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Bio Jess Franco https://forum.nanarland.com/viewtopic.php?f=17&t=9365 |
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Auteur: | Nikita [ 28 Mars 2006 13:31 ] |
Sujet du message: | Bio Jess Franco |
JESUS FRANCO (alias Jess Franco) Nanarland pouvait-il se passer d’un hommage à Jess Franco ? D’aucuns dans la team n’étaient pas d’accord, arguant d’une personnalité originale chez le cinéaste. Il ne s’agit pas de nier le caractère singulier de Franco, mais son talent particulier et le caractère particulièrement foisonnant de sa filmographie font de son œuvre un véritable grenier à merveilles : de bons films bis, des navets insondables, des nanars désopilants, des films expérimentaux inclassables, Franco a littéralement tout fait, et la folie qui parcourt souvent sa filmographie fait de lui un réalisateur emblématique. ![]() Jess Franco acteur dans « La Comtesse aux seins nus ». Jesús Franco Manera est né le 12 mai 1930 à Madrid. Enfant précocement doué pour la musique, il étudie le piano au Real Conservatorio. Une fois bachelier, il tente une carrière littéraire, écrivant un roman de gare sous le pseudonyme de David Khume, avant de faire deux ans d’études de cinéma, se formant comme réalisateur et comme acteur. Il complète ses études à l’IDHEC (future FEMIS) de Paris, puis retourne en Espagne, où il travaille dans le cinéma comme compositeur de musique de films, puis assistant réalisateur. Le petit Jesus n’a que 24 ans et déjà de nombreuses cordes à son arc. ![]() "Tenemos 18 años", le premier long métrage de Franco : une comédie inoffensive (tournée en plein régime franquiste) sur la jeunesse espagnole en vacances. ![]() Jesus Franco se fait la main en tournant des documentaires et des courts-métrages, avant de tourner son premier long en 1959. Mais rapidement, le contexte culturel étriqué de l’Espagne franquiste lui pèse : amateur de romans et de films d’épouvante, il souhaite faire autre chose que les mélodrames à l’eau de rose que ses collègues ibériques moulinent à la chaîne. Sa liberté artistique, il la trouvera très rapidement par le biais des coproductions, et notamment grâce à son travail avec la compagnie française Eurociné, dirigée par Marius Lesoeur. Grâce au patronage d’Eurociné, Franco peut réaliser «L’Horrible Docteur Orlof » et « Le Sadique Baron Von Klaus », deux succès des salles de quartier qui lui permettent d’imposer un style de réalisation fort efficace dans la création des ambiances glauques et malsaines. ![]() ![]() Jess Franco et son compositeur Daniel J. White en inspecteurs dans «Le Diabolique Docteur Z». ![]() C’est le début d’une filmographie pléthorique qui va voir Franco devenir l’un des artisans les plus prolifiques et les plus polyvalents du cinéma bis européen : épouvante, espionnage, polar, aventures, notre ami gère tous les genres. Réalisateur, scénariste, compositeur de musique, acteur occasionnel, Franco est un véritable homme-orchestre et multiplie les pseudonymes, composant parfois à lui tout seul la moitié du générique du film. Sa débrouillardise devient rapidement légendaire, ce qui pousse Orson Welles à l’engager comme assistant-réalisateur sur «Fastaff », qu’il tourne en Espagne. C’est d’ailleurs Franco qui sauvera le film en trouvant in extremis un nouveau financier alors que le tournage risquait de s’interrompre. Mais il avait négligé d’avertir Welles avant d’agir : fâché, le réalisateur enlèvera son nom du générique. Ils se réconcilieront plus tard et Franco présentera même en 1993 un montage (diversement apprécié) des scènes tournées par Welles pour son "Don Quichotte" inachevé. ![]() Franco tourne comme un dératé, signant plusieurs films par an sans toujours se soucier de ses scénarios. Employé alternativement par tous les producteurs de bis d’Europe, il se montre capable de signer aussi bien des histoires horrifiques étranges et inspirées (« La Vénus en fourrure ») où l’ambiance pallie aux déficiences budgétaires, que des séries B purement affreuses comme les «Fu Manchu » avec Christopher Lee. Sa réputation grandit, et sa tendance à ajouter des scènes dénudées dans ses films conduira l’Eglise catholique espagnole à le considérer comme le réalisateur le plus nocif pour la morale publique, avec Luis Buñuel ! ![]() ![]() ![]() ![]() Jesus Franco commence dès lors à réunir autour de lui une troupe à géométrie variable de collaborateurs, qui reviendront tous travailler pour lui à de nombreuses reprises au fil des années : outre Howard Vernon, l’un de ses acteurs fétiches, et le compositeur anglais Daniel White (l’un des rares techniciens récurrents à ne pas être Franco lui-même sous un pseudonyme), on retrouvera dans ses films des comédiens comme Klaus Kinski, Paul Muller, Christopher Lee, Avalia Ivars, Britt Nichols, Jack Taylor, Olivier Mathot (généralement amené par la production Eurociné), Dennis Price, Tania Busselier… Outre les Lesoeur père et fils, Franco travaille également régulièrement avec de multiples producteurs : le français Robert de Nesle, l’anglais Harry Alan Towers, le suisse Erwin C.Dietrich… Les méthodes du bon Jésus, contraint de tourner à la vitesse grand V, sont assez originales : selon son confrère Bruno Mattei, qui l'a connu lors d'un séjour à Rome à la fin des années 1960, Franco avait coutume d'acheter des BD de gare où il allait piocher les sujets de projets de films d'horreur. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() Les craignos monsters de "Dracula prisonnier de Frankenstein" ![]() « Vampyros lesbos », avec Soledad Miranda. La muse de Jess Franco est au début des années 1970 la jeune première espagnole Soledad Miranda, sa compagne. Mais cette divine vedette de la série B ibérique mourra prématurément dans un accident de voiture. Franco mettra du temps à s’en remettre, mais trouvera un regain d’inspiration grâce à sa nouvelle compagne, Lina Romay. Moins distinguée que Soledad, Lina montrera cependant une remarquable fidélité à Jess Franco, travaillant comme actrice, mais aussi co-scénariste et réalisatrice de seconde équipe, donnant également de sa personne dans les versions hard de certains films. ![]() Lina Romay dans le rôle-titre de "La Comtesse aux seins nus/ La comtesse noire". Car la libération sexuelle des années 1970 a donné des ailes à Franco qui, loin de céder simplement à la mode, donne enfin libre cours à ses instincts, réalise des scènes hot de plus en plus poussées, tourne des films érotiques soft, puis du porno hard (bien que les scènes pornographiques des versions hard de ses films érotiques ne soient pas toujours réalisées par lui), utilisant souvent une myriade de pseudonymes. ![]() Parallèlement, les films de Franco se font de plus en plus «expérimentaux», le classicisme ne lui réussissant pas toujours. A mesure que son principal commanditaire, la compagnie Eurociné, sombre de plus en plus dans la démence, Jess en arrive à tourner de pures insanités comme «Midnight party – La Partouze de minuit », quand il ne mouline pas à la chaîne «La Suceuse », «Les Avaleuses » ou «Les Ebranlées ». ![]() ![]() ![]() Ses films d’épouvante sont de plus en plus étranges, semblant parfois tournés sous l’emprise de quelque substance hallucinogène. Franco abuse des zooms (un zoom avant, un zoom arrière, et on recommence !) et du flou artistique tandis que ses scénarios se font de plus en plus nébuleux : «Les Expériences érotiques de Frankenstein », «Mondo cannibale »…L’ancien prodige de la série B est devenu le roi du n’importe quoi tourné avec trois sous. Mais Franco s’en moque, et tourne dans l’enthousiasme le plus total, ravi d’avoir une caméra entre les mains. ![]() Cependant, les relations avec Eurociné se tendent dès le début des années 1980 : Jess Franco laisse en plan «Le Lac des morts-vivants » la veille du tournage, et livre plus tard des produits véritablement abominables comme «Les Amazones du temple d’or », «Les Diamants du Kilimandjaro » (dont il ne réalise qu’une partie) ou «L’Abîme des morts-vivants ». Ses films sont de plus en plus obscurs, et ne connaissent plus qu’une diffusion confidentielle : la simple vision de «Sale jeu à Casablanca », polar incompréhensible écrit et tourné avec la gueule de bois, laisse pantois devant la déchéance et le jemenfoutisme du cinéaste. ![]() Franco a l’occasion de renouer avec des budgets plus importants grâce à René Château, qui produit son film « Les Prédateurs de la nuit ». Château raconte ainsi leur rencontre : « Une amie m'a invité sur un tournage en Espagne avec Christopher Lee (NDLA : vraisemblablement «Dark Mission, les fleurs du mal»). J'ai sauté sur l'occasion. En débarquant, j'ai trouvé Jess en train de filmer une attaque de guérilleros dans un jardin. L'action était censée se dérouler en Amérique Latine. Pendant dix-huit ans, j'ai suivi tous les tournages de Belmondo. Je n'avais jamais vu ça. Franco ne pouvait déplacer son cadre à droite - il y avait une maison de campagne - ni à gauche - il y avait des cantonniers au boulot - ni vers le haut - il y avait des fils électriques. Il a trouvé presque instantanément la solution pour tourner dans ce carré de verdure... Et sans autorisation. D'ailleurs, en plein tournage, la propriétaire a fait son apparition en hurlant. Jess a joué celui qui ne comprenait pas un mot et il a bouclé le plan. Je l'ai engagé le soir même. » « Les Prédateurs de la nuit » ne remportera cependant pas le succès escompté (alors qu’une suite était prévue) et le clash définitif entre Franco et Eurociné va conduire le réalisateur à un ralentissement de son activité au début des années 1990. ![]() Mais sa redécouverte par les jeunes générations de cinéphiles et l’évolution des techniques de réalisation, qui permettent de travailler avec des équipes réduites, aident Franco à reprendre du poil de la bête : grâce à de nouveaux producteurs espagnols ou américains, Jess tourne joyeusement en DV des films qui connaissent à nouveau une distribution internationale, pour la plus grande joie des fans et l’horreur des cinéphiles distingués : «Killer Barbys », «Lust for Frankenstein », «Dr Wong’s virtual hell »…Ses «classiques» refont surface en DVD et la Cinémathèque française lui rendra plusieurs hommages, dont un en 2001 en sa présence. ![]() ![]() Si son talent original aurait pu s’exprimer autrement, Jess Franco aura néanmoins su bâtir une filmographie pléthorique, parfois sans aucune maîtrise, mais toujours avec enthousiasme et liberté. Si son œuvre est à prendre avec prudence, comptant autant de navets pestilentiels que de films intéressants ou de nanars à se taper sur les cuisses, la personnalité de Franco ne pouvait manquer d’être évoquée en ces lieux. Un véritable zébulon du septième art, et une carrière dont nous aurions aimé que bénéficient tous les originaux comme Jean-Marie Pallardy ou Ed Wood. Films chroniqués sur le site : Chasseurs d'Hommes Dark Mission, les Fleurs du Mal Les Prédateurs de la Nuit Lust for Frankenstein Mondo Cannibale Les Expériences érotiques de Frankenstein Filmographie 1957 El Árbol de España (court-métrage) 1959 Tenemos 18 años Las Playas vacías Oro español 1960 Opération lèvres rouges (Labios Rojos) El Destierro del Cid 1962 La Belle du Tabarin (La Reina del Tabarín) Certains l'aiment noire (Vampiresas) L'Horrible Docteur Orlof (Gritos en la noche) Le Sadique Baron Von Klaus / Hysterical sadique (La Mano de un hombre muerto) 1963 Le Jaguar (El Llanero) Chasse à la mafia (Rififi en la ciudad) 1964 Les Maîtresses du Docteur Jekyll (El Secreto del Dr. Orloff) 077 opération sexy / Agent 077 operation Jamaïque (La Muerte silba un blues) 1966 Ca barde chez les mignonnes (Residencia para espías) Le Diabolique Docteur Z / Dans les griffes du maniaque (Miss Muerte) Cartes sur table 1967 Lucky l'intrépide (Lucky, el intrépido) Necronomicon (Necronomicon - Geträumte Sünden) The Blood of Fu Manchu 1969 The Seven Secrets of Sumuru L’ Amour dans les prisons des femmes / Les Brûlantes (99 mujeres) El Caso de las dos bellezas Les Deux beautés (Marquis de Sade : Justine) Fu Manchu’s castle Kiss me monster / Küß mich, Monster La Vénus en fourrure (Paroxismus / Venus in furs) 1970 Le Labyrinthe du sexe (Sex charade) Eugénie (Eugénie : De Sade) Les Cauchemars naissent la nuit / Les Yeux de la nuit Le Trône de feu (Il Trono di fuoco / Der Hexentöter von Blackmoor / The Bloody judge) Les Nuits de Dracula (Count Dracula / El Conde Drácula) 1971 Les Vierges et l’amour (Jungfrauen-Report) The Devil Came from Akasava Vampire lesbos / Sexualité spéciale (Vampyros lesbos) X312 - Flug zur Hölle Crimes dans l'extase (She Killed in Ecstasy/ Sie tötete in Ekstase) 1972 La Fille de Dracula (La Hija de Drácula) Les Expériences érotiques de Frankenstein (La Maldición de Frankenstein) Dracula prisonnier de Frankenstein (Drácula contra el Dr. Frankenstein) El Muerto hace las maletas Trois filles nues dans l’île de Robinson (Robinson und seine wilden Sklavinnen) Les Démons Les Ebranlées La Venganza del Dr Mabuse 1973 Tendre et perverse Emmanuelle Relax baby Los Ojos siniestros del doctor Orloff El Misterio del castillo rojo Maciste contre la reine des Amazones Les Exploits érotiques de Maciste dans l'Atlantide / Les Gloutonnes 1973 La Comtesse noire / La Comtesse aux seins nus / Erotikill / Erotikiller / Les Avaleuses / Jacula Le Miroir obscène (Al otro lado del espejo) Le Journal intime d'une nymphomane Christina, princesse de l'érotisme / Une vierge chez les morts-vivants / Christina chez les morts-vivants 1974 Embrasse-moi / Tango au clair de lune (Kiss me killer) La Comtesse perverse / Les Croqueuses Quartier de femmes Plaisir à trois Un Capitaine de Quinze ans (Un Capitán de quince años) Célestine, bonne à tout faire Les Possédées du diable / Les Possédées du démon 1975 La Fille au sexe brillant La Marque de Zorro Justine / La Suceuse Femmes en cage (Barbed Wire Dolls) Les Putains de la ville basse (Downtown - Die nackten Puppen der Unterwelt) Des diamants pour l’enfer Le Jouisseur / L’Homme le plus sexy du monde Les Nuits brûlantes de Linda Les Chatouilleuses / Nonnes en folie 1976 Une cage dorée / Razzia sur le plaisir Deux sœurs vicieuses (Die Teuflischen Schwestern) Les Flagéllées de la cellule 69 (Die Sklavinnen) Le Portrait de Doriana Gray (Die Marquise Von Sade) Midnight party, la partouze de minuit Les Petites vicieuses font les grandes emmerdeuses Jack l’éventreur (Jack the ripper) La Noche de los asesinos, 1977 Femmes sans pudeur (Frauen ohne Unschuld) Visa pour mourir (Frauen für Zellenblock 9) Ilsa : ultimes perversions / Greta la tortionnaire / Pénitencier de femmes perverses (Ilsa the wicked warden / Greta - Haus ohne Männer) Lettres d’amour d’une nonne portugaise (Die Liebesbriefe einer portugiesischen Nonne) Le Cabaret des filles perverses (Das Frauenhaus) Camp érotique (Frauen im Liebeslager) Le Cri d’amour de la déesse blonde (Ruf der blonden Göttin) 1978 Elles font tout Je brûle de partout Convoi de filles Cocktail spécial 1979 L’Eventreur de Notre-Dame / Le Sadique de Notre-Dame / Le Meurtrier de Notre-Dame) Symphonie érotique 1980 Deux espionnes avec un petit slip à fleur (Ópalo de fuego: Mercaderes del sexo) Eugenie (Historia de una perversión) Mondo cannibale / Une fille pour les cannibales Chasseurs d'hommes / Chasseurs pour l’enfer (Sexo caníbal) 1981 El Sexo está loco L’Abîme des morts-vivants La Lune des sang (Die Säge des Todes) L’Enfer du plaisir (Sadomania) Les Filles de Copacabana (Aberraciones sexuales de una mujer casada) Linda / Naked Super Witches of the Rio Amore La Chica de las bragas transparentes 1982 Revenge in the House of Usher / La Chute de la Maison Usher Las Orgías inconfesables de Emmanuelle El Huésped de la niebla Cecilia 1983 Voces de muerte La Noche de los sexos abiertos Botas negras, látigo de cuero Los Blues de la calle Pop (Aventuras de Felipe Malboro, volumen 8 ) En busca del dragón dorado Sangre en mis zapatos Le Trésor des morts-vivants (La Tumba de los muertos vivientes) Les Diamants du Kilimanjaro (El Tesoro de la diosa blanca) Confesiones íntimas de una exhibicionista La Casa de la mujeres perdidas Macumba sexual El Hotel de los ligues Gemidos de placer 1984 ¿Cuánto cobra un espía? Mil sexos tiene la noche Historia sexual de O Camino solitario El Asesino llevaba medias negras El Siniestro Dr Orloff Una Rajita para dos Lilian (la virgen pervertida) 1985 El Chupete de Lulú La Mansión de los muertos vivientes Un Pito para tres Sale jeu à Casablanca (Juego sucio en) Bangkok, cita con la muerte Esclava blanca El Hombre que mató a Mengele La Sombra del judoka contra el doctor Wong Viaje a Bangkok, ataúd incluido Les Amazones du temple d'or 1987 Las Chuponas Sola ante el terror Entre pitos anda el juego El Mirón y la exhibicionista Le Ojete de Lulú / Lulu's Talking Ass Orgasmo perverso Bragueta historia La Chica de los labios rojos Para las nenas, leche calentita Sida, la peste del siglo XX Las Tribulaciones de un Buda Bizco Las Últimas de Filipinas Falo Crest Fellations sauvages Las Chicas del tanga El Lago de las vírgenes Esclavas del crimen 1988 Dark Mission (Les fleurs du mal) (Dark Mission Operación cocaína) Les Prédateurs de la nuit (Faceless) 1989 La Chute des aigles La Bahía esmeralda 1991 À la poursuite de Barbara 1992 El Abuelo, la condesa y Escarlata la traviesa (TV) 1994 Ciudad Baja 1996 Killer Barbys 1998 Lust for Frankenstein Mari-Cookie and the Killer Tarantula in 8 Legs to Love You Tender flesh 1999 Broken Dolls Dr. Wong's Virtual Hell Red Silk Vampire Blues 2000 Blind Target Helter Skelter 2001 Vampire junction 2002 Incubus Killer Barbys vs. Dracula 2005 Flores de la pasión Flores de perversión Snakewoman Icono : www.jess-franco.com , www.vhs-survivors.com , www.moviecovers.com , www.fantasfilm.com |
Auteur: | ROTOR [ 28 Mars 2006 21:04 ] |
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bravo et respect pour la bio, moi j'ai fuis comme un lache devant l'ampleur du boulot. ![]() En tout cas tu as vraiment bien réussi à faire la synthèse de sa carrière, ce qui n'était pas forcément facile, et à rendre honneur au bonhomme. |
Auteur: | MrKlaus [ 28 Mars 2006 21:08 ] |
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RICO a écrit: Quand à Franco musicien... brr insupportable !
???? Excellent tu veux dire. On doit pas avoir le même disque. La musique jazzie de 077 Operation sexy est excellente! Bon sinon il faudrait quand-même souligner le fait que c'est Orson Welles lui même qui est venu chercher Jesus Franco après avoir vu "077 Operation sexy". Et aussi que Fritz Lang a été un grand admirateur de son "Nécronomicon". Enfin bon je corrigerai 2, 3 trucs à l'occasion. |
Auteur: | RICO [ 28 Mars 2006 21:30 ] |
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MrKlaus a écrit: RICO a écrit: Quand à Franco musicien... brr insupportable ! ???? Excellent tu veux dire. On doit pas avoir le même disque. La musique jazzie de 077 Operation sexy est excellente! Bon sinon il faudrait quand-même souligner le fait que c'est Orson Welles lui même qui est venu chercher Jesus Franco après avoir vu "077 Operation sexy". Et aussi que Fritz Lang a été un grand admirateur de son "Nécronomicon". Enfin bon je corrigerai 2, 3 trucs à l'occasion. La musique de "Chasseur d'homme" avec ses gratouillis distordus de guitare pendant 1h20... argh mal à la tête... je préfére la reprise de la bamba dans terreur cannibale ! |
Auteur: | MrKlaus [ 28 Mars 2006 21:36 ] |
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RICO a écrit: MrKlaus a écrit: RICO a écrit: Quand à Franco musicien... brr insupportable ! ???? Excellent tu veux dire. On doit pas avoir le même disque. La musique jazzie de 077 Operation sexy est excellente! Bon sinon il faudrait quand-même souligner le fait que c'est Orson Welles lui même qui est venu chercher Jesus Franco après avoir vu "077 Operation sexy". Et aussi que Fritz Lang a été un grand admirateur de son "Nécronomicon". Enfin bon je corrigerai 2, 3 trucs à l'occasion. La musique de "Chasseur d'homme" avec ses gratouillis distordus de guitare pendant 1h20... argh mal à la tête... je préfére la reprise de la bamba dans terreur cannibale ! J'ai écouté un cd de Jazz par Jesus Franco est c'est vraiment très bien. Maintenant j'en sais j'ai pas vu "Chasseur d'homme", mais t'es sur que c'est lui. D'ailleurs le jazz est omniprésent dans ces films. Surtout dans "Venus in Furs". A ce sujet je recommande "Dracula prisonnier de Frankenstein" un film quasi-experimental, presque sans dialogue. Mais bon j'arrête puisque visiblement il faut en dire du mal. ![]() |
Auteur: | John Nada [ 28 Mars 2006 22:09 ] |
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Purée, Mr Klaus, quel caractériel tu fais... Allez, un petit refrain relou : TOUS LES GOUTS SONT DANS LA NATURE TRALALALALA-BAMBAAAAA PERSONNE N'A DIT QUE TU AVAIS TORT D'APPRECIER JESS FRANCO TCHIKOUTCHIKOUTCHI MAIS DE MEME QUE TU AS TOUT A FAIT LE DROIT D'AIMER SES FILMS AU 1ER DEGRE POLOPOLOPOLO-BIMBAAA LES AUTRES ONT TOUT AUTANT LE DROIT DE LES APPRECIER AU 2ND DEGRE OU AU DEGRE ZERO OU DE NE PAS LES APPRECIER DU TOUT, SI SI, TCHIKAPIKAFLOUK-ZDOING allez, vais m'coucher |
Auteur: | shimano [ 29 Mars 2006 16:33 ] |
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Rien a redire pour ma part, superbe boulot. ![]() |
Auteur: | Robert Zdar [ 30 Mars 2006 11:46 ] |
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Bravo à Nikita pour cette bio qui était absolument indispensable sur le site. Longue vie aux deux ![]() ![]() ![]() |
Auteur: | Lawrence Woolsey [ 15 Fév 2014 19:30 ] |
Sujet du message: | Re: Bio Jess Franco |
Jess Franco par Jean-François "Dieu" Rauger, les scènes coupées : http://www.1kult.com/2014/02/13/itw-jess-franco-fragments/ |
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