Forum Nanarland.com

Film japonais (1999). Policier. Durée : 1h 45mn.

Jojima est un policier qui s'est fixé comme but de mettre fin aux activités du truand Ryuichi. Mais quand il voit que le seul moyen de sauver sa fille, atteinte d'une maladie mortelle, est de réclamer l'aide d'un caïd yakuza afin de payer l'opération, Jojima n'hésite pas et pactise avec l'ennemi.
De son côté, Ryuichi a également des problèmes familiaux : son petit frère, de retour des Etats-Unis où il était parti étudier, réalise soudainement que l'argent qui a financé sa formation provient d'actions criminelles. La tension et la rage vont aller crescendo...



houlala !


apres ce résumé tres officiel, la réalité du film

c'est censé etre top delire,excitant, le futur du cinéma

ah ?

ca commence par 7525411 plans en 2 mins. on distingue vaguement un rail de coke de 3m de long, un meutre de pédé dans des chiottes (desolé d'etre vulgaire, je reprend les mots du film), des images dans tous les sens.

puis on a affaire à un film de yakusa (pfff ca vaut pas yakusa contre triades) tres banal, tres chiant avec tous les clichés sur la vengence, le remords, les liens familiaux entrecoupées de qq scenes destinées à choquer le bourgeois : et hop ! une sodomie par un chien ! et hop une noyade dans les excréments !

spoilerrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !!!!!!!!!!!!!!!! (ok je viens de le rajouter)


le film devient regardable environ 20 secondes avant la fin du film.
le duel entre les 2 protagonistes qui commence au flingue de base devient un duel au basooka contre boule d'energie à la dragonball Z.
resultat : la planete est detruite....

et il y a deux autres "choses" comme ca....

et un navet de plus, un ! takeshi mike devrait vraiment faire un autre metier.

paye ton spoiler mon coco

ca existe vraiment merdeman ?

c'est un méchant de spectreman ça, non?

takeshi mike , rien à voir avec battle royale ?

ok alors

non c takeshi kitano qui joue dans BR.

non je pensais au réal de battle royale ....

Non c'est Kinji Fukasaku

ok

ne croyez pas le vil pourceau qui a rédigé cette chronique ! je propose une contre-expertise des trois DOA, dont à la limite seul le dernier approche du nanar...

Epicentres névralgiques de l’œuvre foisonnante de Takashi Miike, les trois Dead or Alive s’imposent comme des films à part et matriciels, des sortes d’ " Explose-moi si tu peux " délitant les genres jusqu’au vertige.

Tokyo, quartier de Shinjuku. Tandis que les malversations diverses s’enchaînent de façon totalement démesurée, un flic part en chasse d’un gang de japonais déracinés, jusqu’à un duel final ne ressemblant à rien de connu. Dans un univers parallèle, deux tueurs à gage retournent sur l’île qui les a vus grandir pour mieux se préparer à affronter les restes d’un monde sans idéaux. Trois siècles et des poussières en suspension plus tard, en 2346, la ville de Yokohama est sous la férule d’un dictateur gay qui interdit les naissances. Un cyborg peroxydé se joint à la lutte de ceux qui veulent fonder une famille. A priori, aucun autre lien entre ces trois récits que le duo d’acteurs principaux, Sho Aikawa et Riki Takeuchi, figures en perpétuel mouvement du " gentil contre le méchant ". L’on se plaît à présenter les Dead or Alive comme une fausse trilogie, trois variations " psychotroniques " sur le même thème de l’affrontement jusqu’au-boutiste. Mais si les raccords se font discrets, il n’en existe pas moins une certaine unité du chaos, dictée par les désirs filmiques de leur maître d’œuvre, portés ici à leur apogée. A l’origine destinée au seul marché japonais de la vidéo (le V-Cinema), cette saga parvient à pulvériser ses impératifs de pure commande, et à suggérer un équilibre en trois temps entre l’assimilation des sous-cultures et les velléités d’auteur de Miike.

Les cimetières de l’amoral
En substance, en une illustration quasi cynique du postulat selon lequel un réalisateur raconte la même histoire de film en film, les trois Dead or Alive dispensent des données narratives concordantes. Confrontation des deux protagonistes, nostalgie et préservation de l’enfance, ou encore l’arrivée finale d’un surnaturel en étrange cohésion avec le reste du métrage. L’analyse pousserait même à avancer qu’il s’agit de la même histoire mais racontée de trois façons différentes, en autant de facettes du cinéaste fécond. Tout d’abord à l’affût d’une déconstruction totale du rythme dans le premier volet, foire éthérée aux extrêmes entourée de parenthèses hallucinées en ouverture et en conclusion, et où s’entrechoquent culture manga et hystérie clinique dans des plages sciemment " trop " longues. Aucun reliquat de cet esprit rock’n’roll ne vient perturber la narration d’un deuxième volet magnifique (écrit par Nakamura Masa, scénariste du déjà superbe Bird People in China), suspendant son vol au-dessus d’une île voisine de celle de la Sonatine de Takeshi Kitano. Miike y fait appel à cette puissance poétique qu’on lui oublie vite pour un rendu proprement hypnotique. Le dernier " épisode ", semblant de parodie cheap de Blade Runner tournée en DV, tire parti de ses effets spéciaux douteux (ciel " futuriste " retouché sur Paint, Bullet Time tout pourri) pour tirer sa trame vers une amertume insoupçonnée, sur les mêmes enjeux familiaux que ses prédécesseurs. Car en repoussant les limites du cinéma d’exploitation avec son regard d’auteur impulsif, Miike est parvenu à formuler des interrogations formelles qui se répondent d’un film à l’autre. Un vivier bouillonnant d’inventivité idéal pour découvrir leur auteur, dans toute sa démesure.

dead or alive est le film representatif pour celui qui veut comprendre le sens de la vie et de la mort, du bien et du mal, de l'amour et de la haine, bref tout est antinomique mais aussi embleme ostentatoire des entités nefastes de l'identité humaine contemporaine en sachant que le japon a quelque années d'avance par rapport à la vieille europe on peut dire que dead or alive est une allegorie malsaine et destructrice de notre penchant morbide à se morfondre dans des système antisocial tel que la drogue et la violence dans le seul but de s'autopromouvoir une pseudo-liberté d'agir et de penser ainsi que les manieres d'apprehender un monde qui nous oppresse sans cesse de l'interieur ou de l'exterieur, l'intensité du mal qui reside au sein même de nos esprit de gens à l'esprit bien cartesien, la violence extreme voir même l'inhumanité que certain personnage executent sans penser au mal qui repandent dans la société est un moyen d'echapper au quotidien stressant et stressé, sans culpabiliser des moments de conscience qui reprends l'innocence de l'agneau qui vient de naitre par la destruction de la planete terre à la fin de l'oeuvre. L'homme est il en train de s'autodetruire en essayant de s'épanouir physiquement et intellectuellement? L'homme est un loup pour l'homme avait dit un philosophe, moi je lui repondrai que la rencontre d'une roquette de bazooka et un kamehameha est nuisible pour l'environnement et l'humanité.

J'ai bien aimé ce film, le 2 aussi.
Pas encore vu le 3.

tres inegal dans le rythme (debut et fin hyper speed avec grand relachement parfois) mais bon et dejanté. j ai moins apprecié le 2 car trop differet, pasencore vu le 3 mais vu que j ai le coffret je devrais le regarder unde ces jours

DOA >> bien