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Nouvelle chronique en ligne sur le site :

http://www.nanarland.com/Chroniques/chr ... movie.html

Excellente chronique, pour ce qui reste un des grands moments de consternation de la nuit excentrique. Arriver à être moins raffiné que les comédies italiennes infligées par la cinémathèque, c'était un exploit. Mais les américains sont ainsi : partout ils veulent être les plus forts, même sur les films de pet.

Une chronique qui va rester dans les annales... désolé...

Parce qu'il fallait bien que quelqu'un la fasse

http://www.youtube.com/watch?v=EhdnU9vfgKE

"on est hypnotisé par tant de bêtise, fasciné de façon presque morbide devant ce Sahara scénaristique, ce Gobi visuel, ce Mojave interprétatif : ce néant artistique absolu qu'on encaisse avec un abattement incrédule, les bras ballants, les pensées en déroute. Plus que le degré zéro de l'humour, plus qu'une énième manifestation de la profonde inanité de l'existence, F.A.R.T. the Movie est une œuvre terrifiante sur le vide."

Une des plus belles choses jamais écrite sur nanarland

une chronique approuvée par misou-mizou et john nada ne s'est pas déballonné devant le sujet, en sachant ne pas brasser de vent, devant un film qui avait pourtant lâché un renard difficile à suivre. Superbe

Le seul point noir de cette chronique, c'est qu'elle fait rudement hésiter à se farder le film. On dirait que ç'a l'air plus malsain encore que Brigade Anti-Sex (et les extraits dans les cuts ne démentent pas cette impression).


C'te tête de winner... Y'a pas à dire, mais y'a quand même du boulot d'acteur pour y parvenir !

Oui, on est clairement plus proche du navet que du nanar sympathique - d'où la note de 1/5 et l'absence de tendresse et de bisous dans cette chronique. Ceci dit, après un brain-storming de ouf avec Labroche et Rico (5 secondes montre en main), il était évident que ce truc était tellement WTF qu'il fallait impérativement en parler sur le site. Du coup l'écriture de cette chronique fut cathartique, ça m'a fait du bien de me rincer un peu le cervelet (merci d'ailleurs à Labroche et Rico pour les commentaires de caps, puisqu'il s'agit pour certains de vannes qu'ils ont sorti pendant qu'on matait le film).

Ah, je vois que certaines techniques de rédaction sont universelles.

J'ai ressenti la même chose pour patrouille de nuit, et oui je confirme, ça n'a pas donné aux gens l'envie de le voir ! Belle chro en tout cas, chapeau.

Félicitations pour avoir réussi à - très bien - chroniquer ce... cette chose ! Ça a vraiment l'air redoutable.

Bon, la blague a dû être faite maintes fois, mais je n'ose imaginer l'objet en odorama...

Superbe chro', je suis fan des commentaires de caps !

Le truc marrant, c'est que quand j'ai découvert l'expression US "it's a gas !", je me suis tout de suite imaginé que ça avait après coup fait l'objet de jeux de mots n'ayant d'égal que ceux tournant autour de Uranus. Mais finalement, il m'aura fallu attendre ce film pour voir ce jeu de mot tellement évident trouver son public....

Est-ce que ce film n'a tout simplement pas mal vieilli ? Ou était-il déjà ringard à l'époque ?

Je suis peut-être complètement hors sujet mais ça me rappelle les sketchs de "Terence et Philip" dans "South Park"...même niveau zéro.

Je crois que le chro est plus drôle que le film.
Mais cette tête de winner m'explose à chaque fois que j'y pense- c'est incroyable d'être autant satisfait de sa connerie.

J'aurais jamais cru voir une trollface en vrai !

Bon, on l'a vu dimanche soir (je ne remercie pas le type qui a upload ça sur Dailymotion). C'est d'un niveau de navrance que je croyais inatteignable, et pourtant j'ai regardé "la dialectique peut-elle casser des briques?" jusqu'au bout.

Pour dire, le seul truc du film qui se rapproche plus ou moins d'un gag potable est le dialogue sur l'âge du vieux et le baisser de pantalon. Pour le reste... Ben, tu t'efforces de tout oublier au fil des minutes, et tu pries pour ne pas conserver de séquelles trop graves de la chose... Et la bouteille de Malibu a bien aidé, aussi.

C'est beau !

Evidemment.

Si quelqu'un a un truc pour faire le machin via MP, je suis preneur

Une question que je me pose: ne vaudrait-il pas mieux le classer dans "au-delà du nanar" ? En effet, outre qu'il me paraît inconcevable que les auteurs aient pu croire pouvoir faire rire au premier degré avec ça (vous me suivez ?), ça ressemble à un film fier de sa connerie et volontairement mauvais. Plusieurs indices penchent dans ce sens: son accroche ("le film dont ils ont dit qu'il ne pourrait jamais être produit), Conrad Brooks annonçant fièrement jouer dans deux pires films de l'histoire ainsi qu'un pitch (un long-métrage avec des flatulences comme fil conducteur) réduisant à néant à lui tout seul toute prétention à une quelconque réussite.