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Nouvellement arrivé dans un lycée, un prof se heurte à une bande de voyou. Le prof ose défié la bande qui à son tour viole la femme du prof. La vengeance sera terrible.

Signé par le réalisateur de commando, Class 1984 est l'anti "esprit rebelles" (le film avec Michelle Pfeiffer) ici les voyous ne sont pas des jeunes issues des quartiers pauvres ou noirs qui se rebellent face à la société qui les rejettent mais des adolescents issues de beaux quartiers riches. De vrais psychopates qui utilise la violence par plaisir.

Un film bien sympa encore que le look 80's fasse des ravages sur les rétines.

C'est vrai que le "Nous sommes le futur" avec les looks 80's en-dessous laisse songeur.....

chef d'oeuvre.

Très bon film qui fera l'objet, malheureusement, de deux suites...

Pour une fois, on n'a pas droit à la "méchante bande de cacailles pauvres"...
On frôle constamment la légitimation de l'autodéfense et la caricature, toutefois sans jamais (trop) y sombrer...
Un bad guy diabolique, intelligent et charismatique à souhait...
Un bon lot de séquences marquantes à se mettre sous la dent, en prime (faire cours avec un revolver, l'auto cassage de gueule...)

Typiquement années 80, lorsqu'on le visionne, et pourtant encore pas mal du tout

"malheuresement" je dis non !

class of 1999 est tres fun !!! le 2001 je l'ai toujours pas vu

Très bon!!! Le prof a tellement une tete à claques que j'en arrivais à donner raison à Stegman et sa bande!...serieusement,un excellent film qui,malgré le look très 80's, reste mechamment d'actualité(à sa sortie,le film trimballait une reputation sulfureuse)!..et puis j'adore la chanson "I'm the future" d'Alice Cooper(génuflexions de Wayne et Garth"we're not worthy!")

class of 1999 ça déshydrate les dromadaires !!

Perry King, de la bande du Riptide, en prof de musique débarque dans un lycée et se retrouve en butte aux agissements d'une bande d'élèves psychos (qu'on nous montre également comme les parrains du quartier gérant le trafic de drogue, la prostitution et la formation de nouvelles recrues). Présenté presque comme un constat du niveau de déliquescence du système éducatif (pour le coup assez prémonitoire avec ses détecteurs de métaux à l'entrée et ses profs qui passent plus de temps à faire la loi qu'à donner leurs cours) avec tentatives d'explications psycho-sociologiques de la violence juvénile, le film est d'une belle efficacité malgré certaines situations outrancières et le jeu bien fadasse de l'épouse du héros. On remarquera également un tout jeune (et un peu gras) Michael Fox.

Le clou du film est véritablement son final, qui met face à face Perry King et les cancres dans les couloirs déserts du bahut. Mise en scène et photographie deviennent alors particulièrement stylisées. On se croirait dans un jeu d'arcade de l'époque.

Lalo Schifrin plaque ses accords de synthé avec des moufles tandis qu'Alice Cooper chante I am the future la chanson thème.