charisme comme Bronson. Même quand il est mutique, il ne dégage aucun magnétisme, aucune intensité dramatique. Là où Bronson vous transperçait de son regard pénétrant, Bronzi affiche un air placide, pour ne pas dire bovin. Là où Bronson, incarnation du taiseux viril, intériorisait beaucoup, exprimant parfois une colère rentrée, sourde, comme une bombe sur le point d’exploser, Bronzi a juste l’air d’une grosse coquille vide qui peine à exprimer quoi que ce soit. Au fond des yeux de Bronson, taillés en fente comme ceux d'un félin à l'affût, il y avait toujours cette lueur intense, qui pouvait cacher quelque insondable mystère (Le Passager de la pluie), un lourd secret, une détermination (Il était une fois dans l’Ouest), une profonde mélancolie (La Cité de la violence), une espiègle ironie. Dans le regard de Rantanplan de Bronzi, il n’y a que cette lourde interrogation : c’est quoi que je dois faire ? C’est quoi mon texte ? Quand c’est qu’on mange ? ».
Si tous les qualificatifs (pour ne pas dire compliments, voire louanges adresser à ce dernier et même si ceux-ci sont certainement mérités, tout au moins pour les rôles mentionnés ci-dessus, il n'est toutefois pas inutile (et peut-être même important) de souligner qu'ils s'appliquent (sans doute uniquement) au Bronson de la grande époque (celle des années 60 et 70). Le Charles Bronson des années 80 (sans même parler de celui des années 90) ayant, en effet, perdu une (très) grande partie partie de son charisme ainsi que de son talent avec le passage dans les années Reagan.
La chronique du « Justicier de New York » en apporte la preuve : « Le jeu d’acteur de Charles Bronson semble également avoir subi une canicule de trop. S’il n’hésite pas à mouiller la chemise dans les scènes d’action, le moins que l’on puisse dire est qu’il ne donne pas le meilleur de lui-même lorsqu’il s’agit d’être expressif. Sans demander du Stuart Smith non plus (c’est pas vraiment le style de Bronson), ça va un peu loin dans le côté "homme meurtri mais fort qui refuse de laisser transparaître ses émotions". Ainsi, il restera absolument sans réaction face à la mort de sa bien-aimée. Pas de serments de vengeance éplorés, même pas un bon cri viril de mâle blessé, à peine les poings serrés et la mâchoire crispée de l’homme qui sait ce qui lui reste à faire (et encore on ne voit pas bien, il est de dos). »
Une époque dont il allait devenir (plus ou moins « à son corps défendant) l'une des figures marquantes (mais pas vraiment dans le bon sens du terme, principalement (mais pas seulement) à travers les (tro) nombreuses suites du Justicier Dans La Ville. Devenir l'un des nouveaux acteurs phares de la Cannon du tandem des cousins israéliens Golan et Globus est une gloire dont, à lire ce qui a été écrit (ou, parfois, sous-entendu), y compris sur Nanarland même, a posteriori, Bronson se serait finalement sans doute passé. Ceux-ci n'ayant été pour lui que des rôles alimentaires, le principal (voire le seul vrai bénéfice) pour lui avec ce rôle du vigilante (qu'il s'appelle Paul Kersey ou autre) étant, en effet, (comme il l'a avouer lui-même en interviews) de pouvoir payer ses impôts et son verre de whisky quotidien.
J'ignore si John Nada, l'auteur de la chronique d' « Escape from Death Block 13 » avait (re)lu la chronique de Barracuda sur « Le Jusiciter de New York » mais il aurait probablement dû. Si cela avait été le cas, je me demande s'il aurait écrit la même chose concernant la comparaison entre le jeux d'acteur de Bronson ainsi que celui de son « pseudo-successeur à peine non officiel ». (Ceci dit sans trop vouloir le vexer, à moins qu'il ne soit un admirateur inconditionnel de Charles Bronson et qu'il est regardé au moins vingt-cinq fois « Il était une fois dans l'ouest ». Ce qui serait aisément compréhensible et acceptable. Ce qui rappelle aussi que la notion de talent ou de non-talent ainsi que les critères pour juger de l'un comme de l'autre) sont des notions parfois très sujectives).

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