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il passe ce soir a 0.35 sur france 3








Let danger befall him. Let winds of fate blow where they may. Andre Moreau will strike a blow for vengeance and the French Revolution. First, he must hone his skill with the blade. By the day Andre secretly perfects his parries and lunges.. and hides his true identity at night behind the mask of stage clown Scaramouche.
A climactic duel that's one of the greatest sequences ever to lay steel to foe caps this bravura adaptation of the Rafael Sabatini ( Captain Blood, The Sea Hawk)novel. George Sidney (1948's The Three Musketeers) nimbly directs all the swordplay, wordplay and horseplay. And Stewart Granger brings dash and deviltry to his portrayal of a hero "born with a gift of laughter and a sense that the world was mad." En garde!

Ben pour moi c'est le meilleur film de cape et d'épée de tous les temps. Et hop !

Je vais le mater à nouveau même si j'ai la K7 quelque part. Stewart Granger est LE HEROS par excellence (quel bel homme) et Janet Leigh est tout simplement superbe !

ben moi je l'ai jamais vu (ou sinon j'etais tout piti piti)


mais je vais bientot reparer cette erreur car www.warnerdvdclub.com va me l'envoyer en cadeau

Une oeuvre éblouissante, jubilatoire, belle et intelligente, c'est un bonheur de spectateur sans pareil. Construit sans aucun temps mort et thématiquement étonnamment riche, le récit m'a enthousiasmé au fur et à mesure de ses développements. Entre honneur, amitié, amour, vengeance, jeux de masques, apprentissage de l'escrime, c'est un véritable parcours initiatique que suit le protagoniste. Les dialogues sont délicieusement piquants, avec un triangle amoureux franchement troublant (Eleanor Parker I love you !), sans aucune miévrerie.

Granger surprend dans un premier temps, dans un rôle où l'on pensait plutôt trouver un jeune premier. Mais le fait qu'il affiche physiquement une certaine matûrité alors qu'il se montre encore assez insouciant et volage va lui apporter beaucoup de profondeur par la suite. Et son charme, sa force de volonté sont merveilleusement exprimés par l'acteur.

Et que dire des affrontements à l'épée, tous prodigieux d'adresse et de prise de risques. Sidney fait bien durer les plans et multiplie à l'intérieur de ceux-ci les mouvements des personnages comme de la caméra, et l'on constate assez clairement que les épées sont parfaitement tranchantes. La jubilation culmine bien sûr lors du duel final, sublime et osé, au sein d'un décor flamboyant, véritablement épique et pourtant monté sans aucune musique (par ailleurs, le score bondissant de Victor Young comporte de très beaux passages).

max, c'est toujour un bonheur de lire tes critiques