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Alors là une petite question hon : ca sert à quoi de faire un livre (et un film) qui se passe entièrement à Londres si aucun des personnages n'a de rapport avec un anglais ? Ils sont enfermés en vase clos ou quoi ?

Vu que le film n'a pas pour ambition de décrire le quotidien des expats (qui sont il est vrai capables de passer un an sur place sans nouer aucun lien avec qui que ce soit) ni d'être une sorte d'anti-A year in the merde, je n'y vois strictement aucun intérêt. Ca aurait pu se passer à Jumièges ou à Auch, mais Londres doit sûrement faire plus classieux...

En fait, ssi j'ai tout compris, ça se passe à Londres pour donner un style, une imagerie au film qui effectivement est plutôt recentré sur les frangins et leurs enfants.
La réalisatrice aime à se réclamer de la comédie anglaise, clin d'œil, tout ça.

Si Ozy a détecté une once d'humour anglais dans le film, qu'il ne se prive pas de nous en faire part...

Peut-être la fleuriste vend t-elle des lupins...

C'est moi où il y a une surenchère dans le film pour trentenaire ses derniers temps ? Du style qui pondra la plus grosse bouse (et la plus improbable) tout en ayant la plus grosse couverture médiatique...

L'humour anglais ça doit être le prix des stock-shots Londoniens vendus à Lorraine Levy pour avoir sa belle carte postale

Ah, je suis pas le seul, donc, à l'avoir remarqué !!!!
Grosse couverture médiatique qui s'enchaine sur une constance dans le bide commercial quasi systématiquement !!!!!!!!!

Ca fait mal d'appartenir a la generation qu'on prend pour des cons

Vu les perles de production cinématographiques depuis la naissance du cinéma qui nous réunissent sur ce site je ne crois pas que ce soit un phénomène spécifique à aujourd'hui