Merci pour cette excellente chronique d'un Chuck Norris en plein dans sa période gauchiste des années Clinton : l'époque où même Chuck, n'ayant plus de communistes à tataner, maravait des néo-nazis et des bucherons rednecks pollueurs, tel un vulgaire écoterroriste antifa. Chuck menaçait dangereusement de virer altermondialiste, mais heureusement, chassez le naturel et il revient au galop avec
Walker Texas Ranger.
Les deux seuls films dans lesquels Chuck joue bien en sortant de son registre habituel sont
Héros et
Le Temple d'Or. Ici, il est clairement moins à l'aise avec son clébard, même s'il fait encore le taf qu'on attend du Chuck.
PS : la chronique s'est retrouvée perdue dans la section "nanars d'action" (alors que je présume qu'elle allait dans la catégorie "pur et dur").

Edit : j'ai particulièrement apprécié le paragraphe sur le "flic à l'ancienne".