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http://www.nanarland.com/Chroniques/Mai ... dunnotaire

A mon sens le meilleur des 5 premiers films de Jean-Marie (en attendant la prochaine fournée de 5) ré-édités par Le Chat qui fume, je lui ai mis 4 sans hésiter (on compte en balancer un extrait à la prochaine NE). Le doublage est hallucinant (le film ayant été tourné sans le son).

Roooh dis donc, celui-là j'étais tombé dessus tout gamin, il était plus ou moins planqué au milieu des K7 de mon oncle. En tout cas, un film qui éclaire d'un jour nouveau les paroles de Brassens : "trempe, trempe ta plume, ô mon vieux tabellion". Mmmoui enfin faut voir... Ca se passe à Sète?

pourrais tu mettre un extrait ?

mais non ce n'est pas les images lubriques, c'est pour se rendre compte du doublage parce sinon ca a l'air quand meme un peu chiant...

disons que je trouve que la chronique est trop "sérieuse", tentant de justifier le fait que ce soit un film de boule soft. parler de thématique dans le cinema de pallardy, faut quand meme pas déconner ou alors je n'ai pas bien compris le sens de la chronique
je ne suis pas tres complaisant avec le cinema érotique 70's car je trouve que c'est souvent beaucoup de masturbation intellectuelle pour "jusfitier" une masturbation, celle là toute physique...

je peux trouver ridicules tous les films qui passaient après culture pub sur M6 mais de là à les qualifier de nanars...sinon on va commencer à critiquer des centaines de navets mal doublés avec des scénarios inexistants...

...euh, non je n'ai jamais regardé ces films, oubliez ce que je viens d'ecrire

par contre si le pallardy est du niveau du sadique aux dents rouge, je suis preneur

Nan, pas d'extrait avant la Nuit Excentrique !



Le ton est plus ironique que sérieux, mais oui, 1000 fois oui, il y a des thématiques récurrentes chez Pallardy, ce qui en fait bel et bien un auteur, pas un bon, certes, mais un "auteur" quand même. Si tu mates ses films et lis son livre, tu retrouveras énormément d'éléments récurrents sur la famille, les enfants, les trio amoureux etc.

Dans "Dossier érotique d'un notaire" :

une fille à une autre : "dommage que tu sois ma soeur"

le notaire à Pallardy " : "si j'ai bien compris, dommage qu'elle soit votre belle-soeur"

Dans le bouquin "Amours parallèles" que Pallardy tourne actuellement en Italie :

"dommage que je sois son oncle"

Dans "White fire" :

le perso joué par Bob Ginty à Ingrid : "dommage que tu sois ma soeur"

C'est troublant

Ce type doit avoir un gros complexe d'OEdipe mal résorbé, y'a pas, c'est toujours
la famille d'abord.

Je suggère un petit lien pour les 'tits jeunes comme moi qu'étions même pas nés
à cette époque.

La recuperation politique de cette affaire (et d'autres car elle n'est bien sure pas la seule) m'a toujours paru malsaine.

Ceci dit, la trame du film a l'air de ne s'en inspirer que vaguement.

Au fait, son film de 2000 avec Carradine, que vaut-il?

houlala quelle affaire tordue....
je connaissais de nom mais je n'avais jamais lu les détails...

le film de pallardy est surement plus léger que la version de TF1...

http://www.nanarland.com/onsestfaitavoi ... maitresses

Je suis le seul à trouver que, reprise pour la troisième fois, le descriptions de la restauration et des bonus de l'édition Chat qui Fume commence sérieusement à faire dépliant publicitaire????

Ben là c'est sûr qu'avec les chroniques mises en ligne à la suite, tu relis la même chose mais c'est parce que le descriptif des bonus (itw de Pallardy etc.) vaut pour chaque DVD, après t'es pas obligé de relire chaque fois la cote de rareté non plus. Faut penser qu'une fois que ces chroniques ne figureront plus sur la page d'accueil, les internautes y accèderont via des liens internes, au hasard de la navigation sur le site ou de requêtes via le moteur de recherche interne ou de google, donc on va pas mettre un lien renvoyant à chaque fois vers la cote de rareté de l'un ou de l'autre, c'est quand même plus simple comme ça non ?

(bon ok, j'avoue, tu nous as percés à jour : on a investi toutes nos économies dans les actions Le Chat qui fume, mais c'était avant la crise. La cote de Pallardy est assez stable depuis les années 70 mais bon, nous on espérait qu'elle grimperait et on a fait le forcing sur le site. On est un peu cons, on aurait dû miser sur Jean-François Davy...).

Le film a l'air vraiment bien, mais j'ai trouvé la chro un peu trop courte. Elle se termine vraiment de manière abrupte, ça fait bizarre.

Pour la cote de rareté, pas mieux que Nada. Elle est bien détaillée, et c'est un plus toujours agréable.

Effectivement, c'est l'un des films érotiques de Pallardy les plus nanars parmi ceux que j'ai vus. Ça vous explose à la tronche dès le début du film, dans un effondrement de doublage affreux (la pauvre Michelle semble lobotomisée par une doubleuse qu'on doit retrouver dans "California Stop"), de cadrage à côté de la plaque, de zooms forcenés, de montage à la va comme j'te pousse, etc. Et le scénario est tellement simple qu'on parvient à douter de sa compréhension. Quant aux actrices, elles ont beau être joliment faites (malgré leur look 70's), cela n'en fait pas pour autant de bonnes actrices, la majorité affichant des faciès inexpressifs pas très bandants. Cela dit, mieux vaut ne pas parler du notaire en titre.
"Le journal érotique d'un notaire" réussit donc à se rapprocher au plus près de la représentation populaire du porno soft mal joué mal doublé dans une ambiance datée.

Dommage que le rythme chute par la suite, même si le film garde un taux de nanardise de fond suffisamment réjouissant (merci le doublage). Et nonobstant le fait divers à l'origine de cette histoire, le choix d'une fin sordide est malheureux tant il laisse un mauvais goût en bouche.

3.25/5


L'amour lesbien trahi et abandonné...


... pour ça !

J'ai eu la chance de gagner le DVD à la Nuit Excentrique. Jusqu'à il y a quelques temps il prenait sagement la poussière sur mes étagères et un soir où je n'avais rien d'autre à regarder je me suis dit pourquoi pas un Pallardy.

Résultat des courses un film d'un ennuie mortel. Une restauration du film... on se demande d'ailleurs s'il a été restauré :
- une image souvent dégueulasse
- une bande son complètement asynchrone

Je n'ai rien trouvé de nanar à ce film : juste le temps long.

Oulah, si l'as pas aimé, alors abstiens toi de regarder les autres.