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Réalisé en 1992 avec Hugh Grant, Peter Coyote, Emmanuelle Seignier et Kristin Scott Thomas.

"Un jeune couple britannique et pudique, Nigel et Fiona, fait la connaissance d'un autre couple très atypique, Mimi et Oscar lors d'une croisière. Ce dernier cloué dans un fauteuil roulant conte à Nigel, l'époux modèle, le récit de sa passion avec Mimi, aux effets tragiques et dévastateurs. Le jeune couple résistera t'il à la tentation et au vice ?"

Génial celui-ci et personnellement il m'avait mis bien mal à l'aise.

personne ne l'a vu !

Si! C'est géant, comme tout ce que fait Polanski, mais celui-là est particulièrement glauque...

Il fait partie de ces films que tu vois ado et tu te demandes si tes parents étaient bien conscients de ce qui se tramait...J'irais jusqu'à dire qu'il est sordide, il en dit long sur les l'usure du couple, la place du sexe, comment on passe de l'amour passionnel à la haine voire au sadisme. Magnifique et dérangeant.

si moi.
ceux qui n'aiment pas emmanuelle seigner à poil, qu'ils n'aillent pas voir ce film. je n'avais pas trop aimé, le film est bon mais je ne devais pas être disposé ce jour là.
coyote est trés bon, franchement antipathique.

Je l'ai vu également, j'ai beaucoups aimé, mon point de vu est axactement le même que Nanar-addict.

Polansky est décidément un réalisateur dont j'aprécie pratiquement toute la filmographie (je n'ai pas vu Oliver Twist et j'ai trouvé la neuviéme porte moyen sur la fin). En plus il a touché a tout (comédie, thriller, fantastique) avec la même réussite.

jamais vu

Très bon Polanski bien tendu autour d'un quatuor bien tordu. Emmanuelle Seigner et Hugh Grant jouent leur rôles de prédilection (la femme fatale et le bourgeois coincé) et ça fonctionne vraiment bien, bien mieux que dans la neuvième porte concernant Emmanuelle Seigner.

Vu à sa sortie. Je dois dire que la scène de la danse entre Kristin Scott-Thomas et Emmanuelle Seigner m'avait totalement scotché à l'époque, en plus de me filer une gaule pas possible. Je l'avais vécu comme un vrai dérapage final du récit vers une sorte de démence libératoire. Depuis, ça me perturbe chaque fois que j'entends "Slave to love", la chanson qui accompagnait la séquence.