Plissken a écrit:
Et petit à petit... on a déchanté, avant même la sortie du film.
J'ai juste lu les premiers messages (de 2007) de ce sujet et j'ai l'impression que dès l'annonce tout le monde pressentait la catastrophe arriver...
Plissken a écrit:
Il racontait qu'il n'avait absolument aucune connaissance de l'univers de Dragon Ball quand il a été mis sur le projet. Il se confondait en excuse, parce qu'étant lui-même fan de bien des sagas, il aurait mal pris si une saga dont il est fan avait été traité de la sorte. Il plaidait l'ignorance et racontait qu'à aucun moment de l'écriture du film, il était conscient de l'univers de Dragon Ball et de tout l'univers que ça représentait.
Du coup ça ressemble encore plus au premier film
Super Mario... De mémoire, quand j'avais fait des recherches dessus, j'avais lu que les scénaristes ne connaissaient rien à l'univers du jeu et qu'ils avaient demandé des fiches avec les personnages, les objets, les pouvoirs, etc. et qu'ils les piochaient un peu au pif pour les incorporer au forceps dans leur histoire.
Plissken a écrit:
Les animes japonais étaient encore un peu jeunes aux Etats-Unis...
J'ai un peu trainé sur les wikis et les forums après ma lecture des mangas pour en apprendre un peu plus. Je savais que
DBZ était arrivé plus tard aux États-Unis qu'en Europe, mais je ne savais pas à ce point là. La série télé date de 1989 et si on oublie un doublage avorté en 1996, la série complète n'a été diffusée aux États-Unis qu'à partir de 1999 jusqu'en 2003. Donc pour les Américains,
DBZ et
One Piece sont contemporains alors que pour nous c'est clairement deux époques différentes.
Et d'ailleurs ça m'a toujours posé question. Je sais que
DBZ a vite eu beaucoup de succès aux États-Unis mais pourtant il devait avoir une esthétique vieillotte, non ? Dix ans de retard ça doit se sentir, non ? Surtout pour les enfants où dès que ça date un peu ça devient automatiquement naze. L'équivalent pour ma génération ce serait
Albator 84, et autant j'aimais bien autant on sentait que ça datait. Après peut-être juste que la qualité de l'histoire compensait ça.