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 Sujet du message: Eigagogo! : regards sur le cinéma japonais
MessagePublié: 22 Sep 2006 21:02 
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Maîtres es Nanar
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De retour après la trêve estivale !

Regard sur l’œuvre de Susumu Hani, un cinéaste qui a occupé une place originale et prépondérante dans les années soixante. Ce portrait mêlant éléments biographiques et analyses se propose de couvrir les caractéristiques thématiques et stylistiques de l’auteur. La partie filmographie se trouve illustrée par commentaires et anecdotes permettant de mieux sonder le personnage.

Ensuite, une sélection éclectique sur des films issus d’époques et studios différents :
La Toei avec Jean Blues – No Future de Sadao Nakajima et le furieux Burst City de Sogo Ishii. Grand écart à la Nikkatsu entre Man with a shotgun de Seijun Suzuki et Lolita Vibrator Torture de Hisayasu Satou. Enfin, la science-fiction made in Toho avec War in Space de Jun Fukuda et pinku contemporain en la présence de Dirty Maria de Takahisa Zeze.

Bonne lecture !

EIGAGOGO! octobre 2006


En espérant ne pas déranger avec cette petite pub, je mettrais les prochaines majs dans ce même topic.

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"Tu es comme la queue du chien, tu ne seras jamais droite" - Jageera le terroriste ultime


Dernière édition par drélium le 13 Déc 2008 12:50, édité 3 fois au total.

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MessagePublié: 02 Déc 2006 20:45 
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Maîtres es Nanar
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Les curieux auront de quoi se rassasier pour Noël !
Deux articles bien costauds à se mettre sous la dent :


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Dans l'histoire officielle du cinéma japonais d'après guerre, le nom de Mitsugu Okura est bien souvent soigneusement occulté au profit de ‘maîtres' plus respectables . Figure en marge et promoteur d'un ‘nouveau cinéma populaire', Okura est pourtant l'instigateur de pellicules cruciales dans l'élaboration du cahier des charges d'un cinéma d'exploitation qui constituera une part prépondérante de la production des décennies 60 à 70. A travers un survol de sa carrière et de son studio Shin-Toho, cet article se propose de poser un regard sur un versant occulté du cinéma des années cinquante et ses futures implications dans l'explosion du cinéma érotique.

Point culminant de la carrière de Kinji Fukasaku, la saga des Combats sans code d'honneur marque l'avènement d'une peinture âpre et réaliste du monde de la pègre nippone. En plus de porter un éclairage inédit sur certains des événements les plus dramatiques que le Japon avait connu depuis sa reddition, cette évocation faite au travers des cinq épisodes qui composèrent l'essentiel de la série permirent également à Kinji Fukasaku de poser les jalons stylistiques de ce que l'on pourrait considérer comme un véritable renouveau du cinéma de genre japonais. En faisant se télescoper au sein d'une même œuvre ces univers presque antagonistes du documentaire et de la fiction pour créer ce qui devint l'expression la plus pure du Jitsuroku, Kinji Fukasaku ne se contentait pas de revitaliser un sous-genre presque oublié du film de yakuza mais venait également profondément ébranler les assises tant dans le fond que dans la forme du cinéma traditionnel nippon.

Bonne lecture !

EIGAGOGO DÉCEMBRE 2006

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MessagePublié: 18 Sep 2007 21:36 
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Maîtres es Nanar
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BACK !

ici =>EIGA GO GO! Septembre 2007<= ici

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Kazuhiko Hasegawa appartient à cette génération de réalisateurs qui dans les années 70 va s'appliquer à questionner le modèle de société pour mieux en dévoiler les failles. En l'espace de deux films remarquables, il démonte les grandes espérances de sa société et marquera durablement le cinéma japonais de son empreinte

Le monde de la boxe est un sujet récurrent des salles obscures. Voir les approches et ambitions contrastées du diptyque Million Dollar Boy / Rêve de ring de Seijun Suzuki et The Boxer de Shuji Terayama

Avant ses excès de bizarre qui feront sa réputation, Teruo Ishii s'intéresse déjà au Japon déviant des proscrits dans un style encore sobre et contenu, forme d'hommage à ses influences. Avec la série des Line (Chitai), le réalisateur nous entraîne dans un envers du décor, les bas-fonds japonais, ces endroits où règnent différents réseaux comme la prostitution, les gangsters, la drogue, la corruption…

Détour du coté des pellicules roses avec Torn Priestess de Yuji Makiguchi et un triple-bill centré sur Masaru Konuma : Erotic Diary of an Office Lady, Yumeno's Girl Hell et Cloistered Nun – Runa Confession .

Enfin un focus sur un film emblématique des indépendants expérimentateurs avec L'Archipel Désert de Katsu Kanai

Bonne Lecture !




A noter dans les agendas, deux rétrospectives de choix :

• Yasuzo Masumura à la Cinémathèque

• Nikkatsu ou la modernité toujours recommencée à la MCJP





EIGA GO GO! Septembre 2007

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MessagePublié: 19 Sep 2007 20:04 
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Citer:
Avant ses excès de bizarre qui feront sa réputation, Teruo Ishii s'intéresse déjà au Japon déviant des proscrits dans un style encore sobre et contenu, forme d'hommage à ses influences. Avec la série des Line (Chitai), le réalisateur nous entraîne dans un envers du décor, les bas-fonds japonais, ces endroits où règnent différents réseaux comme la prostitution, les gangsters, la drogue, la corruption…


c'est trouvable facilement ? la description allèche un brin :P .

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"rhaaa aaahaaa regardez qui est là, cette salope de Solange !"

( femmes en cage )


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MessagePublié: 19 Sep 2007 20:19 
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Maîtres es Nanar
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Localisation: dans un temple coréen où Bob tourne un kung fu taiwanais
C'est pas trouvable facilement et c'est pas trouvable en vostf (sta seulement), mais c'est trouvable. ;)

Mise à jour Eté 2008
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En 1967, Shohei Imamura bouscule le genre avec son "L'évaporation de l'homme" qui remet en cause son rapport à la réalité. La réalité est aussi une fiction, le documentaire reste un film. C'est sur cette situation que Kazuo Hara débute dans le monde du documentaire. Son approche garde l'esprit critique de ses prédécesseurs, en y mêlant une véritable réflexion sur l'image et donc sur le genre qu'il touche. Confronter une histoire à l'Histoire pour en connaître la réalité et comprendre le processus de création d'une histoire en essayant de déterminer la part de vérité et de mensonge.

Les roman-porno ont marqué durablement de leur empreinte toute une période charnière de l'histoire du cinéma japonais ; se déployant dans toute leurs diversités, qualités et fortunes diverses. Une production pléthorique que l'on peut segmenter en plusieurs courants thématiques et historiques que nous nous proposons d'étudier dans un article dédié. Pour le premier chapitre Une saison de la violence, un panorama où la violence sexuelle s’immisce dans le quotidien et où la tentation du cinéma d'exploitation se fait de plus en plus pressante.

Retour sur la longue série des Nemuri Kyoshiro avec l’emblématique Raizo Ichikawa. Suite et fin des chroniques avec les six derniers opus s’étalant entre 1966 et 1969 : Mask of the Princess, Villainous Sword, A Tail of Traps, Woman Hell, The spider’s lair, et enfin Hunt for the wicked woman.

Panorama de classiques indémodables de la Nikkatsu avec L’homme de la tempête (1957) de Inoue Umetsugu, l’élégant Like a shooting star (1967) de Toshio Masuda et l’atypique Love Hotel (1985) de Shinji Somai.

Retour sur Hitokiri (1969) de Hideo Gosha, Oh ! Bomb de Kihachi Okamoto (1964) et Armée Rouge - Déclaration de Guerre Mondiale du duo Koji Wakamatsu/ Masao Adachi (1971) avant de finir sur une touche plus légère avec les films de jeunesse Watari, ninja boy de Sadao Nakajima (1966) et l’improbable Godzilla contre Hedora de Yoshimitsu Banno (1971).

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Dernière édition par drélium le 13 Déc 2008 13:23, édité 3 fois au total.

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MessagePublié: 13 Déc 2008 12:35 
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Maîtres es Nanar
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->MAJ Eigagogo! Hiver 2008<-

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1 interview de Henrikku Morisaki
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Fidèle compagnon de route de Shûji Terayama, Henrikku Morisaki est un artisan de l'ombre fortement impliqué dans les nombreux projets cinématographiques et théâtraux de l'artiste. Touche à tout, assistant réalisateur, décorateur, graphiste, preneur de son, il a aussi été acteur dans des performances live expérimentant les frontières du cinéma et du réel. Il nous évoque ici le personnage de Terayama ainsi que son parcours personnel au sein de la troupe de théâtre Tenjô Sajiki.

1 article en 8 parties sur l'Art Theatre Guild
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Retour sur le cinéma indépendant japonais à l'occasion d'un article discutant de son évolution à travers le siècle passé en se focalisant principalement sur les décennies soixante et soixante-dix et l'apport de l'Art Theatre Guild. L'Art Theatre Guild dont les productions et distributions sont listées et chroniquées dans un panorama historique global. Enfin, une galerie exhaustive (et exclusive!) retrace l'évolution des affiches originales et souligne les grandes tendances graphiques de ces décennies. Les films suivants sont chroniqués dans l'ordre chronologique (d'autres textes viendront s'ajouter par la suite) :

et 27 critiques
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Patriotisme De Yukio Mishima
Carnets secrets de ninja De Nagisa Oshima
L'évaporation de l'homme De Shohei Imamura
La Pendaison De Nagisa Oshima
Premier amour, version infernale De Susumu Hani
Le Petit Garçon De Nagisa Oshima
Les funérailles des roses De Toshio Matsumoto
L'approche de l'ombre de la nuit De Akio Jissoji
Journal d'un voleur de Shinjuku De Nagisa Oshima
Il est mort après la guerre De Nagisa Oshima
Jetons les livres, sortons dans la rue De Shuji Terayama
Pandémonium De Toshio Matsumoto
La Cérémonie De Nagisa Oshima
Une petite sœur pour l'été De Nagisa Oshima
L'Extase des anges De Koji Wakamatsu
L'air de Jongara de Tsugaru De Koichi Saito
Errance De Kon Ichikawa
Himiko De Masahiro Shinoda
L'assassin de la jeunesse De Kazuhiko Hasegawa
Double Suicide à Sonezaki De Yasuzo Masumura
L'empire des sales gosses De Kazuyuki Izutsu
Mort d'un tatoué De Banmei Takahashi
Koheiji est vivant De Nobuo Nakagawa
Jeux de famille De Yoshimitsu Morita
La légende de la sirène De Toshiharu Ikeda
Les funérailles De Juzo Itami
Jeunes et sauvages De Nobuhiko Obayashi

Bonne lecture!

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Dernière édition par drélium le 14 Déc 2008 10:56, édité 1 fois au total.

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MessagePublié: 13 Déc 2008 16:39 
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Localisation: Bien au chaud, dans une touffe de noir jésus.
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Ayé, suis amoureux :icon_lovely:

:dejadehors:
Pardon, toussa-toussa...

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Hé! Hé blondin! Tu veux que je te dise: t'es le plus grand dégueulasse que....que... que la terre ait jamais portée!!
Ouin ouin ouiiinnn! :D


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MessagePublié: 13 Déc 2008 18:32 
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Maîtres es Nanar
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Localisation: dans un temple coréen où Bob tourne un kung fu taiwanais
Cette photo ne fait pas partie de la maj et est uniquement là comme outil de captation...

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:-D

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 Sujet du message: Efficace
MessagePublié: 14 Déc 2008 10:23 
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Nanar un jour, nanar toujours
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Inscrit le: 07 Avr 2007 0:13
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C'est très efficace comme technique ! Mais le matin comme ça, c'est un peu dur pour le vieil homme que je suis.

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"But you say : Oh, when love is gone, where does it go ? And where do we go ?" (Arcade Fire - Afterlife)

Je n'aime pas Scorsese (c'est la raison pour laquelle je n'ai jamais vu aucun de ses films). (Elessar - sujet Le loup de wall street)


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MessagePublié: 14 Déc 2008 10:34 
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Docteur es nanarologie
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Inscrit le: 09 Jan 2007 14:39
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Localisation: Derrière toi, un couteau nanar en plastique à la main...
drélium a écrit:
Cette photo ne fait pas partie de la maj et est uniquement là comme outil de captation...

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:-D


Le problème, c'est qu'on ne lit même plus le texte... :icon_lovely:

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Sbel a écrit:
le Mengeance est un film qui se voit froid (moi je l'ai vu cuit, parce que j'avais un peu bu)


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MessagePublié: 14 Déc 2008 11:34 
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Docteur es nanarologie
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Merci Drélium ! Sais-tu où l'on peut trouver des scanns d'affiches de cinéma japonais des années 60 à 80 ?

Allez encore une petite goutte de bonheur :

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Faut régler cette situation au plus vite, ce qui veut dire définitivement.
(Le boss dans Laser Force.)

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MessagePublié: 14 Déc 2008 13:37 
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Localisation: Dans une bulle de confinement psychédélique
Au Japon, j'ai vu des tonnes de DVD "érotiques" avec des nymphettes nippones de la sorte qui se trémoussent sur leur lit, en sous-vêtements, l'air toute mignonne. Ça zoome sur leur décolleté, mais rien de plus.
Encore un concept un peu difficile à appréhender.

Elle n'est pas truhandée la tof avec miss bonnet G ?

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"On était si pauvres, que quand un cambrioleur s'est introduit chez nous, on l'a dévalisé."

"T'as vu, les œufs sont cuits à l'envers..."


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MessagePublié: 14 Déc 2008 16:51 
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Maîtres es Nanar
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Localisation: dans un temple coréen où Bob tourne un kung fu taiwanais
Kobal a écrit:
Au Japon, j'ai vu des tonnes de DVD "érotiques" avec des nymphettes nippones de la sorte qui se trémoussent sur leur lit, en sous-vêtements, l'air toute mignonne. Ça zoome sur leur décolleté, mais rien de plus.
Encore un concept un peu difficile à appréhender.



Oui c'est le concept de la Lolita dont les nerds sont accros. Plus facile à comprendre lorsqu'on sait que l'un des symboles les plus excitant de l'érotisme nippon est la petite culotte Elles ne montrent rien et suggèrent tout mais c'est déjà suffisament érotique pour un japonais.
Ensuite et bien souvnt, il existe différents niveaux d'accessibilité. Par exemple, une Lolita fait souvent du culotte / saut sur le lit pour le grand public, et réserve ses prestations les plus éclatantes pour un public hyper restreint... ce qui alimentent encore plus les fantasmes des Otakus.
(cf perfect blue pour une bonne illustration)

... Bon, sinon, la maj parle de l'érotisme des années 60-70 quand même, et je vous conseille l'article la Nikkatsu roman porno et sur Romain Slocombe pour plus d'infos sur le ciné érotique jap. ;)
http://eigagogo.free.fr/Articles/Pinku/pinku_1.htm
http://eigagogo.free.fr/Personnes/Romain_slocombe/slocombe_4.htm

Kobal a écrit:
Elle n'est pas truhandée la tof avec miss bonnet G ?


Non, non, c'est du 100% mammaire.



Pour les scans d'affiches, j'avais une très bonne adresse... qu'il faut que je retrouve.

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MessagePublié: 14 Déc 2008 20:27 
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Docteur es nanarologie
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Localisation: Derrière toi, un couteau nanar en plastique à la main...
Kobal a écrit:
Au Japon, j'ai vu des tonnes de DVD "érotiques" avec des nymphettes nippones de la sorte qui se trémoussent sur leur lit, en sous-vêtements, l'air toute mignonne. Ça zoome sur leur décolleté, mais rien de plus.
Encore un concept un peu difficile à appréhender.


Et puis on s'étonne qu'ils ont tellement peu de rapports sexuels que la natalité est en train d'en prendre un sale coup... :roll:

Citer:
Non, non, c'est du 100% mammaire.


MERCI LA NATURE!

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Sbel a écrit:
le Mengeance est un film qui se voit froid (moi je l'ai vu cuit, parce que j'avais un peu bu)


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MessagePublié: 14 Déc 2008 21:33 
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Docteur es nanarologie
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Drélium j'admire tes connaissances utiles en nipponeries. En surfant un peu j'ai découvert une galerie de photos de la jeune femme en bikini rouge : http://www.yokomatsugane.org/pictures/album/yoko-matsugane-picture-gallery/

Domo arigato !

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