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"Breakin' 2: Electric Boogaloo", aberration musicale ultra 80’s produite par une Cannon à la phase extrême de sa décadence artistique.

https://www.nanarland.com/chroniques/nanars-gnangnan/breakstreet-2-electric-boogaloo-la-chronique-de-nanarland.html


Tout dans le fluo, rien dans le cerveau !

Les plus drôle là-dedans je trouve que ce sont encore les méchants, parfaites illustrations de capitalistes nanars.



Concernant Menahem Golan, aussi incroyable que ça paraisse il a réalisé de bons films à ses débuts :
https://www.nanarland.com/personnalites ... golan.html

C’est clair. On imagine que si en plus de construire leur supermarché sûrement déshumanisé, ils peuvent faire fermer des lieux qui apportent du bonheur aux gens, ils prennent un pied d'enfer. Combiner l’utile à l’agréable.


Quand aux fringues des gentils, tout le monde n’était pas en fluo, mais j’ai souvenir de ces magnifiques joggings… C’était mieux avant ?
Et la dégaine de Ice-T, c’est carrément l’apothéose.

Merci pour cette chronique.

C'est vrai que les extraits qu'on voit dans le documentaire du même nom font rêver. On dirait la culture hip-hop des 80's revue et corrigée à la sauce cartoon (sauf erreur, il y a même un perso qui danse sur les murs et sur le plafond avec la fameuse technique du plateau qui tourne). On remarquera aussi l'effort de l'auteur de la chronique pour ne pas ironiser sur le look d'Ice-T sur la capture (mais après tout, y avait-il besoin d'un commentaire ?).

Stabilo a réussi un placement produit assez hénaurme sur ce coup.

Les capitalistes nanars de Breakstreet 2 ont un air de famille avec ceux de Cannibal World :

https://www.nanarland.com/chroniques/na ... world.html

Ca a l'air mortel !

En voyant l'affiche sur la page d'accueil du site, je me suis dit que ça ne pouvait être qu'une chronique de John Nada.

La combinaison Cannon + breakdance + suite opportuniste + 80's + teenagers + looks fluo + le 'ythme dans la peau + méchants capitalistes à nœud pap' + tournage marathon = le Nirvana du nanardeur.
Et on retrouve en coulisses les chères méthodes de mafieux de Golan et Globus qui leur coûtent un réalisateur et des scénaristes compétents qui connaissaient leur sujet. Bravo les champions !

PS : la chro a atterri par accident dans la rubrique "nanars gnangnan" alors que je présume qu'elle devrait être dans la catégorie "musical".

Je comprends mieux le titre du volume 2 du livre nanarland. C'est quand même fou que ce film soit devenu un symbole des mauvaises suites opportunistes.

Cela dit, j'ai l'impression que les films des années 80 vieillissent souvent très mal. Alors pour celui-ci qui était déjà ringard lors de sa sortie...

Je signale ici que depuis la page d'accueil du site, le lien vers la chronique ne fonctionne pas.

Le lien erroné est :

Mais le bon est celui-ci :

Bien vu, c'est une étourderie de ma part, j'ai corrigé, merci...



...et du coup c'est pour ça que le lien dans le slider en page d'accueil ne fonctionnait plus, c'est corrigé, merci également

Petite chronique du film dans le dernier Best of the Worst, à l'occasion d'une spéciale Cannon.

Devinez qui on croise comme figurant dans le premier Breakstreet?