Bon, alors, on en parle ? Ils sont où, les rageux qui hurlaient à la mort que Tonton Spielberg avait pissé sur leur enfance avec le Crane de Cristal, qu’il pouvait pas y avoir pire Indiana Jones, que la licence était morte et enterrée ?
Avec ce 5e opus, on vous prouve tout le contraire, on vous montre qu’en sortant l’artillerie moderne des effets spéciaux, en ramenant des pointures du cinéma, et en sortant de la naphtaline des vieux de la vieille de la licence, tout en surfant sur votre nostalgie encore plus allègrement qu’à l’accoutumée, tout en essayant de brosser la wokitude du public un chouïa histoire de faire bonne figure, on peut vous finaliser tout ça sous la forme d’un bon gros tas de caca bien fumant.
Non mais vous vous attendiez à quoi ? Posons un état de fait. Pour ma part, j’ai vu La Dernière Croisade en 1989, je devais être au CM2 à l’époque (« OK Boomer ? » M’en fous). Il s’est passé 18 ans pour qu’un opus suivant sorte (et encore presque autant de temps pour que le dernier montre le sale bout de son nez). J’ai donc dû vivre deux fois l’âge que j’avais lors de la Dernière Croisade, avant de revoir Indy au cinéma. Le film s’est littéralement cristallisé dans mon cerveau, à force de rediffusions, de Marathons de le Trilogie, ou de simples soirées films and chips. Je connaissais les dialogues par coeur, la musique est gravée dans mon esprit, scène par scène, bref, cet épisode 4, pour que ça me fracasse autant que le troisième Opus, il fallait que le level soit placé très haut ! Très sincèrement je pense que n’importe quoi d’autre qui nous aurait été servi m’aurait déçu.
Petit disclaimer : je n’aime pas Le Crâne de Cristal. Prenez cet état de fait comme posé. Je ne suis pas là pour me prendre des tombereaux de merde par une armée de fanboys qui hurlent qu’on a craché sur leur enfance en gâchant la licence Indiana Jones, ou par quelques opportunistes aux manières de bullies, en manque de victime à harceler, et qui ont décidé de balancer quelques coups de rangers aussi vicieux que lâches dans les noix lorsque la cause de leur ire est déjà à terre avec le pif en sang, tout ça parce que South Park a encore dicté la bonne parole sur le parti et l’attitude à prendre (South Park est tout à fait capable de faire de la grosse merde, et le public de ce média de prendre ça comme la bonne parole messianique avec une absence de recul à faire pâlir un afficionado du platisme).
Par contre, moi, je sais pourquoi je n’aime pas ce film. Et tout n’est pas indéfendable, ou du moins certains arguments en faveur ou en défaveur de ce film sont à mesurer à l’aune de la licence, et donc des opus précédents.
Crevons un abcès : Shia Labeouf. Un acteur au jeu et aux incarnations bipolaires, capable parfois du meilleur comme souvent du pire. Malheureusement, dans ce rôle il donne une prestation complètement à côté de la plaque, avec son mini Marlon Brando-tarzan-escrimeur-loubard. Difficile de le voir en sidekick comique, reflet du jeune spectateur, comme le personnage de Demie Lune dans le Temple Maudit. Il n’est pas repris dans le numéro 5, j’imagine parce que d’une part l’acteur est connu pour être difficilement dirigeable, en plus d’avoir été la cible principale des tomates pourries lancées par le public, un peu comme Jar Jar Binks dans Star Wars 1, et d’autre part, car Shia ne peut plus avoir le rôle du jeune garçon à qui on propose le flambeau (même s’il ne l’a pas à la fin du 4), car trop vieux pour cette fonction. Son hyperactivité et son âge ne lui permettent plus l’identification du jeune public : dans le 4, il joue le rôle de « passager actif », capable de quelques prouesses et péripéties, mais surtout constamment dans la découverte de l’univers d’Indiana Jones, la contemplation et l’apprentissage. Dans le 5, il n’a plus ni l’âge, ni le manque d’expérience pour se permettre de reprendre ce rôle, pour notre plus grand plaisir, avouons-le.
Maintenant, passons rapidement sur le scénario et les principaux écueils relevés par les fins et perspicaces critiques lorsqu’il s’agissait de lever le museau et hurler avec la meute. Le Crane de Cristal part d’une croyance, celle des pouvoirs de ces fameux cranes. Si les cranes de cristal existent bien dans le monde réel, il s’agit toutefois de sculptures ouvragées sensées être précolombiennes,
mais qui sont de faux artefacts du passé. Dans le film, il s’agit de véritables cranes extraterrestres, qui auraient visité la Terre à différentes époques, et qui auraient été à la tête de Civilisations anciennes, auxquelles ils auraient fait don d’une partie de leur savoir et les prémices de la Technologie. Comment ? Qu’ouis-je ? C’est n’imp ? Ma foi non, puisque c’est une théorie dite des Anciens Astronautes, comme expliqué par Jacques Bergier dans son fameux bouquin du « Matin des Magiciens ». Vous le saviez ? Ah… Et donc vous êtes pas d’accord ? Parce qu’on sait bien que les écrits de Bergier, c’est de la marde ? D’accord. Donc les croyances sur lesquelles reposent les précédents opus sont plus crédibles ? Alors posez vous la question : en quoi la Bible, l’Arche d’Alliance, le Graal, c’est plus crédible ? Il y a une hiérarchie des Croyances, avec les croyances crédibles et celles pas crédibles ? C’est vrai que les Anciens Astronautes, c’est en effet une croyance moderne à la noix, revendiquée par une poignée d’illuminés à travers le monde, certains parfois aussi dangereux que fous, capables d’aller jusque dans les écoles pour contredire les cours des professeurs au nom de leur foi… ah ben en fait le Graal et l’Arche d’Alliance, mis à part que c’est des croyances plus vieilles... Par ailleurs si vous n’aimez pas ça, n’hésitez pas à aller humilier la série (et le film) Stargate, qui repose sur les mêmes fondements.
Finissons par les péripéties : certaines sont too much, et d’autres sont vraiment over too much (je passerai celle de Tarzelvis et les singes, j’ai beaucoup déjà trop donné d’importance à Shia). Voir Harrison Ford faire des pirouettes et de la course sur poutre en évitant les balles, la suspension d’incrédulité en prend un coup. Par contre, la triple chute d’eau, le tir au bazooka, et le coup du frigo protégé au plomb, pour moi ça passe crème. Non, c’est pas crédible du tout, oh oui je sais, il devrait être à l’étatde pulpe au sortir de son voyage express en frigidaire, mais recontextualisons, on est sur une captation filmique d’un condensé de romans PULP. On a déjà vu un gamin de 8 ans battre des adultes au kung fu, un vieillard abattre un avion à coup de mouettes, et Indy tomber d’un avion en canot de sauvetage sur un flanc de montagne, plonger d’une falaise avec un tank, rattraper à la nage un hydravion, se suspendre à son fouet pour sauter par dessus divers abîmes, arreter un wagonnet lancé à pleine vitesse par la force de ses chaussures (après la course sur rail la plus pétée de l’histoire, battant de peu celle de « la ballade des Dalton »), résister à divers poisons, se tirer d’un incendie attaché à une chaise et résister à un battle de regards avec Sean Connery pendant plus de 5 secondes. Et vous allez pinailler parce qu’il s’enferme dans un frigo ? Dix minutes avant, il file à Mach 2 assis sur un grillage, et pour le frigo, on pinaille ?
En bref, j’avais pas trouvé fifou ce quatrième film, certes des passages amusants, mais avec beaucoup trop d’écueils pour y prendre du plaisir. Et pourtant, je n’irai pas dans le sens de ceux qui le charcutent en psalmodiant des incantations Cthulhiennes lorsqu’il s’agit de l’évoquer. Non, Spielberg n’a pas violé mon regard d’enfant en sortant le Crane de Cristal.
Mais cessons d’évoquer un métrage qui ne mérite pas qu’on lui accorde tant d’importance, penchons nous sur son petit frère, le 5e de la portée…
Le film est en même temps un Rise Again et un film de Conclusion. Un Rise Again, car on découvre un personnage au fond du trou, qui doit faire fi de la patine du temps et des écueils qui l’ont marqué, pour repartir dans une aventure au rythme et aux dangers équivalents à ceux de sa jeunesse, malgré une diminution physique et morale liée à l’âge, entre autres. Un épisode de Conclusion, car le film se présente comme un dernier baroud d’honneur d’une personne qui n’est clairement plus à sa place dans ce monde, et qui sait qu’il vit là sa dernière aventure, voire ses derniers jours. Et en cela le métrage est dichotomique, voire carrément schizophrène : le personnage doit rebondir après des évènements tragiques (antérieurs au début du film) qui viennent sabrer la fin très positive (et qui s’apparentait à une Conclusion du Cycle, alors arrêtons de passer le zombie au défibrillateur et laissons-le mourir, merci) du quatrième opus. Indy doit également reprendre du service alors qu’il est physiquement diminué, tout en restant au centre de l’attention. Après tout,
c’est son film (enfin, on peut en discuter, j’ajouterai juste que Mad Max Fury Road porte très mal son nom, vu le peu d’importance donnée au personnage, écrasé par Charlize Furiosa Theron).
Faisons un petit parallèle avec un Rise Again qui conclue une franchise, ou au moins un « cycle » : Cars 3 reprend un schéma avec un héros vieillissant, qui a connu la gloire dans les opus passés, et qui doit apprendre la dure leçon de la vieillesse, et qui finalement, après une longue phase de déni, passe le flambeau : tout le dernier arc est d’ailleurs réservé à cette notion, et fait un écho à des péripéties du début du film et du premier opus, ce qui permet de « boucler la boucle » et de donner une conclusion à une franchise qui ne s’éternise pas (du moins j’espère).
Un des problèmes est que Indiana est, dans son film, au coeur de l’action : on peut mesurer l’impact d’une scène d’action en prenant en compte principalement son maillon faible. Et ici, c’est le docteur Jones. Comme il n’arrive plus à suivre la marche, tout le monde se met à son rythme, et donc c’est un peu mou. La poursuite dans les archives de l’université, et la bagarre dans l’hôtel, en sont de bons exemples. Tout est lent, et surtout, tout donne l’impression que les antagonistes sont de gros incompétents empotés, pas trop pressés (en mode « Damodar » pour les connaisseurs).
Les effets spéciaux sont jolis, mais au vu du budget et de l’époque, c’est pas trop une surprise. Ils sont corrects sans plus. Rien n’a particulièrement marqué. Dans chaque opus (des années 80, il y avait un truc qui était marquant. On peut retenir les nazis fondus du premier, l’arrachage de cœur du second, le vieillissement accéléré du troisième. C’était visuel, et pas tout public. Le crâne de cristal nous avait déjà omis ce genre de scène, et ici, c’est carrément lisse (un parallèle à faire vis-à-vis de la violence, carrément lissée dans ce film). On a fait tout un battage sur ces scènes de rajeunissement, oui, c’est joli, mais je pense que d’ici peu ce sera daté comme celles de Tron 2 et de Rogue One. D’ailleurs, la technique n’est pas parfaite, et on voit par moments le subterfuge. Par ailleurs tout cet arc est plongé dans le noir, sûrement pour aider cet effet spécial, mais cela rend l’action assez confuse, et on devine les actes et les coups plus qu’on ne les voit, la suspension d’incrédulité faisant le travail de relier les coups portés et leurs impacts. J’ajouterai que la scène sur le toit du train vue de loin doit vraiment être de l’image de synthèse pure, les mouvements d’Indy dans sa course étant vraiment très étranges.
Les protagonistes qui l’entourent sont (et doivent) être les fruits de leur époque. En ce sens, je trouve que les sidekicks du 5e opus ne sont pas du tout à leur place, paraissant intemporels, et sont super mal écrits et joués. La filleule, rarement personnage dans un grand film n’était apparue comme aussi fade à mes yeux. A cela il faut ajouter un personnage mal écrit, changeant sa fiche de caractère lorsque la scène en a besoin. Personnage opportuniste, elle joue parfois les Elsa Schneider de pacotille, notamment pendant la vente aux enchères, mettant son parrain dans une situation où il risque la mort. C’est encore ce genre de personnage à la veste réversible qui doit être bien écrit et peaufiné pour être crédible. Elsa était de ceux-ci : ambivalente, arrivant à plus ou moins assumer sa situation, s’alliant avec qui tient les rênes, elle se laisse corrompre par son désir de pouvoir et de succès et en subit les conséquences. Dans le quatrième, le personnage de Mike aurait déjà bien voulu être aussi profond. La filleule a un profil qui s’assume au début dans le même sens : elle est self made, traine et s’acoquine avec les pires, multiplie les dettes et les relations instables et tient en permanence le diable par la queue. Et c’est en quelques jours de présence avec un parrain absent depuis des années, retrouvé par opportunisme, qu’elle fait un dernier demi-tour pour repartir (plus ou moins) dans le droit chemin, et agir dans l’intérêt du collectif et non plus pour sa sale petite frimousse uniquement.
Elle a pour sidekick (nouveau concept : le sidekick de sidekick) un jeune garçon, qui se rêve devenir pilote en apprenant à faire voler un avion en buvant les paroles des pilotes de passage (un peu comme si on apprenait le patin à roulettes en lisant des manuels d’instruction). Désolé de la manière dont j’amène la chose, mais il a vraiment l’air d’un millenial qui s’est trompé d’époque,
avec son cynisme à 4000 % son impression de se faire chier à chaque scène, et son air blasé de revenu de tout. Il lui manque un portable greffé à la main. En passant, une scène étrange : en attendant Indy qui fait des emplettes en préparation d’un périple, le jeune dit à plusieurs reprises « Mais qu’est ce qu’on fait là ? », et on a l’impression que la question est posée de manière extradiégétique, un peu comme si il se demandait si le film prend la bonne direction. Là où Shia avait au moins la décence de s’intéresser un peu à se qui se passe autour de lui, ce gamin en a non seulement rien à foutre d’Indy, mais surtout ne pense qu’à se barrer du cadre de l’action pendant tout le scénar, comme s’il était un relou au premier rang qui arrêterait pas de dire à sa nana « qu’est ce qu’il est naze ce film, on ferait bien de se casser ». Beeeen, casse-toi dans ce cas, mec, laisse nous regarder le film...
Le grand plan du méchant (Madds Mikkelsen assure plutôt bien le jeu, il fait un vieux nazi inquiétant avec une certaine classe).Par contre l’arc final est discutable : on est dans un cas d’eucatatrophe pantouflarde au possible : le méchant, aussi doué soit-il, a mal calculé un paramètre, et tout son plan s’effondre. Alors certes, c’est souvent par une certaine ignorance que les méchants sont punis dans la franchise : les méchants fondus du premier opus et Donovan le desséché du troisième peuvent le certifier. Mais là, c’est hors sujet. La coutume de la franchise veut que le méchant soit puni par l’objet de son désir Belloch explose par le pouvoir de l’Arche, le Sorcier est brûlé par la pierre de Shankarah, Donovan vieillit et se décompose après avoir bu la mauvaise coupe, Galadriel a le cerveau cuit par le trop plein de savoir qu’elle essayait de siphonner. Et là le méchant meurt d’une balle de pistolet, après que son plan se délite sous ses yeux. Par ailleurs, le McGuffin de cet opus est vraiment pas terrible. Les trois premiers opus parlent d’artefacts divins perdus ou volés, le quatrième est la quête de la connaissance absolue, et là, le voyage dans le temps, voyage qui ne sert à personne par ailleurs. Le méchant le rate, le créateur de la machine n’en a cure, et Indy n’y gagne rien. Zéro partout, balle au centre.
L’atmosphère de ce film est ce que je retiendrais et ce que je trouve le plus intéressant, car elle semble véhiculer un message.
C’est le passage avec l’arrivée de Sallah qui m’a fait tilter : le retrouver vivant dans un immeuble minable de New York, dans un appartement qui paraît bien trop étriqué pour sa nombreuse famille est une scène plutôt triste, quand on se remémore son introduction dans les Aventuriers de l’Arche Perdue, sur sa terrasse surplombant la ville du Caire dans une blancheur éclatante, dans une scène évoquant une belle vie… en fait, c’est l’impression générale que ce film rend, volontairement ou non. C’est la fin du Pulp, de l’Aventure et des Rêveurs. Comme disaient Barbossa et Jack Saparrow : « Autrefois le monde était beaucoup plus grand. - Le monde est toujours le même. Il est juste moins attrayant. » On le ressent bien dans le contexte dans lequel évolue Indy avec le temps. De son université aux grandes pelouses propres du premier opus, de sa petite maison cosy de banlieue, on passe à une introduction de film dans un univers urbain, mouvementé, sale, bondé. New York est déjà anxiogène et étouffant. De sa classe de jeunes filles sages l’écoutant dans un silence religieux, on nous présente un professeur Jones invisible, dans une classe sombre, aux élèves prompts à la sieste. Le prestige n’est plus là, et on nous le fait bien comprendre.
Indiana Jones 5, c’est la mort du Pulp. Plus de Pulp, plus de rêves de voyages, d’aventures, le monde est connu et ses habitants sont blasés, le monde est laid, anxiogène et pollué, adieu les grands espaces de liberté, et donc plus d’Indy. A la fin du film, Indy veut être abandonné sur les lieux de leur découverte, estimant qu’il est arrivé au bout de son aventure, et que c’est là que sa nouvelle aventure commence (la mort?), et il demande à être abandonné avec tellement de supplication dans la voix, qu’on peut se demander si ce n’est pas un vœu d’Harrison Ford de supplier la Production, les scénaristes, le public, d’arrêter d’en redemander, que les aventures d’Indy c’est bien gentil, mais il est vieux, et il a plus envie de faire tout ça pour faire revivre des madeleines de Proust de 40-50 ans, et par pitié qu’on en finisse. Amen, vieux, amen.
Indiana Jones ne pourra pas être renouvelé, ou du moins pas sans être revu et corrigé avec les codes du moment (et si on fait ça, moi, je vous préviens, je vomis). Pour faire un parallèle, James Bond a eu plusieurs itérations, avec à chaque fois un acteur différent, et à cet acteur une ambiance bien à lui : le pulp noir et violent avec Connery, la légèreté du dégel avec Moore, l’actioner Reaganien avec Dalton, l’après guerre froide politique complexe avec Brosnan, et les nouvelles menaces mondiales avec Craig. James Bond peut se le permettre, on ne sais pas si les acteurs reprennent le personnage ou si le personnage endosse un patronyme de substitution (perso je penche pour la première option, beaucoup d’indices montrent qu’il s’agit de la même personne, du moins jusqu’à Brosnan). James Bond évolue donc facilement avec son temps, ses codes et ses mœurs. Indiana Jones ne peut pas se le permettre. Indiana Jones, on sait que c’est Henry Jones Junior, né au début du XXe siècle, on connaît son père, on connaît son fils et sa femme. Le changer d’acteur, le rajeunir, voire le dégenrer, c’est changer le personnage, et donc ne pas faire Indiana Jones. Donc stop, arrêtons-là, par pitié.
Juste pour finir : Un passage attendrissant, la fin : alors la scène est encore une fois un écho d’une scène connue des Aventuriers d l’Arche Perdue, c’est du facile. Non non, moi c’est de voir ces deux vieilles personnes s’embrasser, c’est un petit moment tendresse et positif qui finit bien le film (et par pitié clôturez cette franchise à jamais!!!)
_________________ Festival de la tarte à la va... Mais qu'est-ce que c'est que cette connerie? Il est où, mon "che" ?
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