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Catégorie : Gros Navet.

Scénario laborieux, acteurs peu nombreux mais démotivés, doubleurs dépressifs, ennui suprême. Restent 2 méchas sympas complétement sous-exploités. Alan Smithee à la réalisation, un signe qui ne trompe pas.




Le Dénicheur de titres à éviter de Nanarland a encore frappé.

Allez, j'dénonce :c'est Masato "Kamikaze Taxi" Harada qui se cache derrière ce Alan Smithee là.

un film tellement sombre qu'on peut le voir les yeux fermés

Mouarf, oui, c'est vrai. A ranger dans la même catégorie que "Alien" en VHS !!

Dans mes souvenirs c'etait assez minable et on voyait le fameux robot quelque chose comme 5 minutes.

Houlààà ! Ca crache sec dans la soupe ici !

Gunhed, enfin Robotwar, c'est à la base une BD pas mal de Kia Asamiya. Du bon gros classique Jap/SF millésimé 90's. Pour la réal', c'est donc Masato Harada qui s'y colle ; il ne pourra se sauver que par un sous éclairage insuffisant pour masquer les effets en carton et autres montages au scotch (pas même 12 ans d'age, pff!).

Le design du robot bien sympa est du à Masaharu Kawamori qui avait déjà bossé sur Macross.

On notera que les quelques plans réussis finiront pour un clip de Frontline Assembly bien mieux foutu que le film !!!

Quand à l'auteur, on peut le lire avec également Silent Moebius, ça passe bien mieux.

Paix à ma VHS de ce chef-d'oeuvre -sic!-

L'ami Masato est quand même le premier à cracher sur ce film. Quant au design, à part sur les photos d'exploitation, on ne peut guère en profiter...
Et pis, pour Silent Moebius, t'es sympa, j'trouve, j'ai trouvé ça chiant comme la pluie (si le manga branche quelqu'un, d'ailleurs...)

Masato Harada n'a jamais réussi à faire de nanar.


C'est soit des bons films (kamikaze taxi, choice of Hercules,..))

soit des navets (inugami, rowing row,..)

Il y a d'ailleurs une constante quand c'est un film de commande c'est forcément un navet

Le minerai qui est à la base de l'histoire (rire) s'appelle le TEX MEXIUM, non?
Sinon, dans mon souvenir y a des maquettes (cool!) et des mecha arthritiques (ils roulent et bougent des bras, wahou!).
Mais le robot est néanmoins philosophe: "on ne peut pas aller plus vite que le temps", dit il alors que la tour futuriste high tech (re-rire car c'est surtout une carriere ou il fait noir) menace de sauter nucléairement.
J'l'ai regardé plein de fois quand j'étais petit, mais il me manque pas.

J'ai la vidéo planquée dans les étagères de vieilles cassettes de mes parents.

Je me souviens d'une équipe couillue à la commando qui meurt au bout de quelques secondes, de scènes dans le noir où on ne comprend rien à rien, d'un grand asiatique qui mange des carottes.

Et je me souviens surtout que le black qu'on voit sur l'affiche meurt au bout d'une dizaine de minutes.