Forum Nanarland.com

Des rebondissements par exemple?

C'est très surfait les rebondissements.

Les avatars d'Alfie te prouvent le contraire.

J'adore les rebondissements des avatars d'Alfie , sinon pour revenir sur Wall-E, il semblerait que le film aie déchainé quelques passions outre atlantique, taxé de communiste ou d'extrême gauche à cause de la critique de la société de consommation...

Alors chers Nanardeurs, Wall E LCR inside or not?

Bizarrement j'aurais plutôt dit "ecolo" pour les mêmes raisons (avec un score de 100 sur 10 de l'échelle des "enfoncer les portes ouvertes".


Sinon le film est énorme jusqu'au moment où on arrive sur le vaisseau spatial où il devient des plus communs.
Entre répéter "waaaaaaaaaaaaaaly" et "eeeeeeeeeeeve" par les ptits robots c'est trop kawaï.

comme je le dis ailleurs, Pixar je vous aime et vivement le prochain !!!

pas mal dans la première partie, mais des que les humains arrivent (je suis preneur de l'explication pourquoi les humains sont "réels" (hello dolly, le mot du président) dans les films mais pas dans l'histoire) , c'est un peu la purge...et puis faire durer artificiellement un suspense avec une plante qu'on égare...

quand à peter gabriel, je désespère qu'il écrive à nouveau des titres potables....


ah si j'ai un scoop, le film serait inspiré d'une chanson de daniel balavoine...(rumeur volontairement gratuite)

mort d'un robot

Tout articulé tout fabriqué
Bien programmé pour vous aider
Je suis robot depuis plus de 2 000 ans
J'ai déplacé tous les océans
C'était urgent, je le savais
J'ai réinventé le cycle des saisons
Et vos déserts sont pleins de poissons

Je sais, mes circuits sont usés
J'ai beaucoup travaillé
Faudrait les remplacer
Me laissez pas tomber Oh ! oh ! oh !
J'ai toujours dominé mes envies
Je n'ai jamais trahi
Jamais désobéi
Vous me devez la vie
Vous me devez la vie

Avant la dernière guerre atomique
Si pathétique que j'ai pleuré
J'avais réuni le conseil des savants
Le danger, c'est votre politique
Vos présidents sont dépassés
Mais avant qu'un fou n'appuie sur le bouton
Quittez la terre il est encore temps

Et la terre vous l'avez quittée
Mais moi, je suis resté
Quand vous étiez là-haut
Et je vous ai sauvés Oh ! oh ! oh !
Si vous voulez m'assassiner
Après ce que j'ai fait
Moi qui vous ai aimé
Je peux tout faire sauter Oh ! oh ! oh !
Pas de problèmes pour me soigner
Vous m'avez fabriqué
J'ai appris à pleurer
Je vais apprendre à tuer Oh ! oh ! oh !
J'ai beaucoup travaillé
J'ai beaucoup travaillé

Putain le coup de nostalgie ! Je me souviens avoir adoré cette chanson, alors que j'étais tout jeunot, en voiture avec mon père.

Ayé, vu, après le désastre Ratatouille, bah ce film tue.

Pareil, je suis curieux de savoir en quoi Ratatouille constitue un "désastre".

Curieusement, j'étais tellement accroché par le générique de fin (qui est somptueux, et presque une raison suffisante pour voir ce film) que j'ai pas spécialement fait attention à la chanson. En même temps il pouvait terminer en passant "Sledgehammer", hein.

pourquoi, Lucas avait écrit le scénario, c'est ça ?

Non, il repose tout entier sur les épaules de Ben Burtt et Denis Muren: c'est donc forcément un chef-d'oeuvre.

c'est expliqué très clairement : ils ont dégénéré à cause de la faible pesanteur.

Pour moi ça explique qu'ils soient devenus gros, mais pas forcément qu'ils soient devenus des images de synthèse. Ou alors c'est un hommage à Immortel, si ça se trouve.

J'ai laissé une critique sur le topic idoine.

Il y a plein de niveaux de lecture permis par la technique

On peut d'abord considérer que les humains du XXVIIIe siècle sont devenus eux-mêmes virtuels. Ces masses de chairs uniformes ne sont interchangeables que par les traits de leurs visages, rappelant le Mr Patate de Toy Story.

On note que les humains "réels" n'apparaissent qu'en hologrammes, en images virtuelles donc, lesquels grésillent et sont pleins de lignes, tels une mauvaise télévision. Il y a tout un jeu à ce niveau entre les notions de réel/irréel, perfection/imperfection.

Les plus humains de l'histoire étant les robots, c'est d'ailleurs Wall-E, involontairement, qui va leur rendre leur humanité. Contrairement à certains films écologistes anti-humanistes tels que Soleil Vert, les humains de Wall.E se révèlent intrinsèquement bons: ils sont gentils, polis, sensibles, même après avoir étouffé leurs sens pendant plusieurs siècles, et prennent assez vite en main leur destin contre ceux qui leur dictent ce qui est bon pour eux (Otto/"Auto"), sitôt leurs yeux ouverts.

Vas-y quand même, j'ai versé ma larme comme je le fais 99% du temps quand je vais au ciné, et le temps que je finisse d'admirer le superbe générique de fin, ça avait séché et personne n'a jamais rien vu.

Visuellement, ce film est une réussite époustouflante à tous les niveaux. Scénaristiquement, c'est en effet assez grossier. Des monceaux d'ordures à la psychologie des humains, le trait est forcé de bout en bout, mais ça ne m'a pas empêchée de passer un très bon moment.
Fin téléphonée quand même, à mon avis. Enfin, vu qu'il y avait le générique juste dans la foulée, je n'ai pas boudé mon plaisir.

Bah, on produit 28 millions de tonnes de déchets par an rien qu'en France... Et on est pas le pays le plus pollueur au monde, et même assez loin de là !
Alors oui, le film force un peu le trait, mais ça fait pas de mal d'en entendre un peu parler. Et pis ces monceaux de déchets compactés, ça rend plutôt bien en 3D !

Et je ne comprends pas en quoi "écolo" sonne péjorativement ? Que ça paraisse quelques fois naïf, je veux bien, mais je préfère ça à "après moi, le déluge !"
Sinon le film est vachement bien, mais bon, ça a déjà été dit et en mieux

idem
Je me suis posé la même question en sortant. Et non seulement on se pose la question, mais ça m'a contrarié aussi. Ils ont peut être été un peu obligé de rendre les humains cartoonesque pour dédramatiser un peu le film (parce que le thème est quand même bien déprimant pour des enfants!)

Résultat : La première partie est magnifique, la seconde partie est beaucoup plus classique et enfantine.