Rhooooo, un Tsan. Etonnant. Avoue, tu peux plus te passer de moi depuis que tu peux plus m'utiliser comme justificatif multifonctionnel à tout ce qui va mal sur notre vieux forum ?
Alors, donc, si je comprends bien, l'empereur fait exprès d'assassiner le médecin hors de la cité parce qu'on " ne saurait y mourir brutalement ". C'est pour ça qu'après il fait assassiner sa femme et sa fille en plein dans la cité, j'ai bien compris ? Parce qu'on " ne saurait y mourir brutalement "
Les crieurs annoncent que le film sera chiant. Original. Pour moi les crieurs sont là parce que dans les cités de ce type on avait des crieurs. Dans " épouses et concubines " on avait des crieurs et le film n'était pas chiant ( mais c'était mauvais quand même hein ! ), mais je suppose que tu as une de tes brillantes théories à exposer dessus ?
Le monde extérieur qui pénètre la cité, c'est donc.... les ninjas qui s'envolent en CGI ? Alors ça c'est vrai, quand on veut symboliser le monde extérieur, on pense forcément à une armée de ninjas en rang faisant des triples saltos ! Le duel de fin de " black ninja " d'ailleurs symbolise, à travers la posture de Stuart Smith, la déchéance de l'ordre ancien pour faire place à une societé inégalitaire...
Effectivement j'ai regardé " la cité interdite " juste pour le casser. Je me suis dit " bon, j'en ai marre des bons films, je vais prendre une liste des films que Tsan a aimé et les regarder juste pour me défouler dessus ", pas comme toi dont l'objectivité légendaire est prouvée par une absence totale de délire surinterprétatif dans ton discours ( et la coupe de cheveux de Chow Yun-Fat qui symbolise l'ordre froid, tu l'as oubliée

).
Au fait, la cité n'est pas belle. Elle est immonde. C'est aussi ringard qu'Higlander III ou IV avec ses rangées de tournesols là uniquement parce que du sang rouge sur des fleurs jaunes,
c'est vraiment trop bon graphiquement.
Parce que, mon cher, tes discours ils sont bien beaux, mais ils relèvent uniquement de ton délire. Tout l'aspect tragique, il ressort juste d'une version chinoise de Macbeth et pas d'une opposition révée entre monde extérieur et cité.