Citer:
Porter à l'écran Le Festin nu, le chef d'oeuvre mythique et sulfureux de William Burroughs, tenait de la gageure. C'est pourtant la prouesse réalisée par David Cronenberg, le cinéaste canadien de La Mouche et de Faux-semblants. On retrouve ici William Lee en cavale à Interzone, étrange mélange de Tanger et de New York, où il est engagé comme agent secret par une machine à écrire fort loquace qui se métamorphose volontiers en cafard... Comme Burroughs, Lee tue sa femme avec le « coup de Guillaume Tell » et plutôt deux fois qu'une. Comme Burroughs, Lee enquête sur la drogue, il est sauvé par un ou deux amis américains et il travaille à un roman qui deviendra... Le Festin nu.
Un des plus beaux films du monde !
Superbe réflection sur le besoin d'écrire et qui installe un univers unique. Je suis überfan des insectes géants qui parlent avec le cul
Tout y est excellent et la photographie est mortelle !!!
Je le met sur mon podium de mes films préférés de tous les temps
