Ed Gentry, Lewis Medlock, Bobby Trippe et Drew Ballinger, quatre Américains, se réunissent lors d'un week-end afin de descendre une rivière très mouvementée à canoë. Cette rivière devant être recouverte par l'inondation de la région suite à la construction d'un barrage, ils montent cette expédition comme un dernier hommage à la nature défigurée par l'homme. Le danger qui les guette ne provient cependant pas uniquement de la rivière...

En fait ce film m'a traumatisee a vie. Je l'ai vu il y a 10 ans quand je faisais du baby-sitting. Il m'a tellement choquee que je n'osais pas bouger. C'est grace a la coupure pub apre 30 minutes du film que j'ai pu changer chaine. Mais j'etais incapable de parler. Je crois que je ne serai JAMAIS capable de voir ce film. Heureusement que Zardoz et son tournage dans les Wicklow Mountains sont passes par la...

ouéééééé, c'est vachement mieux que la merde de boorman ! c'est pas dans délivrance que t'apprends à mettre un gilet de sauvetage, à passer une corde dans des passants ou à faire un noeud carré !

LE survival ultime ! Tout y est irréprochable et grandiose ! La nature oppressante et l'ambiance étouffante des bayous y sont filmées comme jamais. Et puis les deux péquenauds, c'est probablement les personnages les plus vils et horribles qui existent. Et surtout le film de plus terrifiant qu'il est très réaliste. Ça fait passer pour toujours l'envie de se "ressourcer avec la nature" en plein milieu d'un trou paumé rempli de consanguins.

Si je puis me permettre ce petit pinaillage: le film ne se passe pas dans le Bayou mais dans les Appalaches, qui s'étendent jusqu'au sud-est des USA, dont la Géorgie (état dans lequel, il me semble, le film se déroule).
Donc plutot dans une ambiance de moyenne montagne.

A part ca, je suis d'accord avec la critique.

Et merde encore raté. Bon j'ai vu le film via ciné cinéma mais mon enregistrement de l'époque a foiré et il m'a manqué 5 minutes à la fin.

Quelqu'un pourrait-il donc me dire

Spoiler Si les mecs vont en prison à la fin ? Fin spoiler


Sinon, que dire sinon que ce film est aussi grand que son affiche est moche.


J'adore la transformation de Jon Voight au fur et à mesure, qui est parallèle à la déchéance de Burt Raynolds.

Le film marche aussi bien au premier degré qu'au niveau symbolique, et ça c'est bien aussi.