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La chronique :

http://www.nanarland.com/Chroniques/Mai ... amonbiniou

Une comédie réalisée par l'auteur de "Devil Story : il était une fois le diable" ! (et il est presque aussi doué que pour les films d'horreur)

Hourra pour Bernard Launois et pour cette belle chronique !

Qu'en est-il de la filmographie complète de cet auteur fascinant : a-t-il aussi réalisé des films pornos qui font pleurer et des tragédies qui font ....

En tout cas, en tant que grand fan de devil story, j'attends de pouvoir le trouver à pas trop cher en dvd (je vais quand même pas l'acheter à 20 euros) pour l'avoir.

très bonne chronique, qui retranscrit bien les sentiments qu'on peut avoir en visionnant cette "comédie".
Raaah la scène de la piscine ! Cette scène devrait être montré aux soldats pour tester leur endurance nerveuse et leur sang froid


C'est tellement vrai !


Va falloir que je matte "Sacré gendarmes" pour voir si c'est du même acabit

Chouette chro ! Ceci dit, ça a l'air rude, la chose...

Mais la thèse du diptyque conceptuel me paraît à creuser !

"Bernard Launois avait-il pour vocation d’inverser les conventions artistiques en tournant des films d’horreur qui font rire, et des comédies qui font peur ?"



Cette chronique est terrible, la nanarologie atteint ses sommets.

Nikita tu es déprimant de constance dans l'art de faire des bonnes chros. Sinon quitte à boire du calva t'as pas un biniou qui fait bar de poche ? (scène qui aurait méritée d'être capsée d'ailleurs).

Superbe chronique.

Je me suis regaler en la lisant.J' ai bien envie de me l' acheter mais vu le prix de ce torchon de médiocrité je crois que je vais attendre qu' il soit a 1 ou 3 euros.

Bon maintenant il faut la briographie de Sim.Car entre la brigade en folie,drole de zebre et maintenant ça je trouve que ca fait beaucoup.

selon moi la scène la plus "longuette" n'est pas celle la piscine mais celle où Sim et Henri Genès sont dans dans le même lit, tout deux croyant être en "charmante" compagnie. C'est long à crever et la chute n'arrive jamais, pour cause il n'y en a pas!

Ooooooh la vache !
Ce film, c'est un triple uppercut dévastateur direct dans le tissu cérébral. Malgré l'amoncèlement d'horreurs que j'ai déjà eu la chance (?) de voir en matière de "cinéma", "Touch' pas à mon biniou" arrive encore surprendre par son abyssale néant de nullité totale et absolue. C'est la comédie la plus antinomique qui soit : même les plus médiocres des bidasseries pas drôles arrivent à créer une ambiance qui permet de reconnaitre le style comique et d'identifier les tentatives de gags, qu'elles soient ratées ou bien trop beauf ras du sol pour me convenir. Mais là, non. On peine à reconnaitre les blagues, et quand il y en a une, elle duuuuuuuure jusqu'à basculer dans une autre dimension (en cela, je trouve aussi que l'interminable séquence avec Sim et Henri Génès dans le même lit défonce le passage du triporteur dans la piscine). Par moment, on a l'impression qu'on assiste à un documentaire sur des gens qui parlent de rien. Et l'atmosphère de la côte bas-normande est à se flinguer, on dirait qu'un gaz dépressogène s'est abattu sur la région.

Pour tourner là-dedans, il ne fallait vraiment avoir aucune dignité, ou bien être torché du soir au matin et avoir été exploité à son insu.

On assiste, effaré, à un one-man Sim (copyright Gloglo), où le gaillard ne conserve même pas sa sympathie habituelle, incarnant un parasite voleur et alcoolique, tendance pochtron vulgaire et agressif (il montre du poing en permanence, et maltraite physiquement son pote).

Un beau film pour démontrer qu'on, a beau avoir les connaissances techniques pour réaliser, l'absence intégrale de talent artistique ne pardonne pas. D'un autre côté, quand les astres sont propices, cela peut aboutir à un tel chef d'œuvre de non-humour, qu'il faut avoir vu pour pouvoir dire fièrement... je l'ai vu !

Tellement perturbé que tu l'as mis deux fois !

[De quoi tu parles ? ]

Je garde comme souvenir de ce film d'être fier d'avoir réussi à le mater en entier d'une traite . Par contre à plusieurs ça m'aurait bien botté, parce que la nullité et le vide fascinent chez Launois.

excellent chronique, drole et convaincante.

au passage si ca interesse quelqu'un:http://www.leboncoin.fr/vi/30554625.htm?ca=5_s


et quelq'un aurait celui la de ce cher Bernard Launois, toujours avec ce cher Sim:

De rien ça restera entre nous , canaillou

Putain, mais tout Launois ressort en DVD, sauf Devil Story !!

J'en ai vu une vingtaine de minutes au début, et ça à l'air d'être du même acabit que "Touch' pas à mon biniou".

Faudrait qu'ils sortent aussi les tout premiers Launois,

# Machines à sous, Les (1976)
# Dépravés du plaisir, Les (1975)
... aka Gibier, Le (France)
# Lâchez les chiennes

Les seuls qui me manquent

Que le dieu du Squeele puisse t'entendre !

après "l'expérience" chômeurs en folie, je n'ose imaginer les tréfonds sidérants où cette chose se balade, mais le pire est que ça me tente !

En hommage à Sim je tente l'experience ce soir

Alors que dire même si je me suis un peu endormi sur la fin emporté par la langueur morose de cette non-comédie.


Déjà c'est effectivement la scène du lit qui est la plus consternante et interminable, je n'arrive pas encore à y croire.
Côté personnage le cuistot et ses running gags visuels decrochent la timbale de l'angoisse repetitive du bide annoncé.
Sinon CHAUFFEUSE DE BUS JE T'AIME.


le plus incroyable restant l'année de réalisation du film qui le fait tomber dans une faille spatio-temporelle de 15 ans, un nanar de 1965 réalisé en 1980.


A déconseiller aux novices quand même.

j'en ai vu une heure, et j'ai décédé unilatéralement de faire une pause.
peut-être que je verrais la fin plus tard mais là, une heure sans une seule crispation de zygomatique, c'est dur

tiens le bègue à la conserverie, on dirait bien un caméo de Launois himself.