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Un remake moderne de Rio Bravo (que je n'ai pas vu). La mise en scène est comme pour tous les classiques de Carpenter parfaite et les acteurs très cool (surtout l'acteur principal !), l'atmosphère est opressante et y'a des passages mortels comme la fusillade au silencieux, le marchand de glaces, l'évasion par les égouts ou encore, ma préférée, celle avec l'employé des télécoms ("Ce bruit, c'est pas la pluie !":rock:)... J'aime bien aussi la photo la nuit et au crépuscule.
Un modèle de film de siège à voir pour tous ceux qui aiment les films de Carpenter et ceux qui aiment les bons films d'action.


L'affiche allemande qui n'a presque rien à voir avec le film y compris le titre mais qui est belle :

l'affiche là c'est plutôt celle de "invasion los angeles" / " they live " non ?

Je l'ai vu une fois sur l'ancien DVD tout pourri. Vision gâchée, à revoir donc.

Par contre le remake français Nid de guêpes m'avait énormément plu.

Curieux film.

Les fans de Carpenter adorent, les autres se demandent ce qu'ils foutent là.

La phrase de Napoléon, d'ailleurs, en VF, c'est t'as pas "UN" clope.

La musique joué à deux doigts sur le synthé, des scènes glaçantes; des anti-héros.

J'ai préféré Nid de guêpes, mais j'ai toujours eu un peu de mal à voir le lien avec Rio Bravo.

Ben si j'ai bonne mémoire, dans Rio Bravo (que j'ai vu à 10 ans) le bureau du shériff est assiégé.

Ca me fait penser que j'ai une édition collector du film (Rio Bravo) avec un commentaire audio de Carpenter (pas sous-titré, merci Warner !).

Bien aimé Nid de Guêpes aussi.

Oui, Rio Bravo et Assault, ce sont des hommes coincés dans un espace donné ( une ville, un commissariat ) qui profite de la situation pour se rapprocher.

L'espace se réduit petit à petit (ville puis bureau du sherif, commissariat puis souterrain ), mais n'empêche... Tarantino se serait contenté de parler d'hommage.

C'est aussi la même structure dans Signes : Maison + village puis juste la maison et les champs puis juste la maison puis le sous sol...

Mais je ne sais pas si Shyamalan s'est inspiré de Rio Bravo ou Assaut.

Assault On Precinct 13 est également inspiré de Zulu film (que je n'ai pas vu) dans lequel des soldats colonialistes anglais sont assiégés par des guerriers zoulous invisibles dont la présence est suggérée par le bruit de leurs tambours..

Pour l'anecdote, Carpenter, qui ne voulait pas voir son nom partout au générique (ça fait un peu cheap), a signé le montage sous le nom de John T. Chance, le nom de John Wayne dans Rio Bravo, façon somme toute assez classe de souligner la référence.

Ce qui est certain c'est que comme plusieurs autres films de Carpenter, Assaut a lancé un genre (le thriller survivor)... Pas étonnant donc d'en retrouver les ficelles dans plein d'autres films de série.

Le remake par rapport à Rio Bravo ne parle pas uniquement de lieu ou d'endroit. C'est plus par rapport à l'alliance entre les forces de l'ordre de la prison et les prisonniers pour se défendre face à une invasion de méchants qui veulent tuer tout le monde à l'intérieur.

Mais dans Rio Bravo, les prisonniers ne s'allient pas aux forces de l'ordre.

On peut imaginer qu'on a un homme brisé ( Deano Martin et Napoléon ) et un homme fort ( Le flic et John Wayne ), mais ça fait léger...

D'ailleurs, dans Rio Bravo, le but des vilains est de libérer le prisonnier

je viens de me mater Rio Bravo. Et effectivement, je trouve plusieurs éléments concordants avec Assaut. je n'irais pas jusqu'à parler de remake mais je pense que certaines idées du film de Hawks ont directement inspiré Carpenter, qui les a juste développées dans son film.

Il y a tout d'abord l'idée principale des hommes de lois traqués par les bad guys. le commissariat/bureau du shérif, normalement le lieu sécurisant où la justice est donnée, devient ce à cause de quoi la violence éclate car il y a dedans quelque chose ou plutôt quelqu'un que les bad guys convoitent. Au passage, retournement de situation intéressant : dans ces deux films les méchants veulent entrer dans la prison au lieu de chercher à l'éviter.

L'homme qui tue Wheeler, le patron de Colorado/Ricky Nelson, n'est jamais fimé de face. Il n'est qu'une ombre quand il tue, on ne voit que sa silhouette quand John Wayne prend d'assaut la grande et quand il est caché à l'étage du saloon de Burdette. la grande majorité des assaillants de Assaut resteront toujours invisible dans le sens non identifiables.

Ensuite le personnage même de John Wayne, la classe et la force tranquille personnifiée ('pas volé son titre d'homme le plus classe du monde) ressemble à bien des personnages de John Carpenter comme cela a été rapporté plus haut. le fait qu'il est aidé par un alcoolique et un vieillard pour lutter contre une trentaine d'hommes qui encerclent la ville puis s'y infiltrent donne l'impression qu'ils ne sont absolument pas à la hauteur de leur tâche. l'ennmi est plus nombreux, plus fort, tapi dans l'ombre et pouvant surgir de n'importe où... Pour ne plus avoir d'ennui, il leur suffirait de livrer l'homme que les bad guys veulent et ils auraient la paix mais leur respect des lois et leur conscience les en empêche.

Je pense qu'il y a d'autres détails dans le genre que je découvrirait peut-être en écoutant le commentaire audio de Carpenter mais pour moi on peut parler de remake ou d'hommage ou plutôt de tribute puisque les éléments les plus importants du film de John Carpenter semblent lui avoir été inspirés par ce film.

Et puisqu'on a parlé plus haut de Tarantino, je me permet de dresser un parallèle avec Reservoir Dogs, largement inspiré par, entre autres, les vingt dernières minutes de City On Fire de Ringo Lam. Ce film comme Assault On Precinct 13 sont délibérément inspirés d'autres films, aucun des deux réalisateurs ne s'en cache. Pour moi, ce qui est admirable dans leur travail respectif c'est d'avoir regardé des films bien structurés, où chaque élément est à sa place (au point qu'on ne peut enlever une partie d'une sous-intrigue sans déséquilibrer l'ensemble [surtout Rio Bravo]) et de s'être dit : "Il y a dans ses films quelques petits éléments qui peuvent faire un film à part entière".

Sinon, on a parlé de Zooloo.

Et je me rappelle qu'il y a une histoire de soldat mutin, mis au trou, qui se comporte en héros.

Carpenter n'a jamais cité ce film-là comme source d'inspiration ?

Il l'a cité pour Ghosts of Mars justement , pour cette façon qu'ont les types de se couvrir à tour de rôle pendant que leurs potes rechargent.

ça faisait longtemps que je voulait le voir, j'ai réussit à chopper l'édition collector à 5 euros et je regrette pas le visionnage.

J'ai They Live en VHS et Assault en DVD et c'est la même affiche. Mais j'aimerais bien savoir pourquoi.

A noté qu'en france il y a 2 édition de Assault, une horrible et une bien plus respectable.

la première édition est testé sur DVDrama

http://www.dvdrama.com/rw_fiche-2709-.php


J'ai réussit a tombé sur la seconde






aprés recherche sur le net je peux confirme que cette édition et bel est bien supérieur à la précédente et ce sur pas mal de point

- Déjà toute les scène y sont, y compris le mélange du sang, et la mort de la petite fille est monté de façon logique (d'abord elle, puis l'autre).

- Il y a un choix entre la VF et la VOSTF, les 2 aux format 5.1 Dolby ou DTS

- L'image n'as pas de problème de clarté a part peut être le passage dans les cellule un peu sombre, mais c'est probablement à l'origine.

- La remasteristion est plus net et coloré que l'édition Z1. Par contre l'image a été recadré, Même si ça ne gêne pas le visionnage pour quelqu'un qui ne l'a jamais vu, ceci est fort dommage pour qui veut profiter du film original à 100 %, et et on se demande bien se qui leur est passé par la tête d'avoir opté pour cette méthode.
Il faut cependant noté la présence d'un traveling sur les personne qui se place sur les personne qui parle. Il n'y a donc aucun dialogue hors champs dut au recadrage.


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comparaison DVDrama et capture fait maison.[/red]

DVD Z1 (DVDrama)



edition collector Z2 (DVDrama)




mon Edition collector (maison, fait a partir de Power DVD)


si les images sont plus clair et net on s'interroge encore sur l'intéret du recadrage


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DVD Z1 (DVDrama)



edition collector Z2 (DVDrama)




mon Edition collector (maison, fait a partir de Power DVD)




comme souligné plus haut, un traveling est présent pour éviter les soucis lors des dialogues


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Quoi qu'il en soit cette édition est supérieur à la colector précédente. Cependant pour profiter pleinement du film dans sa version non recadré, et si ça vous est possible, préféré l'édition zone 1.


Pour ceux qui recherche cette édition

C'est un bordel vu que les 2 édition se ressemble de loin et propose 2 DVD, fiez vous donc à la jaquette bleu et au boitier en carton alors que la précédente est noir. Et surtout à la mention 2DVD
Vérifier au dos si les DVD utilisé sont bien des DVD9 et non des DVD5

Attention, l'arrière de la jaquette renferme une grosse boulette qui peut induire en erreur !!!



Non seulement la VOST est bien présente, mais les 2 langue propose le choix entre un 5.1 Dolby digital ou DTS





Si d'autre personne on les moyen de différentier les 2 édition, ils seront remercié

J'ai l'edtion noire 2 DVD. Mais j'ai pas le souvenir que l'image est aussi degueulasse que ça.
Sinon pour differencier la 1ère de la 2ème ya d'abord la jaquette qui est noire comme gregoire là dit, la version originale sous-titrée est mentioné, le 2ème DVD ne possède pas le documentaire "Les films de John Carpenter", c'est un DVD-5 et sur la jaquette le texte en jaune et les photos sont disposés differament (les photos sont au dessus du texte), il n'y a pas le logo DTS au dessus du 5.1. Je vois rien d'autre.

revu à l'instant, et ça le fait, même sur une vhs pourrie. la mise en scène est ultra-carrée, les coups de stress sont très bien gérés, et les acteurs solides. en prime, quelques légères touches d'humour (le monologue de leigh quand elle désarme wells, le tirage au sort) sont bien amenées.

Très bon film.
Violent, avec une ambiance lourde et angoissante.
Et en prime ce petit je ne sais quoi propre aux polars américains des années 70...

Il y a aussi eu Assaut sur le Central 13, remake moderne et de qualité.