Forum Nanarland.com

Renault créateur d'automobiles!!!!!!! LOGAN POWAAAAAA!!!!!

Au fait a-andre, tu parles courament turc ?

Non pas du tout!! d'ailleurs c'est pourquoi je zappe toutes les scènes de parlottes car c'est souvent lourdingue.

Mais je viens de rentrer en contact avec un turc qui parle anglais et qui sait, si le contact est bon peut être qu'il me fournira l'adresse de Cuneyt Arkin ou au moins me conseillera sur les films à voir.

oh oui, et une interview de Cuneyt aussi !!

Ca ce serait de l'exclu mais je rêve pas trop.
Il nous raconterait tous ses films et nous dirait combien sont pires que TSW et En Buyuk Yumruk.

Oh que se serait bon!!!!

Je me disais aussi...


Et il pourrait faire la retranscription des dialogues turcs de badi en anglais ? ... juste pour faire comme ce que Barracuda à fait avec TSW

badi = crotte de nez géante


rien que l'extrait avec le chariot en dit long sur ce truc.
Je sais pas comment tu as pu supporter ce nanar, moi c'est le genre de film qui me fait peur

Malgré ta spécialisation en turkitudes, tes chroniques me font toujours autant marrer ! Merci mon gars

La danse du rêve est vraiment traumatisante ...

1H14, vous êtes surs ? Je viens de le regarder et très sincérement on dirait plutôt le double... La chronique ne ment pas : les passages avec la petite vie de famille sont inintéressants au possible ! Heureusement, il y a Badi, l'alien gentil qui pète pour dire bonjour et qui rote pour parler. Quel soulagement de le voir repartir chez lui !

AARRRRGHHHHH! Quelle chance tu as! Je rêve de voir ce film depuis que j'ai lu la chro... Un jour, je le trouverai!

Si la mise en scène ne donne pas dans la folie furieuse stroboscopique d'un Cetin Inanç, Zafer Par confirme l'aptitude hors du commun des réalisateurs turcs d'antan à torcher des remakes amateurs psychédéliques des blockbusters hollywoodiens. On ronge un peu son frein durant le premier quart d'heure (cette amitié chiante du jeune héros avec Turkish Rintintin ) mais dès que Badi débarque dans sa soucoupe, un sourire radieux et émerveillé se dessine sur notre visage. L'amateurisme des effets spéciaux, le repompage éhonté des scènes culte de l'original, l'humour consternant et l'ambiance hallucinogène (le rêve, la scène "E.T téléphone maison" avec sa musique au synthétiseur Bontempi, la charrette qui vole) assurent un quota raisonnable de nanardise, même si les dialogues non-sous-titrés sont effectivement pénibles (mais heureusement, le film est court).