Forum Nanarland.com

Vu en Avant-première avec le réal à la fin.


Nicolas Boukhrief nous a demandé expressément de ne pas raconter la fin (surtout sur le net) alors bon je n'en dit rien même pas en spoiler; Cela dit il n'y a pas grand chose à cacher la fin n'étant pas l'interet principal du film.


Superbe interprétation d'André Dussolier present dans chaque plan en malade d'Alzheimer avancé plus que convaincant.


Voila sinon le polar en lui-même est bof.

Tu as rien compris.

CORTEX C'EST LE NOM DE SA LUGE!

Ha ha vous êtes cons, je vous aime

Nicolas Boukhrief est décidément un gros prétentieux.

Mettre en dans la même taille de caractères "par le réalisateur du convoyeur" c'est super con, l'affiche devient illisible; Et le convoyeur, très bien réalisé et Dupontel est grand, mais le scénar est à chier et la fin est bidon. Si le scénar de ce fameux "cortex" est comme le précédent faudrait lui dire d'arreter de tourner les scénars de son fils de 12 ans.

En quoi le scénar du convoyeur est à chier, et en quoi sa fin est bidon ?

Pusi c'est quoi cet enflammage sans aucun sens

ca ne me gene pas du tout


il vous en faut peu pour vous empecher de dormir !

spamal le convoyeur...

c'est meme tres bien !

Tu sais, en général ce ne sont pas les réalisateurs qui font les affiches mais une entité secrète des studios qu'on appelle "service marketing".

Punaise, on y a aussi eu droit sur Lille...à tel point qu'il ne voulait même pas présenter le film, avant qu'on le découvre

Sinon, je dirai qu'il s'agit d'un bon policier, qui a tendance à s'éloigner du côté "carré" aux multiples rebondissements, afin de privilégier l'ambiance délétère semi-paranoïaque et la galerie de personnages habitant/travaillant au sein de la "résidence"...

On sent d'ailleurs qu'un grand soin a été apporté à la recherche des différents symptômes de la maladie, et à cette approche volontairement humaniste. Les divers individus ont en effet, tous une certaine profondeur, qui leur permet de prendre littéralement vie à l'écran, induisant ainsi une forte implication du spectateur dans le déroulement du film...

L'intrigue n'apparait ainsi plus comme le moteur principal du film (d'où le fait que spoiler la fin n'a guère d'incidence), pour se concentrer sur l'ancien flic, joué à merveille par un Dussollier habité et parfaitement crédible.

Encore une fois, on ressent véritablement ce qu'est censé vivre le personnage, et l'on sombre nous aussi, dans ce jeu d'enquête bercé par cette perpétuelle impression de folie et de paranoïa...

Bref, à défaut d'être un chef d'oeuvre, le film demeure néanmoins un policer de bonne facture, qui a tendance à sortir des sentiers battus, et bénéficie d'acteurs au diapason (et de la présence de la toujours magnétique Claude Perron)...

Bon film et assez original dans son scénario. J'ai beaucoup aimé les acteurs, dont Dussolier exceptionnel, et la très bonne ambiance paranoïaque

Après Le convoyeur, Boukhrief confirme.

Vu hier, ça fait plaisir de voir un bon petit polar sobre et sans twist débile. Je suis même étonné que le sujet du film ait réussi à atteindre les salles obscures, parce que d'habitude ce sont les téléfilms qui s'accaparent ce genre. Tant mieux!

Ouh yé !

Quelle viruosité dans l'interprétation, la mise en scène, l'installation de l'ambiance, le maintien du suspense jusqu'à la fin ! Le scénar, en outre, est d'une originalité rare.

Dommage qu'on retombe encore sur un serial-killer, et que la séquence du métro ait dû être tournée en DV toukrakra, sinon ça tutoyait la perfection.

Pour le métro il nous a expliqué que la RATP autorise une équipe de 6 personnes maximum pour tourner ce qui obligeait plus ou moins à prendre cette solution. Et finalement il se sont rendu compte que ça cadrait bien avec la desorientation du personnage.

C'est pour ça que j'ai écrit "ait dû être tournée", je me doutais bien que ça tenait à la RATP (quand tu vois les astuces auxquelles on était contraints de recourir à Saint-Pétersbourg pour filmer dans le métro, je trouve que la RATP est déjà sympa de l'autoriser).

En revanche, ce qui m'a ennuyé, c'est qu'à ce moment il est plus ou moins "en terrain connu", je pense (n'ayant pas moi-même Alzheimer) que malgré le labyrinthisme du réseau, Charles doit se sentir moins vulnérable qu'à la clinique.